Débordant d'imagination, votre enfant vous harcèle de questions à longueur de journée et vous avez l'impression de ne pas toujours savoir quoi répondre. Il ne cesse de vous surprendre et vous met parfois mal à l'aise. Est-il possible de répondre à toutes ses questions de manière adéquate ? Que cachent ces "pourquoi" ? Devez-vous avoir une réponse appropriée à tout ? Devez-vous le gronder ou ignorer ses interrogations que vous trouvez effrontées ? Débordant d'imagination, votre enfant vous harcèle de questions à longueur de journée et vous avez l'impression de ne pas toujours savoir quoi répondre. Il ne cesse de vous surprendre et vous met parfois mal à l'aise. Est-il possible de répondre à toutes ses questions de manière adéquate ? Que cachent ces "pourquoi" ? Devez-vous avoir une réponse appropriée à tout ? Devez-vous le gronder ou ignorer ses interrogations que vous trouvez effrontées ? «Je ne sais plus comment me comporter avec mon jeune enfant âgé de 5 ans qui commence à me poser des questions d'ordre intime et embarrassantes. Il me demande comment il est venu au monde, qu'est-ce que je fais avec son papa dans notre chambre, pourquoi sa sœur et lui ne se ressemble pas anatomiquement. Je me trouve vraiment confuse devant ses préoccupations et je ne trouve pas de réponse. Le malheur est qu'il est imprévisible et me pose ces questions même lorsqu'on reçoit des invités. Comment pouvoir me dérober à ses questions ?» Telles sont les préoccupations d'une femme qui se trouve dans l'incapacité de répondre aux préoccupations de son jeune gosse curieux de tout. C'est là les tracas des parents qui estiment que les questions surprenantes de leurs enfants sont mal placées. Votre enfant vous pose plein de questions. Vous avez ras-e-bol de son "pourquoi" prononcé à tout bout de champ. Ces interrogations ayant souvent trait à la sexualité vous gênent et vous laissent perplexe. Toutes ces interrogations sont-elles "normales" ? Y a-t-il un âge pour cela ? Il semble exister chez l'enfant une période du pourquoi qui commence vers 3 ans. En effet, c'est le début de la vie sociale, l'enfant commence à rompre progressivement le lien fusionnel avec sa mère et se préoccupe des autres. Il s'inscrit dans une démarche exploratrice du monde extérieur qui lui est encore inconnu. D'ici commence la course de l'enfant pour trouver réponses à toutes les questions qui lui passent par l'esprit. Cette période montre que votre enfant interagit avec son environnement, ce qui est très positif. Seulement, parfois, certains parents ne savent pas comment réagir ou sont embarrassés par les sujets abordés par leurs enfants. Certes, ces questions sont souvent imprévisibles. Elles déconcertent les parents peu préparés aux termes crus de leurs petits. Que faire ? Le mieux est toujours d'essayer de donner la réponse la plus exacte possible. Tourner autour du pot et répondre à côté ne sont pas des solutions. En fonction de l'âge de votre bambin, vous lui direz les choses simplement ou de manière plus approfondie. Pour un plus jeune, ce n'est pas la peine de répondre trop en détail. Il n'est peut-être pas prêt à entendre une explication approfondie ou il n'attend peut-être qu'une réponse simple et claire. Ne cherchez pas à tout lui expliquer non plus. Attendez plutôt qu'il vous questionne spontanément. Cela répondra à sa propre demande et non pas à la vôtre. Ainsi, vous n'avez pas à fournir des précisions sur la question des relations sexuelles si votre enfant de 3 ans vous demande comment on fait les bébés. Vous pouvez lui répondre simplement qu'il a été fabriqué dans le ventre de sa maman. Plus tard, vous lui donnerez selon son âge des explications scientifiques plus précises. Attention, il ne faut pas répondre de manière trop évasive aux questions importantes sur la sexualité, les maladies graves. Cela peut l'angoisser plus qu'autre chose. Essayez d'être spontané et sincère dans vos réponses, vous établirez ainsi un lien de confiance avec votre enfant. En vous posant des questions, votre enfant vous teste aussi. Il cherche à savoir si vous êtes aussi infaillibles et aussi puissants qu'il l'imagine. La manière par laquelle vous lui répondez est déterminante. Votre assurance ou votre confusion lui donneront une idée sur la pertinence de la question ou non. Pour cela, il est inutile de lui montrer que la question qu'il vient de poser relève d'un sujet tabou ou de l'interdit, car cela l'emmènera à chercher satisfaction à sa curiosité par le biais d'autres moyens. Si vous ne savez pas répondre, ne culpabilisez surtout pas. Orientez