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Mixité créative
Arts plastiques à la Bibliothèque nationale
Publié dans Le Midi Libre le 17 - 11 - 2007

L'artiste peintre Amor Driss Dokman expose en duo avec Farida Sellal, des œuvres qui captent les sensations les plus fugaces, «du désert…à la mer».
De la rencontre de ces artistes est née une exposition collective, qui se tient dans le hall de la Bibliothèque Nationale. Ce travail artistique en duo ne cesse d'attirer l'attention, de part le mélange accordé des techniques plastiques, mais aussi des interrogations que suscite la vie figée des œuvres.
Amor Dris Dokman s'est imprégné des photographies capturées par Farida Sellal. Cette dernière a immortalisé sur la pellicule des instants de grâce, un hommage à la beauté du désert, aux gens, à la vie et à la voix intérieure.
Amor Driss Dokman, lui, puise dans ses émotions et sa technicité, le même sentiment incliné pour la magnificence d'un paysage antédiluvien, que constituent des milliards de grains de sable.
L'ingéniosité de Dokman réside dans l'accomplissement de ces œuvres, tout en sachant que pour un artiste une toile n'est jamais achevée. Pourtant, on a l'impression qu'un travail est consommé, parce qu'il y a eu au préalable une recherche pointilleuse, une activité cérébrale pour donner un résultat aussi enchanteur.
L'artiste à l'inspiration instinctive, ne s'est pas contenté de reproduire au détail près les objets, le désert, les paysages, la mer, les gens… empruntées des photographies de Farida Sellal. Au contraire, on remarque aisément la flamboyance des couleurs qui se distingue, un monde mirifique se déploie, une transformation améliorée des photographies, incontestablement, réalistes.
Dokman ne tente pas de faire mieux que la nature, mais il se laisse aller à ses échos intérieurs, à l'appel incessant de son imagination qui moule de nouvelles figures et contours à un paysage qui n'a pas changé depuis des siècles.
L'exposition est vivante, les toiles se nourrissent des photographies, on ne peut refuser un tel voyage, un défilement charmant et sincère de couleurs, où le trait et la courbe démontrent le cachet de l'artiste.
L'expression artistique de Dokman est chaleureuse, détachée des inutilités matérielles. Le désert et la mer en sont le parfait symbole. Le dépouillement, non pas comme une renonciation aux belles choses, mais un engagement réfléchi qui transparaît dans la peinture de l'artiste.
Deux artistes face à une immensité qui épouse le monde intérieur de chacun, titille l'imagination, puis s'étale sur des œuvres géniales, à découvrir.
L'artiste peintre Amor Driss Dokman expose en duo avec Farida Sellal, des œuvres qui captent les sensations les plus fugaces, «du désert…à la mer».
De la rencontre de ces artistes est née une exposition collective, qui se tient dans le hall de la Bibliothèque Nationale. Ce travail artistique en duo ne cesse d'attirer l'attention, de part le mélange accordé des techniques plastiques, mais aussi des interrogations que suscite la vie figée des œuvres.
Amor Dris Dokman s'est imprégné des photographies capturées par Farida Sellal. Cette dernière a immortalisé sur la pellicule des instants de grâce, un hommage à la beauté du désert, aux gens, à la vie et à la voix intérieure.
Amor Driss Dokman, lui, puise dans ses émotions et sa technicité, le même sentiment incliné pour la magnificence d'un paysage antédiluvien, que constituent des milliards de grains de sable.
L'ingéniosité de Dokman réside dans l'accomplissement de ces œuvres, tout en sachant que pour un artiste une toile n'est jamais achevée. Pourtant, on a l'impression qu'un travail est consommé, parce qu'il y a eu au préalable une recherche pointilleuse, une activité cérébrale pour donner un résultat aussi enchanteur.
L'artiste à l'inspiration instinctive, ne s'est pas contenté de reproduire au détail près les objets, le désert, les paysages, la mer, les gens… empruntées des photographies de Farida Sellal. Au contraire, on remarque aisément la flamboyance des couleurs qui se distingue, un monde mirifique se déploie, une transformation améliorée des photographies, incontestablement, réalistes.
Dokman ne tente pas de faire mieux que la nature, mais il se laisse aller à ses échos intérieurs, à l'appel incessant de son imagination qui moule de nouvelles figures et contours à un paysage qui n'a pas changé depuis des siècles.
L'exposition est vivante, les toiles se nourrissent des photographies, on ne peut refuser un tel voyage, un défilement charmant et sincère de couleurs, où le trait et la courbe démontrent le cachet de l'artiste.
L'expression artistique de Dokman est chaleureuse, détachée des inutilités matérielles. Le désert et la mer en sont le parfait symbole. Le dépouillement, non pas comme une renonciation aux belles choses, mais un engagement réfléchi qui transparaît dans la peinture de l'artiste.
Deux artistes face à une immensité qui épouse le monde intérieur de chacun, titille l'imagination, puis s'étale sur des œuvres géniales, à découvrir.


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