La redoutée rentrée des classes approche à grand pas. A unesemaine du retour en cours, l'heure est aux préparatifspuisque c'est le moment de seconsacrer à la fameuse chasseaux fournitures scolaires. La redoutée rentrée des classes approche à grand pas. A unesemaine du retour en cours, l'heure est aux préparatifspuisque c'est le moment de seconsacrer à la fameuse chasseaux fournitures scolaires. Sachant que les listes ont étédéjà communiquées par latutelle, avant même que les parents n'aient letemps de reprendre leur souffle. Car, la particularité de cette année encore, c'est que la rentrée scolaire succède à une série d'évènements, lors desquels, leschefs de famille ont profondémentpuisé dans leurs bourses pour en assumer les frais.N'ayant pas le choix, le compte à rebours a, bel et bien,commencé et la course aux fournitures scolaires prend son élan. Il y a deux types deparents. Les plus organisées, ceux qui s'y prennent àl'avance, et ce pour gagner du temps et pour avoir plus de choix. "Même si on aimerait mieux n'y penser que la veille de la rentrée des classes, le retour à l'école se prépare à l'avancepour éviter stress etpanique", déclare ce père defamille. "Seuls ceux qui anticipent et s'approvisionnent en fournitures scolaires, tabliers et autres tenues se tirent d'affaire",a-t-il ajouté. "Ils n'auront qu'à compléter les listes des fournitures scolaires le jourJ", a-t-il expliqué. Quant auxautres, les malheureux retardataires, les courses de rentréepeuventvite se transformer enun véritable cauchemar. Magasins bondés, manque de temps, ruptures de stock... Lesproduits restants parfois de moins bonne qualité, ou demarque et donc plus chers. Quant aux prix constatés un peu partout à travers les différentsmagasins, librairies et autres surfaces, cette annéeencore, ressemble aux précédentes. Les parents feront, encore une fois, face à la chertédes divers articles indispensables à la scolarité de leursenfants comparativement àleurs salaires. Les prix affichés sont hors de prix. Hormis les quelques articles, dont lescahiers, qui n'ont pas connu dehausse. Les cartables et sacs ne sont désormais plus à la portée de toutes les bourses.Les tarifsvarient entre 2.500 et 9.000 DA. Les taille-crayonsavec des figurines de personnages de dessins animés sont cédés cette année à 70 DA. Destrousses aussi avec des illustrations de dessins animés, sontcédées à 500 DA. Les troussessimples sont proposées à 300 DA. Les crayons de couleur à 50 DA selon la marque, la qualitéet la taille. Dans le volet papeterie, les prix des cahiers(de production nationale)varient de 15 DA (32 pages) à 180 DA (384 pages), les cahiers à spirale coûtent pluscher. Pour ce qui est desblouses, les prix varient entre 500 DA etplus, selon le style: manches longues, demimanchesou sans manches,production nationale ou importées.Depuis quelques années,les ménages algériens ont laphobie de la rentrée sociale. Eneffet, les chiffres qui dénoncent les frais qui pèsent encore sur le portefeuille, indiquent que lasituation devient de plus en plus intolérable pour les parents auxfaibles revenus. Ces derniers se demandent du sort de leurs progénitures si l'écolen'était pas gratuite. Sachant que les listes ont étédéjà communiquées par latutelle, avant même que les parents n'aient letemps de reprendre leur souffle. Car, la particularité de cette année encore, c'est que la rentrée scolaire succède à une série d'évènements, lors desquels, leschefs de famille ont profondémentpuisé dans leurs bourses pour en assumer les frais.N'ayant pas le choix, le compte à rebours a, bel et bien,commencé et la course aux fournitures scolaires prend son élan. Il y a deux types deparents. Les plus organisées, ceux qui s'y prennent àl'avance, et ce pour gagner du temps et pour avoir plus de choix. "Même si on aimerait mieux n'y penser que la veille de la rentrée des classes, le retour à l'école se prépare à l'avancepour éviter stress etpanique", déclare ce père defamille. "Seuls ceux qui anticipent et s'approvisionnent en fournitures scolaires, tabliers et autres tenues se tirent d'affaire",a-t-il ajouté. "Ils n'auront qu'à compléter les listes des fournitures scolaires le jourJ", a-t-il expliqué. Quant auxautres, les malheureux retardataires, les courses de rentréepeuventvite se transformer enun véritable cauchemar. Magasins bondés, manque de temps, ruptures de stock... Lesproduits restants parfois de moins bonne qualité, ou demarque et donc plus chers. Quant aux prix constatés un peu partout à travers les différentsmagasins, librairies et autres surfaces, cette annéeencore, ressemble aux précédentes. Les parents feront, encore une fois, face à la chertédes divers articles indispensables à la scolarité de leursenfants comparativement àleurs salaires. Les prix affichés sont hors de prix. Hormis les quelques articles, dont lescahiers, qui n'ont pas connu dehausse. Les cartables et sacs ne sont désormais plus à la portée de toutes les bourses.Les tarifsvarient entre 2.500 et 9.000 DA. Les taille-crayonsavec des figurines de personnages de dessins animés sont cédés cette année à 70 DA. Destrousses aussi avec des illustrations de dessins animés, sontcédées à 500 DA. Les troussessimples sont proposées à 300 DA. Les crayons de couleur à 50 DA selon la marque, la qualitéet la taille. Dans le volet papeterie, les prix des cahiers(de production nationale)varient de 15 DA (32 pages) à 180 DA (384 pages), les cahiers à spirale coûtent pluscher. Pour ce qui est desblouses, les prix varient entre 500 DA etplus, selon le style: manches longues, demimanchesou sans manches,production nationale ou importées.Depuis quelques années,les ménages algériens ont laphobie de la rentrée sociale. Eneffet, les chiffres qui dénoncent les frais qui pèsent encore sur le portefeuille, indiquent que lasituation devient de plus en plus intolérable pour les parents auxfaibles revenus. Ces derniers se demandent du sort de leurs progénitures si l'écolen'était pas gratuite.