Dois-je l'emmener chez le psy ? Quel papa ou maman ne s'est jamais posée cette question ? Si certains parents n'osent pas, d'autres consultent à tort et à travers ! C'est pourquoi les psys ne se limitent plus aux consultations en cabinet : en crèche, à l'école primaire au CEM ou au lycée, ils sont sur place afin de détecter les problèmes des élèves de tout ordre et de guider leurs parents. Après le médecin scolaire, le médecin de l'âme a trouvé sa place dans le système éducatif. Bien que les psychologue scolaires ne soient pas disponibles dans tous les établissements scolaire, la culture des psy comment à s'installer progressivement dans le milieu éducatif. Les élèves peuvent souffrir de différentes sorteS de problèmes qui se répercutent négativement sur leur scolarité, d'où la nécessité d'une aide spécialisée et compétente. Au sein d'une école, les enseignants doivent souvent être attentifs aux changements de comportement ou à la perturbation des résultats scolaire d'un élève. Leur rôle est de signaler tout changement au psychologue qui entamera une démarche exploratrice de la genèse des difficultés de l'enfant. Les parents sont souvent convoqués par le spécialiste pour comprendre davantage le problème. Le psy ne remplace pas les parents Pour déjouer la méfiance ou l'anxiété des parents qui craignent d'être méjugés, le psychologue les rencontre souvent de façon informelle, lorsqu'ils viennent chercher leur enfant. Dans des cas difficiles, il peut s'isoler avec eux dans un bureau et éventuellement les orienter vers une consultation en cabinet. Psy en primaire : la peur du «gendarme» ? Longtemps réduit à n'effectuer que l'évaluation psychologique et psychomotrice des enfants, le psychologue scolaire a pu éveiller la méfiance des parents : il était le "gendarme" qui teste les troubles du comportement en vue d'une orientation dans une classe spécialisée, ou mesure les compétences en vue d'un saut de classe. Aujourd'hui, le rôle du psy en primaire est bien plus large puisqu'il s'occupe même des problèmes relationnels des enfants. L'entrevue avec les parents est donc très importante afin de cadrer le problème et bien le résoudre. Eviter l'échec scolaire Pour les parents inquiets des difficultés d'intégration ou d'apprentissage de leur enfant, le psy est celui avec qui on parle dans une autre perspective que celle des résultats scolaires. Il suffit de très peu d'entretiens, parfois, pour débloquer une situation entre enfants, parents et enseignants et éviter l'échec scolaire. Grâce à la connaissance de l'histoire familiale de l'élève ou en révélant des compétences que l'enseignant n'avait pas eu l'occasion de mettre en valeur, le psychologue réinstaure un dialogue parfois rompu. En cas de nécessité, il incite les parents à consulter un(e) psychologue ou un(e) orthophoniste. Il peut même arriver, dans des cas d'urgence, qu'il effectue lui-même un suivi psychologique. Dois-je l'emmener chez le psy ? Quel papa ou maman ne s'est jamais posée cette question ? Si certains parents n'osent pas, d'autres consultent à tort et à travers ! C'est pourquoi les psys ne se limitent plus aux consultations en cabinet : en crèche, à l'école primaire au CEM ou au lycée, ils sont sur place afin de détecter les problèmes des élèves de tout ordre et de guider leurs parents. Après le médecin scolaire, le médecin de l'âme a trouvé sa place dans le système éducatif. Bien que les psychologue scolaires ne soient pas disponibles dans tous les établissements scolaire, la culture des psy comment à s'installer progressivement dans le milieu éducatif. Les élèves peuvent souffrir de différentes sorteS de problèmes qui se répercutent négativement sur leur scolarité, d'où la nécessité d'une aide spécialisée et compétente. Au sein d'une école, les enseignants doivent souvent être attentifs aux changements de comportement ou à la perturbation des résultats scolaire d'un élève. Leur rôle est de signaler tout changement au psychologue qui entamera une démarche exploratrice de la genèse des difficultés de l'enfant. Les parents sont souvent convoqués par le spécialiste pour comprendre davantage le problème. Le psy ne remplace pas les parents Pour déjouer la méfiance ou l'anxiété des parents qui craignent d'être méjugés, le psychologue les rencontre souvent de façon informelle, lorsqu'ils viennent chercher leur enfant. Dans des cas difficiles, il peut s'isoler avec eux dans un bureau et éventuellement les orienter vers une consultation en cabinet. Psy en primaire : la peur du «gendarme» ? Longtemps réduit à n'effectuer que l'évaluation psychologique et psychomotrice des enfants, le psychologue scolaire a pu éveiller la méfiance des parents : il était le "gendarme" qui teste les troubles du comportement en vue d'une orientation dans une classe spécialisée, ou mesure les compétences en vue d'un saut de classe. Aujourd'hui, le rôle du psy en primaire est bien plus large puisqu'il s'occupe même des problèmes relationnels des enfants. L'entrevue avec les parents est donc très importante afin de cadrer le problème et bien le résoudre. Eviter l'échec scolaire Pour les parents inquiets des difficultés d'intégration ou d'apprentissage de leur enfant, le psy est celui avec qui on parle dans une autre perspective que celle des résultats scolaires. Il suffit de très peu d'entretiens, parfois, pour débloquer une situation entre enfants, parents et enseignants et éviter l'échec scolaire. Grâce à la connaissance de l'histoire familiale de l'élève ou en révélant des compétences que l'enseignant n'avait pas eu l'occasion de mettre en valeur, le psychologue réinstaure un dialogue parfois rompu. En cas de nécessité, il incite les parents à consulter un(e) psychologue ou un(e) orthophoniste. Il peut même arriver, dans des cas d'urgence, qu'il effectue lui-même un suivi psychologique.
