Lors des journées régionales de chirurgie générale organisées dernièrement à Tizi-Ouzou, les praticiens ont appelé à la nécessité de doter le service d'oncologie du CHU de Tizi-Ouzou d'un appareil de radiologie. Lors des journées régionales de chirurgie générale organisées dernièrement à Tizi-Ouzou, les praticiens ont appelé à la nécessité de doter le service d'oncologie du CHU de Tizi-Ouzou d'un appareil de radiologie. L'objectif principal de cette rencontre, selon les organisateurs de ces journées d'étude, est "d'informer les participants sur les dernières innovations et développements survenus dans le domaine de la médecine moderne". Parallèlement, les intervenants échangeront leurs expériences en matière de prévention et de traitement de différentes maladies chroniques, notamment celles dont la prise en charge s'avère coûteuse, tant pour le malade que pour sa famille et la santé publique. Les communications présentées durant cette première journée ont été axées sur les maladies cancéreuses prises en charge par une équipe médicale travaillant sous la houlette du professeur Bendib du centre Pierre et Marie Curie du CHU Mustapha Bacha d'Alger. D'autres communications ont abordé les succès remportés en matière de greffe rénale par l'équipe du Pr. Chaouch du même hôpital. A titre illustratif, cette équipe avait réalisé trois greffes rénales en 2003, avant de passer à 33 greffes en 2007, est-il relevé, sachant que la date de la première greffe réalisée avec succès en Algérie remonte à 1980. Des spécialistes en matière d'oncologie ont convenu de l'impératif de "l'accélération de la mise en place d'un laboratoire d'analyse au niveau du service d'oncologie génétique", considérant que ce type d'analyses est actuellement pris en charge par un laboratoire français, pour un coût de 1400 euros (pour chaque échantillon sanguin). Des intervenants ont insisté, par ailleurs, sur la nécessité pour les familles ayant un membre atteint de cancer de recourir au diagnostic précoce, notamment concernant le cancer du sein. Parallèlement, les participants ont été informés sur la possibilité de la prise en charge, durant ces dernières années de l'hypertrophie mammaire, (sein volumineux) au niveau de l'hôpital Mustapha Pacha. Un appel a été lancé, enfin, aux autorités compétentes sur la nécessité de la promulgation d'une nouvelle loi en matière de greffe rénale pour autoriser, entres autres, le prélèvement de cet organe sur des individus cliniquement morts. L'objectif principal de cette rencontre, selon les organisateurs de ces journées d'étude, est "d'informer les participants sur les dernières innovations et développements survenus dans le domaine de la médecine moderne". Parallèlement, les intervenants échangeront leurs expériences en matière de prévention et de traitement de différentes maladies chroniques, notamment celles dont la prise en charge s'avère coûteuse, tant pour le malade que pour sa famille et la santé publique. Les communications présentées durant cette première journée ont été axées sur les maladies cancéreuses prises en charge par une équipe médicale travaillant sous la houlette du professeur Bendib du centre Pierre et Marie Curie du CHU Mustapha Bacha d'Alger. D'autres communications ont abordé les succès remportés en matière de greffe rénale par l'équipe du Pr. Chaouch du même hôpital. A titre illustratif, cette équipe avait réalisé trois greffes rénales en 2003, avant de passer à 33 greffes en 2007, est-il relevé, sachant que la date de la première greffe réalisée avec succès en Algérie remonte à 1980. Des spécialistes en matière d'oncologie ont convenu de l'impératif de "l'accélération de la mise en place d'un laboratoire d'analyse au niveau du service d'oncologie génétique", considérant que ce type d'analyses est actuellement pris en charge par un laboratoire français, pour un coût de 1400 euros (pour chaque échantillon sanguin). Des intervenants ont insisté, par ailleurs, sur la nécessité pour les familles ayant un membre atteint de cancer de recourir au diagnostic précoce, notamment concernant le cancer du sein. Parallèlement, les participants ont été informés sur la possibilité de la prise en charge, durant ces dernières années de l'hypertrophie mammaire, (sein volumineux) au niveau de l'hôpital Mustapha Pacha. Un appel a été lancé, enfin, aux autorités compétentes sur la nécessité de la promulgation d'une nouvelle loi en matière de greffe rénale pour autoriser, entres autres, le prélèvement de cet organe sur des individus cliniquement morts.