L'avenir de l'Algérie réside dans l'instauration d'uneéconomie de production et decroissance dans le cadre d'un système démocratique, aindiqué hier à Alger leprésident du Rassemblementpour la culture et ladémocratie (RCD), Mohcene Belabes. L'avenir de l'Algérie réside dans l'instauration d'uneéconomie de production et decroissance dans le cadre d'un système démocratique, aindiqué hier à Alger leprésident du Rassemblementpour la culture et ladémocratie (RCD), Mohcene Belabes. "L'avenir auquel aspire le peuple algérien, fondé notamment surla promotion des droits de chacunet la représentation syndicale et patronale,ne peut être garanti que par une économiede production et de croissance dansle cadre d'un système démocratique", adéclaré M. Belabes à l'ouverture des travauxd'une conférence nationale sur le droitdu travail en Algérie. Il a ajouté que dans un tel système d'économede production et de croissance, l'Etat encourageait la représentation syndicale et patronale en vue de la recherche d'une valorisation"adéquate" de la force detravail, dela promotion des droits de chacun, de l'accumulationéconomique et de la stabilité.Pour ce parti, la croissance économique segagne en mobilisant toutes les ressourcesdisponibles pour combattre le chômagepar des instruments économiques pérennes, une formation de qualité et larevalorisation notamment du montant del'allocation scolaire et des salaires des enseignants.Revenant sur le thème de la rencontre, le premier responsable du RCD, a estiméquela confection d'un code du travail qui "promeut les droits et garantit les équilibres estune urgence contrairement aux affirmations des exécutifs successifs qui ont mis le projet en veilleuse". Il a ajouté que la réforme du droit du travaildevait être précédée par un travail préparatoire associant tous les partenaires "sans exclusion", observant que le débat"sans exclusion est le moyen le plus adéquatpour faire face à nos problèmes". Pour M. Belabes, la crise financièrequi "étouffele pays depuis deux ans et ses conséquences dramatiques sur le monde du travail et les catégories sociales vulnérablesbst aussi une opportunité pour débattre dece dossier", regrettant la perte d'emplois de plus en plus de personnes et la fermetured'entreprises. Pour sa part, l'enseignant à l'université d'Alger III, NasrEddine Korich a indiqué que la priorité n'était pas d'avoir un nouveau code de travail mais d'y appliquer "consciencieusement" ce qui existe déjà,estimant que le code du travail qui a subides remaniements "n'a ni avancé ni reculé dans la vision libérale". "L'avenir auquel aspire le peuple algérien, fondé notamment surla promotion des droits de chacunet la représentation syndicale et patronale,ne peut être garanti que par une économiede production et de croissance dansle cadre d'un système démocratique", adéclaré M. Belabes à l'ouverture des travauxd'une conférence nationale sur le droitdu travail en Algérie. Il a ajouté que dans un tel système d'économede production et de croissance, l'Etat encourageait la représentation syndicale et patronale en vue de la recherche d'une valorisation"adéquate" de la force detravail, dela promotion des droits de chacun, de l'accumulationéconomique et de la stabilité.Pour ce parti, la croissance économique segagne en mobilisant toutes les ressourcesdisponibles pour combattre le chômagepar des instruments économiques pérennes, une formation de qualité et larevalorisation notamment du montant del'allocation scolaire et des salaires des enseignants.Revenant sur le thème de la rencontre, le premier responsable du RCD, a estiméquela confection d'un code du travail qui "promeut les droits et garantit les équilibres estune urgence contrairement aux affirmations des exécutifs successifs qui ont mis le projet en veilleuse". Il a ajouté que la réforme du droit du travaildevait être précédée par un travail préparatoire associant tous les partenaires "sans exclusion", observant que le débat"sans exclusion est le moyen le plus adéquatpour faire face à nos problèmes". Pour M. Belabes, la crise financièrequi "étouffele pays depuis deux ans et ses conséquences dramatiques sur le monde du travail et les catégories sociales vulnérablesbst aussi une opportunité pour débattre dece dossier", regrettant la perte d'emplois de plus en plus de personnes et la fermetured'entreprises. Pour sa part, l'enseignant à l'université d'Alger III, NasrEddine Korich a indiqué que la priorité n'était pas d'avoir un nouveau code de travail mais d'y appliquer "consciencieusement" ce qui existe déjà,estimant que le code du travail qui a subides remaniements "n'a ni avancé ni reculé dans la vision libérale".