Des micros ordinateurs à 30.000 dinars. Ce produit à prix agréant est proposé par l'ISP Eepad. La date du lancement de l'opération de leur commercialisation est prévue au cours des premiers jours de la rentrée universitaire. Ces informations ont été communiquées par le directeur général de l'ISP en question, Nouar Harzallah, au cours d'une conférence organisée hier au centre El Moudjahid. Les micros ordinateurs seront disponibles seulement dans les points de vente Eepad. S'agissant du nombre des micros qui seront commercialisés, M. Zemmour, directeur de communication de l'entreprise, a affirmé « qu'il y en aura pour tout le monde » en marge de la conférence. Le nombre des laps top n'a, cependant, pas été précisé. S'agissant de la performance de ces micros portables, M. harzallah a avancé que « la configuration est dans la norme ». Ils disposent des fonctionnalités les plus essentielles : 1 giga de ram et accès wifi et Internet. Ils sont même équipés d'une webcam. Sur le dossier du projet Ousratic, le directeur d'Eepad a annoncé que le ministère des Technologie de l'information de la communication et de la poste est sur le point d'achever une enquête « Pour mettre le doigts sur les lacunes du projet». Les résultats de l'enquête en question seront rendus publics dans un futur proche à croire les propos de M. Harzellah. Cependant, ce spécialiste semblait connaitre la faille bien avant la publication des résultats de l'enquête puisqu'il a souligné « qu'un projet comme Oustratic ne peut fonctionner comme il se doit si des services à valeurs ajoutées ne sont pas développés en parallèle ». Selon M. Harzellah, le retard qu'accuse le projet par rapport aux délais tracé est le résultat « d'une incompréhension du projet, notamment de la part des établissements bancaires ». « Il ne s'agit pas d'un business de machine » a-t-il rétorqué. Il s'agit selon lui d'un projet pour l'établissement de la société de l'information en Algérie. Pour ce faire, Il fallait penser à garantir et la connexion Internet et les services disponibles par le biais de cet outil. Il a souligné qu'il n'est pas impossible de rattraper le retard. « On ne peut pas parler de l'échec d'Ousratic puisqu'il nous reste encore 2 année avant l'échéance fixée ». Il a, par ailleurs, lancé un appel aux pouvoirs publics pour multiplier leurs efforts pour booster les nouvelles technologies en Algérie. Encourager l'enseignement de ces dernières à l'école, le développement du réseau du téléphone fixe par Algérie Télécom, l'intervention de l'Etat sur les plus importants des chantiers de ce secteur ainsi que le développement des services sont les principales recommandations prônées par Nouar Harzellah. Sur le même volet du développement des services à valeur ajoutée, M. Harzellah a invité vivement les entreprises du secteur privé à participer à leurs développements. Des micros ordinateurs à 30.000 dinars. Ce produit à prix agréant est proposé par l'ISP Eepad. La date du lancement de l'opération de leur commercialisation est prévue au cours des premiers jours de la rentrée universitaire. Ces informations ont été communiquées par le directeur général de l'ISP en question, Nouar Harzallah, au cours d'une conférence organisée hier au centre El Moudjahid. Les micros ordinateurs seront disponibles seulement dans les points de vente Eepad. S'agissant du nombre des micros qui seront commercialisés, M. Zemmour, directeur de communication de l'entreprise, a affirmé « qu'il y en aura pour tout le monde » en marge de la conférence. Le nombre des laps top n'a, cependant, pas été précisé. S'agissant de la performance de ces micros portables, M. harzallah a avancé que « la configuration est dans la norme ». Ils disposent des fonctionnalités les plus essentielles : 1 giga de ram et accès wifi et Internet. Ils sont même équipés d'une webcam. Sur le dossier du projet Ousratic, le directeur d'Eepad a annoncé que le ministère des Technologie de l'information de la communication et de la poste est sur le point d'achever une enquête « Pour mettre le doigts sur les lacunes du projet». Les résultats de l'enquête en question seront rendus publics dans un futur proche à croire les propos de M. Harzellah. Cependant, ce spécialiste semblait connaitre la faille bien avant la publication des résultats de l'enquête puisqu'il a souligné « qu'un projet comme Oustratic ne peut fonctionner comme il se doit si des services à valeurs ajoutées ne sont pas développés en parallèle ». Selon M. Harzellah, le retard qu'accuse le projet par rapport aux délais tracé est le résultat « d'une incompréhension du projet, notamment de la part des établissements bancaires ». « Il ne s'agit pas d'un business de machine » a-t-il rétorqué. Il s'agit selon lui d'un projet pour l'établissement de la société de l'information en Algérie. Pour ce faire, Il fallait penser à garantir et la connexion Internet et les services disponibles par le biais de cet outil. Il a souligné qu'il n'est pas impossible de rattraper le retard. « On ne peut pas parler de l'échec d'Ousratic puisqu'il nous reste encore 2 année avant l'échéance fixée ». Il a, par ailleurs, lancé un appel aux pouvoirs publics pour multiplier leurs efforts pour booster les nouvelles technologies en Algérie. Encourager l'enseignement de ces dernières à l'école, le développement du réseau du téléphone fixe par Algérie Télécom, l'intervention de l'Etat sur les plus importants des chantiers de ce secteur ainsi que le développement des services sont les principales recommandations prônées par Nouar Harzellah. Sur le même volet du développement des services à valeur ajoutée, M. Harzellah a invité vivement les entreprises du secteur privé à participer à leurs développements.