Le Polisario qui accuse le Maroc de vouloir chercher à imposer sa proposition d'autonomie, impute au royaume la responsabilité du blocage de ces négociations. Le Polisario qui accuse le Maroc de vouloir chercher à imposer sa proposition d'autonomie, impute au royaume la responsabilité du blocage de ces négociations. Initialement prévu pour le 11 mars prochain, le 4e round de négociations directes entre le Front Polisario et le Maroc, sous l'égide des Nations unies, a été reporté au 16 du même mois à Manhasset, près de New York. C'est ce qu'a indiqué hier l'ambassadeur de la RASD à Alger, Brahim Ghali, en marge d'une rencontre de solidarité avec le peuple sahraoui au siège de la CNASPS à l'occasion du 32e anniversaire de la proclamation de la RASD. Le diplomate sahraoui qui ne s'est pas prononcé sur les motifs réels de ce report, a réaffirmé la détermination du Polisario à prendre part à des "négociations sérieuses" devant permettre la décolonisation du Sahara Occidental. Le Polisario qui accuse le Maroc de vouloir chercher à imposer sa proposition d'autonomie, impute au royaume la responsabilité du blocage de ces négociations qui n'ont pas permis une avancée concrète dans le processus de résolution de ce conflit lors des trois précédents rounds. L'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU au Sahara Occidental, Peter Van Walsum, qui dirige les négociations, a récemment admis qu'il n'avait pas encore de solution à ce conflit et qu'il ne voulait pas donner de "faux espoirs" que tout va s'arranger au quatrième round des pourparlers. L'Algérie qui demeure attachée à son principe de soutien à la cause sahraouie a exprimé son souhait de voir le 4e round de négociations parvenir à une solution politique fondée sur l'autodétermination du peuple sahraoui. Dans un message adressé à son homologue sahraoui à la veille de la célébration du 32e anniversaire de la proclamation de la RASD, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a indiqué que l'Algérie "demeure attachée à la stricte mise en œuvre de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation", ajoutant qu'elle soutient les efforts de la communauté internationale pour mettre en œuvre ces principes et achever la décolonisalisation du Sahara Occidental. Le chef de l'Etat a rappelé, à ce propos, que les Nations unies, dont la responsabilité à l'égard du Sahara Occidental est "irrécusable", sont "présentement engagées dans la mise en œuvre de la résolution 1754 du Conseil de sécurité qui établit clairement le cadre dans lequel devront être menées les négociations". Initialement prévu pour le 11 mars prochain, le 4e round de négociations directes entre le Front Polisario et le Maroc, sous l'égide des Nations unies, a été reporté au 16 du même mois à Manhasset, près de New York. C'est ce qu'a indiqué hier l'ambassadeur de la RASD à Alger, Brahim Ghali, en marge d'une rencontre de solidarité avec le peuple sahraoui au siège de la CNASPS à l'occasion du 32e anniversaire de la proclamation de la RASD. Le diplomate sahraoui qui ne s'est pas prononcé sur les motifs réels de ce report, a réaffirmé la détermination du Polisario à prendre part à des "négociations sérieuses" devant permettre la décolonisation du Sahara Occidental. Le Polisario qui accuse le Maroc de vouloir chercher à imposer sa proposition d'autonomie, impute au royaume la responsabilité du blocage de ces négociations qui n'ont pas permis une avancée concrète dans le processus de résolution de ce conflit lors des trois précédents rounds. L'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU au Sahara Occidental, Peter Van Walsum, qui dirige les négociations, a récemment admis qu'il n'avait pas encore de solution à ce conflit et qu'il ne voulait pas donner de "faux espoirs" que tout va s'arranger au quatrième round des pourparlers. L'Algérie qui demeure attachée à son principe de soutien à la cause sahraouie a exprimé son souhait de voir le 4e round de négociations parvenir à une solution politique fondée sur l'autodétermination du peuple sahraoui. Dans un message adressé à son homologue sahraoui à la veille de la célébration du 32e anniversaire de la proclamation de la RASD, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a indiqué que l'Algérie "demeure attachée à la stricte mise en œuvre de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation", ajoutant qu'elle soutient les efforts de la communauté internationale pour mettre en œuvre ces principes et achever la décolonisalisation du Sahara Occidental. Le chef de l'Etat a rappelé, à ce propos, que les Nations unies, dont la responsabilité à l'égard du Sahara Occidental est "irrécusable", sont "présentement engagées dans la mise en œuvre de la résolution 1754 du Conseil de sécurité qui établit clairement le cadre dans lequel devront être menées les négociations".