Le candidat à l'élection présidentielle du 12 décembre, Azzedine Mihoubi, a choisi la wilaya de Biskra pour animer lehuitième jour de sa campagne électorale. Le candidat à l'élection présidentielle du 12 décembre, Azzedine Mihoubi, a choisi la wilaya de Biskra pour animer lehuitième jour de sa campagne électorale. Pour Azzedine Mihoubi, "il y a un problème de confiance qu'il faut régler,afin de sortir l'Algérie de la crise". Le secrétaire général par intérim du Rassemblement national démocratique est revenu sur la polémique autour de la position du Parlement européen ,au sujet de la situation en Algérie. Le candidat en course pour le Palais d'El Mouradia a rappelé, que l'Algérie était un pays souverain et indépendant, qui a toujours respecté la souveraineté des autres et qui veille à ne pas s'ingérer dans les affaires internes des pays. Mihoubi a reconnu qu'il "existe une partie des Algériens qui sont contre l'élection présidentielle, mais la majorité y est pour, car c'est la solution la plus raisonnable pour sortir le pays du vide constitutionnel". L'ancien ministre de la Culture a plaidé pour "la débureaucratisassion de l'économie nationale pour libérer définitivement l'acte d'investir", soulignant "l'esprit entrepreneurial de l'Algérien et son dynamisme à créer des richesses, pour peu qu'il trouve un environnement favorable". Azzedine Mihoubi, faisant écho aux autres candidats qui se sont déjà exprimés sur le sujet, a dénoncé les velléités d'intervention du Parlement européen dans les affaires internes del'Algérie, derrière ce qu'il qualifie "d'alibi des droits de l'homme". Pour lui, "ces tentatives d'interventionnisme sont la preuve qu'ils ont peur de la volonté du peuple, de se donner un Président et des institutions légitimes qui sont l'expression de la volonté populaire". Pour Azzedine Mihoubi, "il y a un problème de confiance qu'il faut régler,afin de sortir l'Algérie de la crise". Le secrétaire général par intérim du Rassemblement national démocratique est revenu sur la polémique autour de la position du Parlement européen ,au sujet de la situation en Algérie. Le candidat en course pour le Palais d'El Mouradia a rappelé, que l'Algérie était un pays souverain et indépendant, qui a toujours respecté la souveraineté des autres et qui veille à ne pas s'ingérer dans les affaires internes des pays. Mihoubi a reconnu qu'il "existe une partie des Algériens qui sont contre l'élection présidentielle, mais la majorité y est pour, car c'est la solution la plus raisonnable pour sortir le pays du vide constitutionnel". L'ancien ministre de la Culture a plaidé pour "la débureaucratisassion de l'économie nationale pour libérer définitivement l'acte d'investir", soulignant "l'esprit entrepreneurial de l'Algérien et son dynamisme à créer des richesses, pour peu qu'il trouve un environnement favorable". Azzedine Mihoubi, faisant écho aux autres candidats qui se sont déjà exprimés sur le sujet, a dénoncé les velléités d'intervention du Parlement européen dans les affaires internes del'Algérie, derrière ce qu'il qualifie "d'alibi des droits de l'homme". Pour lui, "ces tentatives d'interventionnisme sont la preuve qu'ils ont peur de la volonté du peuple, de se donner un Président et des institutions légitimes qui sont l'expression de la volonté populaire".