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Pigier ouvrira 12 écoles privées d'ici à 2009
Après celles d'Alger et de Tizi Ouzou
Publié dans Le Midi Libre le 23 - 08 - 2008

Le premier réseau français d'enseignement privé, Pigier, confirme son déploiement en Algérie. Après l'ouverture de sa première école privée en 2007, voilà que le spécialiste de l'enseignement privé décide d'ouvrir prochainement 12 nouvelles écoles à travers douze wilayas du pays. Ces établissements privés seront implantés à Annaba, Constantine, Sétif, Bejaia, Batna, Blida, Chlef, Djelfa, Hassi Messaoud, Oran, Tlemcen et Sidi Bel Abbes. A ce sujet, le directeur financier de Pigier Algérie, Khalil Tanttegrain, fait savoir que «Pigier Algérie a lancé un concours de recrutement de directeurs ainsi que nous cherchons des locaux pour implanter ces écoles dont l'ouverture est prévue courant 2008-2009», rapporte le journal électronique «toutsurlalgerie.com». Mieux encore, Pigier compte ouvrir une cinquantaine d'écoles à travers le pays durant les cinq prochaines années. «Nous allons proposer, à partir de 2009, des formations post-ingénieurs en collaboration avec la Chambre algérienne de commerce et d'industrie», ajoute M. Tanttegrain.
Avec deux écoles déjà, la première à Alger et l'autre à Tizi Ouzou, Pigier est présente en Algérie depuis septembre 2007. Gérées par une société de droit algérien et agréées par le ministère de la Formation professionnelle, elles dispensent des programmes de formation en français et en anglais et délivrent des diplômes reconnus en Algérie.
Même si les formations dispensées par Pigier Algérie ont été adaptées au contexte et aux besoins locaux, il n'en demeure pas moins que des équivalences avec des diplômes européens seront possibles. La stratégie de Pigier se base sur des formations organisées selon un rythme alternant cours de qualité et stages d'immersion en entreprises en vue d'une intégration professionnelle personnalisée. L'objectif étant de «former des étudiants opérationnels sur leur poste de travail dès leur sortie de l'école». L'enseignement privé en Algérie est régi par une législation stricte et de surcroit lorsqu'il s'agit d'école étrangère. Plusieurs écoles privées sont d'ailleurs dans le collimateur des pouvoirs publics.
S'exprimant à ce sujet, Benbouzid, ministre de l'Education, avait souligné que «Tout Algérien ou étranger a le droit d'ouvrir une école privée, mais doit appliquer les lois régissant le secteur et dispenser les programmes du pays avec la langue du pays».
Bouteflika a, quant à lui, aussi poussé un coup de gueule en 2006, à ce sujet également : «Je ne ferai pas des réformes au détriment de l'identité algérienne et de la langue arabe. Il est tout à fait clair que je n'ai pas l'intention de jouer avec ça !», avait-il soutenu.
Pigier peut alors se targuer de faire partie des rares écoles privées étrangères qui ont les grâces des pouvoirs publics.
Pigier prépare les bacheliers à des formations diplômantes (BTS du secteur tertiaire, Certificat de maîtrise des techniques comptables (CMTC)…) et dispose d'un centre de formation professionnelle accueillant des personnes en quête de réorientation ou de perfectionnement dans les métiers du droit des affaires, de l'informatique, le management, le marketing et l'assistanat ainsi que des cours de langues.
Le coût d'une formation de BTS est fixé à 120.000 dinars par an, selon le directeur de Pigier Algérie.
Le premier réseau français d'enseignement privé, Pigier, confirme son déploiement en Algérie. Après l'ouverture de sa première école privée en 2007, voilà que le spécialiste de l'enseignement privé décide d'ouvrir prochainement 12 nouvelles écoles à travers douze wilayas du pays. Ces établissements privés seront implantés à Annaba, Constantine, Sétif, Bejaia, Batna, Blida, Chlef, Djelfa, Hassi Messaoud, Oran, Tlemcen et Sidi Bel Abbes. A ce sujet, le directeur financier de Pigier Algérie, Khalil Tanttegrain, fait savoir que «Pigier Algérie a lancé un concours de recrutement de directeurs ainsi que nous cherchons des locaux pour implanter ces écoles dont l'ouverture est prévue courant 2008-2009», rapporte le journal électronique «toutsurlalgerie.com». Mieux encore, Pigier compte ouvrir une cinquantaine d'écoles à travers le pays durant les cinq prochaines années. «Nous allons proposer, à partir de 2009, des formations post-ingénieurs en collaboration avec la Chambre algérienne de commerce et d'industrie», ajoute M. Tanttegrain.
Avec deux écoles déjà, la première à Alger et l'autre à Tizi Ouzou, Pigier est présente en Algérie depuis septembre 2007. Gérées par une société de droit algérien et agréées par le ministère de la Formation professionnelle, elles dispensent des programmes de formation en français et en anglais et délivrent des diplômes reconnus en Algérie.
Même si les formations dispensées par Pigier Algérie ont été adaptées au contexte et aux besoins locaux, il n'en demeure pas moins que des équivalences avec des diplômes européens seront possibles. La stratégie de Pigier se base sur des formations organisées selon un rythme alternant cours de qualité et stages d'immersion en entreprises en vue d'une intégration professionnelle personnalisée. L'objectif étant de «former des étudiants opérationnels sur leur poste de travail dès leur sortie de l'école». L'enseignement privé en Algérie est régi par une législation stricte et de surcroit lorsqu'il s'agit d'école étrangère. Plusieurs écoles privées sont d'ailleurs dans le collimateur des pouvoirs publics.
S'exprimant à ce sujet, Benbouzid, ministre de l'Education, avait souligné que «Tout Algérien ou étranger a le droit d'ouvrir une école privée, mais doit appliquer les lois régissant le secteur et dispenser les programmes du pays avec la langue du pays».
Bouteflika a, quant à lui, aussi poussé un coup de gueule en 2006, à ce sujet également : «Je ne ferai pas des réformes au détriment de l'identité algérienne et de la langue arabe. Il est tout à fait clair que je n'ai pas l'intention de jouer avec ça !», avait-il soutenu.
Pigier peut alors se targuer de faire partie des rares écoles privées étrangères qui ont les grâces des pouvoirs publics.
Pigier prépare les bacheliers à des formations diplômantes (BTS du secteur tertiaire, Certificat de maîtrise des techniques comptables (CMTC)…) et dispose d'un centre de formation professionnelle accueillant des personnes en quête de réorientation ou de perfectionnement dans les métiers du droit des affaires, de l'informatique, le management, le marketing et l'assistanat ainsi que des cours de langues.
Le coût d'une formation de BTS est fixé à 120.000 dinars par an, selon le directeur de Pigier Algérie.


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