Le film produit par l'entreprise Proco-Film de Nadia Cherabi Labidi en collaboration avec la télévision algérienne et avec l'appui du ministère de la Culture a été projeté hier soir à la salle El-Mougar. Tantôt tragique, tantôt comique, cette nouvelle production se veut un nouveau souffle pour le 7e art algérien qui a connu un sursaut remarquable en termes de production, notamment à la faveur de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe», même si c'est le thème du terrorisme et des années noires qui polarise l'intérêt des réalisateurs. Chargée en fortes émotions, mais aussi de beaucoup de paradoxes, la nouvelle production, notamment à travers les différentes situations et la manière de les traiter, s'assimile à une étude sociologique. C'est, d'ailleurs, la spécialité qui avait servi de «background» à Nadia Cherabi qui, avant de frapper aux portes du 7e art, avait mené une étude académique couronnée par un diplôme de doctorat en sociologie, outre son expérience avérée dans le domaine du film documentaire et dans la production. «Derrière le miroir» aura le mérite d'avoir permis au film social de reconquérir en force sa place dans le cinéma algérien. La réalisatrice ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, puisqu'elle a décidé de reproduire le film dans un feuilleton qui promet. Outre Rachid Farès, les personnages du film ont été incarnés par Nassima Chems dans le rôle de Selma, Kamel Rouini, Dris Chegrouni, Abdelhamid Rabia, Fatma-Zohra Mimouni, Hadjla Khelladi et autres. Le volet technique a été confié à une pléiade de techniciens, à l'instar du directeur de la photographie Ismaïl Lakhdar et l'ingénieur du son Kamel Mekesser. Le film produit par l'entreprise Proco-Film de Nadia Cherabi Labidi en collaboration avec la télévision algérienne et avec l'appui du ministère de la Culture a été projeté hier soir à la salle El-Mougar. Tantôt tragique, tantôt comique, cette nouvelle production se veut un nouveau souffle pour le 7e art algérien qui a connu un sursaut remarquable en termes de production, notamment à la faveur de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe», même si c'est le thème du terrorisme et des années noires qui polarise l'intérêt des réalisateurs. Chargée en fortes émotions, mais aussi de beaucoup de paradoxes, la nouvelle production, notamment à travers les différentes situations et la manière de les traiter, s'assimile à une étude sociologique. C'est, d'ailleurs, la spécialité qui avait servi de «background» à Nadia Cherabi qui, avant de frapper aux portes du 7e art, avait mené une étude académique couronnée par un diplôme de doctorat en sociologie, outre son expérience avérée dans le domaine du film documentaire et dans la production. «Derrière le miroir» aura le mérite d'avoir permis au film social de reconquérir en force sa place dans le cinéma algérien. La réalisatrice ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, puisqu'elle a décidé de reproduire le film dans un feuilleton qui promet. Outre Rachid Farès, les personnages du film ont été incarnés par Nassima Chems dans le rôle de Selma, Kamel Rouini, Dris Chegrouni, Abdelhamid Rabia, Fatma-Zohra Mimouni, Hadjla Khelladi et autres. Le volet technique a été confié à une pléiade de techniciens, à l'instar du directeur de la photographie Ismaïl Lakhdar et l'ingénieur du son Kamel Mekesser.