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«Mon rêve, réaliser un centre hospitalier pour enfants»
Mme M. Rabehi, Présidente de l'association El Fedjr
Publié dans Le Midi Libre le 28 - 11 - 2007

«Je me souviens encore, cinq ans après, de cet enfant cancéreux âgé de 10 ans, frêle, innocent, au sourire tendre, au visage angélique, à l'intelligence perçante, originaire d'une petite ville à l'est du pays et qui était hospitalisé au niveau du Centre hospitalo-universitaire de Béni Messous. Ce petit ange rempli d'ardeur nous a quittés après une féroce lutte contre le cancer. Issue d'un milieu défavorable, le père qui a accompagné son fils à l'hôpital, devait accomplir dans la journée de petits boulots pour subvenir aux besoins de sa famille nombreuse. Le soir, il rentrait pour passer la nuit avec son enfant alité. Le courage et le dévouement de cet homme m'ont marqué à jamais. Aujourd'hui, cet enfant n'est plus parmi nous, mais en songeant à lui, je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée pour tous ces enfants malades hospitalisés dans les différents centres hospitaliers et qui n'ont pour univers qu'une chambre fade décorée de douleur. Mon rêve est de rendre le sourire à ces chérubins, leur permettre de jouir de la vie pleinement malgré leur souffrance, de sortir du monde affreux de la maladie pour pénétrer dans celui de l'insouciance. Pourquoi cela serait-il impossible ?
Créer un centre pour les enfants cancéreux dans lequel ils pourront jouer, se promener, regarder la télévision, chanter, danser, pratiquer du sport et oublier, un tant soit peu, leur maladie est mon rêve d'avenir. Pouvoir se divertir est indispensable à l'amélioration de la qualité de vie des enfants cancéreux», affirme Mme Rabehi.
L'aide aux personnes atteintes de cancer, enfants et adultes, passe par le soutien moral. En effet, selon notre interlocutrice, ces personnes arrivent totalement désemparées, perdues et déprimées. Mais elles repartent toujours avec un grand sourire et une détermination à lutter contre la maladie. Le combat pour la survie est très pénible, mais l'assistance psychologique, lors et après le traitement permet aux malades de retrouver goût à la vie et de tenir le coup.
«Nous continuons à aider les personnes cancéreuses et je ne cesserai jamais de remercier les âmes charitables sensibles à la douleur humaine et qui sans leur apport, l'association n'aurait jamais pupoursuivre son œuvre», conclut Mme Rabehi
«Je me souviens encore, cinq ans après, de cet enfant cancéreux âgé de 10 ans, frêle, innocent, au sourire tendre, au visage angélique, à l'intelligence perçante, originaire d'une petite ville à l'est du pays et qui était hospitalisé au niveau du Centre hospitalo-universitaire de Béni Messous. Ce petit ange rempli d'ardeur nous a quittés après une féroce lutte contre le cancer. Issue d'un milieu défavorable, le père qui a accompagné son fils à l'hôpital, devait accomplir dans la journée de petits boulots pour subvenir aux besoins de sa famille nombreuse. Le soir, il rentrait pour passer la nuit avec son enfant alité. Le courage et le dévouement de cet homme m'ont marqué à jamais. Aujourd'hui, cet enfant n'est plus parmi nous, mais en songeant à lui, je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée pour tous ces enfants malades hospitalisés dans les différents centres hospitaliers et qui n'ont pour univers qu'une chambre fade décorée de douleur. Mon rêve est de rendre le sourire à ces chérubins, leur permettre de jouir de la vie pleinement malgré leur souffrance, de sortir du monde affreux de la maladie pour pénétrer dans celui de l'insouciance. Pourquoi cela serait-il impossible ?
Créer un centre pour les enfants cancéreux dans lequel ils pourront jouer, se promener, regarder la télévision, chanter, danser, pratiquer du sport et oublier, un tant soit peu, leur maladie est mon rêve d'avenir. Pouvoir se divertir est indispensable à l'amélioration de la qualité de vie des enfants cancéreux», affirme Mme Rabehi.
L'aide aux personnes atteintes de cancer, enfants et adultes, passe par le soutien moral. En effet, selon notre interlocutrice, ces personnes arrivent totalement désemparées, perdues et déprimées. Mais elles repartent toujours avec un grand sourire et une détermination à lutter contre la maladie. Le combat pour la survie est très pénible, mais l'assistance psychologique, lors et après le traitement permet aux malades de retrouver goût à la vie et de tenir le coup.
«Nous continuons à aider les personnes cancéreuses et je ne cesserai jamais de remercier les âmes charitables sensibles à la douleur humaine et qui sans leur apport, l'association n'aurait jamais pupoursuivre son œuvre», conclut Mme Rabehi


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