votre gosse vers une personne capable de satisfaire sa curiosité. Les questions de votre enfant, aussi impertinentes soient-elles, ne doivent pas vous mettre en colère. Evitez de frustrer votre gamin en lui criant dessus ou en le grondant sévèrement sous prétexte que sa question est impolie. Soyez plutôt à son écoute et tentez de trouver toujours la bonne réponse, aussi simple soit-elle. Il suffit d'un peu pour satisfaire la curiosité enfantine. «Je ne sais plus comment me comporter avec mon jeune enfant âgé de 5 ans qui commence à me poser des questions d'ordre intime et embarrassantes. Il me demande comment il est venu au monde, qu'est-ce que je fais avec son papa dans notre chambre, pourquoi sa sœur et lui ne se ressemble pas anatomiquement. Je me trouve vraiment confuse devant ses préoccupations et je ne trouve pas de réponse. Le malheur est qu'il est imprévisible et me pose ces questions même lorsqu'on reçoit des invités. Comment pouvoir me dérober à ses questions ?» Telles sont les préoccupations d'une femme qui se trouve dans l'incapacité de répondre aux préoccupations de son jeune gosse curieux de tout. C'est là les tracas des parents qui estiment que les questions surprenantes de leurs enfants sont mal placées. Votre enfant vous pose plein de questions. Vous avez ras-e-bol de son "pourquoi" prononcé à tout bout de champ. Ces interrogations ayant souvent trait à la sexualité vous gênent et vous laissent perplexe. Toutes ces interrogations sont-elles "normales" ? Y a-t-il un âge pour cela ? Il semble exister chez l'enfant une période du pourquoi qui commence vers 3 ans. En effet, c'est le début de la vie sociale, l'enfant commence à rompre progressivement le lien fusionnel avec sa mère et se préoccupe des autres. Il s'inscrit dans une démarche exploratrice du monde extérieur qui lui est encore inconnu. D'ici commence la course de l'enfant pour trouver réponses à toutes les questions qui lui passent par l'esprit. Cette période montre que votre enfant interagit avec son environnement, ce qui est très positif. Seulement, parfois, certains parents ne savent pas comment réagir ou sont embarrassés par les sujets abordés par leurs enfants. Certes, ces questions sont souvent imprévisibles. Elles déconcertent les parents peu préparés aux termes crus de leurs petits. Que faire ? Le mieux est toujours d'essayer de donner la réponse la plus exacte possible. Tourner autour du pot et répondre à côté ne sont pas des solutions. En fonction de l'âge de votre bambin, vous lui direz les choses simplement ou de manière plus approfondie. Pour un plus jeune, ce n'est pas la peine de répondre trop en détail. Il n'est peut-être pas prêt à entendre une explication approfondie ou il n'attend peut-être qu'une réponse simple et claire. Ne cherchez pas à tout lui expliquer non plus. Attendez plutôt qu'il vous questionne spontanément. Cela répondra à sa propre demande et non pas à la vôtre. Ainsi, vous n'avez pas à fournir des précisions sur la question des relations sexuelles si votre enfant de 3 ans vous demande comment on fait les bébés. Vous pouvez lui répondre simplement qu'il a été fabriqué dans le ventre de sa maman. Plus tard, vous lui donnerez selon son âge des explications scientifiques plus précises. Attention, il ne faut pas répondre de manière trop évasive aux questions importantes sur la sexualité, les maladies graves. Cela peut l'angoisser plus qu'autre chose. Essayez d'être spontané et sincère dans vos réponses, vous établirez ainsi un lien de confiance avec votre enfant. En vous posant des questions, votre enfant vous teste aussi. Il cherche à savoir si vous êtes aussi infaillibles et aussi puissants qu'il l'imagine. La manière par laquelle vous lui répondez est déterminante. Votre assurance ou votre confusion lui donneront une idée sur la pertinence de la question ou non. Pour cela, il est inutile de lui montrer que la question qu'il vient de poser relève d'un sujet tabou ou de l'interdit, car cela l'emmènera à chercher satisfaction à sa curiosité par le biais d'autres moyens. Si vous ne savez pas répondre, ne culpabilisez surtout pas. Orientez votre gosse vers une personne capable de satisfaire sa curiosité. Les questions de votre enfant, aussi impertinentes soient-elles, ne doivent pas vous mettre en colère. Evitez de frustrer votre gamin en lui criant dessus ou en le grondant sévèrement sous prétexte que sa question est impolie. Soyez plutôt à son écoute et tentez de trouver toujours la bonne réponse, aussi simple soit-elle. Il suffit d'un peu pour satisfaire la curiosité enfantine.
