Le plan d'action du gouvernement semble fin prêt. Ainsi presque deux mois après sa nomination au poste de Premier ministre et la formation, une semaine auprès du gouvernement, Aïmene Benabderahmane a déjà élaboré le plan d'action du gouvernement. Ce dernier a d'ailleurs été au centre de la réunion tenu par le gouvernement avant-hier samedi. Le plan d'action du gouvernement semble fin prêt. Ainsi presque deux mois après sa nomination au poste de Premier ministre et la formation, une semaine auprès du gouvernement, Aïmene Benabderahmane a déjà élaboré le plan d'action du gouvernement. Ce dernier a d'ailleurs été au centre de la réunion tenu par le gouvernement avant-hier samedi. Le communiqué des services du Premier ministère n'ont pas précisé si le plan d'action n'a pas été approuvé par les membres du gouvernement se contentant juste de dire qu'il a été examiné. Mails il y a tout lieu de penser que le document a été aussi approuvé puisqu'il a été présenté devant la réunion du Conseil des ministres qui s'est tenu hier sous la présence du président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Une réunion extraordinaire selon le communiqué de la présidence de la République au cours de laquelle plusieurs dossiers ont été examinés dont quelques projets de lois d'une importance capitale. Pour revenir au plan d'action du gouvernement nombreux sont les analystes qui pensent que le Premier ministre va essentiellement s'appuyer sur le programme du Président Tebboune pour élabore sa feuille de route de la mettre en application. Il s'est surtout attendu de lui qu'il mette en avant les mécanismes lui permettant de mettre tous les atouts de son côté pour l'exécution du plan d'action et sa réalisation sur le terrain. En tout cas ce plan devra d'abord passer le cap de l'APN et du Conseil de la nation. En effet Aïmene Benabderahmane présentera son plan d'action devant les deux chambres du Parlement séparément. C'est dans le cas ou il obtient l'assentiment duParlement, notamment l'APN, qu'il sera alors mis à exécution sur le terrain. Les spécialistes tablent sur un plan d'actionbeaucoup plus axé sur les questions économiques et sociales. Aïmene Benabderahmane, qui est aussiministre des Finances, vient du monde économique. Il a fait l'essentiel de sa carrière au ministère des Finances et donc il est très familier des dossiers économiques. La priorité reste donc la relance de la croissanceéconomique. Un très lourd dossier, ce d'autant que l'Algérie vit une crise économique sans précédent. Une crise marquée notamment par la chute des prix du baril de pétrole et ses répercussions sur les finances du pays. Pour rappel lors de sa nomination le Premier ministre a justement évoqué cette question de la relance économique. Dans sa première déclaration il a en effet indiqué qu'il ne va « ménager aucun effort pour s'acquitter des grandes missions qui lui sont confiées pour aller de l'avant dans le développement de notre cher pays ». Evoquant le programme du président de la République il a affirmé qu'il « va permettre à l'Algérie d'amorcer sa relance économique tant attendue. Une relance dont les prémices pointent déjà à l'horizon », a-t-il ajouté. Maintenant le Premier ministre, avec lamise en place de son plan d'action, vadevoir entre dans le vif du sujet. Le communiqué des services du Premier ministère n'ont pas précisé si le plan d'action n'a pas été approuvé par les membres du gouvernement se contentant juste de dire qu'il a été examiné. Mails il y a tout lieu de penser que le document a été aussi approuvé puisqu'il a été présenté devant la réunion du Conseil des ministres qui s'est tenu hier sous la présence du président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Une réunion extraordinaire selon le communiqué de la présidence de la République au cours de laquelle plusieurs dossiers ont été examinés dont quelques projets de lois d'une importance capitale. Pour revenir au plan d'action du gouvernement nombreux sont les analystes qui pensent que le Premier ministre va essentiellement s'appuyer sur le programme du Président Tebboune pour élabore sa feuille de route de la mettre en application. Il s'est surtout attendu de lui qu'il mette en avant les mécanismes lui permettant de mettre tous les atouts de son côté pour l'exécution du plan d'action et sa réalisation sur le terrain. En tout cas ce plan devra d'abord passer le cap de l'APN et du Conseil de la nation. En effet Aïmene Benabderahmane présentera son plan d'action devant les deux chambres du Parlement séparément. C'est dans le cas ou il obtient l'assentiment duParlement, notamment l'APN, qu'il sera alors mis à exécution sur le terrain. Les spécialistes tablent sur un plan d'actionbeaucoup plus axé sur les questions économiques et sociales. Aïmene Benabderahmane, qui est aussiministre des Finances, vient du monde économique. Il a fait l'essentiel de sa carrière au ministère des Finances et donc il est très familier des dossiers économiques. La priorité reste donc la relance de la croissanceéconomique. Un très lourd dossier, ce d'autant que l'Algérie vit une crise économique sans précédent. Une crise marquée notamment par la chute des prix du baril de pétrole et ses répercussions sur les finances du pays. Pour rappel lors de sa nomination le Premier ministre a justement évoqué cette question de la relance économique. Dans sa première déclaration il a en effet indiqué qu'il ne va « ménager aucun effort pour s'acquitter des grandes missions qui lui sont confiées pour aller de l'avant dans le développement de notre cher pays ». Evoquant le programme du président de la République il a affirmé qu'il « va permettre à l'Algérie d'amorcer sa relance économique tant attendue. Une relance dont les prémices pointent déjà à l'horizon », a-t-il ajouté. Maintenant le Premier ministre, avec lamise en place de son plan d'action, vadevoir entre dans le vif du sujet.