Les autorités turques ont arrêté deux individus soupçonnés d'appartenir à ungroupuscule d'extrême-gauche classé "terroriste" qui ont tenté d'entrer au parlementet y ont attaqué un employé avecun objet ressemblant à une lame derasoir, a indiqué le parquet tard mardi. Les autorités turques ont arrêté deux individus soupçonnés d'appartenir à ungroupuscule d'extrême-gauche classé "terroriste" qui ont tenté d'entrer au parlementet y ont attaqué un employé avecun objet ressemblant à une lame derasoir, a indiqué le parquet tard mardi. Les deux personnes, un homme et unefemme, se sont rendus au parlement en milieu d'après-midi, mardi, et ont étéarrêtés après avoir attaqué un membre dupersonnel travaillant à l'entrée des visiteurs, a expliqué le parquet d'Ankaradans un communiqué. Une boîte que lesgardes ont initialement prise pour un dispositifexplosif a été trouvée en possessionde l'homme mais elle s'est avéréevide. Les deux individus étaient déjàrecherchés pour plusieurs accusationsliées à des activités "terroristes" et sontsoupçonnés de liens avec le Front du Parti Révolutionnaire de Libération duPeuple (DHKP-C), une formation marxiste interdite qui a revendiqué des attaques sporadiques ces dernière années, affirme le parquet. Le directeurde la communication de la présidenceturque, Fahrettin Altun, a dénoncé surTwitter "une tentative d'attaque visantdirectement la volonté du peuple" et promisque les liens des suspects de cet"attentat terroriste" dans le pays et à l'étranger seraient mis au jour.Agences Les deux personnes, un homme et unefemme, se sont rendus au parlement en milieu d'après-midi, mardi, et ont étéarrêtés après avoir attaqué un membre dupersonnel travaillant à l'entrée des visiteurs, a expliqué le parquet d'Ankaradans un communiqué. Une boîte que lesgardes ont initialement prise pour un dispositifexplosif a été trouvée en possessionde l'homme mais elle s'est avéréevide. Les deux individus étaient déjàrecherchés pour plusieurs accusationsliées à des activités "terroristes" et sontsoupçonnés de liens avec le Front du Parti Révolutionnaire de Libération duPeuple (DHKP-C), une formation marxiste interdite qui a revendiqué des attaques sporadiques ces dernière années, affirme le parquet. Le directeurde la communication de la présidenceturque, Fahrettin Altun, a dénoncé surTwitter "une tentative d'attaque visantdirectement la volonté du peuple" et promisque les liens des suspects de cet"attentat terroriste" dans le pays et à l'étranger seraient mis au jour.Agences