Aujourd'hui, ils seraient des millions de téléspectateurs en Algérie à souffrir de «la riposte» du bouquet français TPS qui les empêche de suivre les émissions, les matchs de foot, les films…auxquels ils se sont habitués depuis l'avènement de la parabole. Aujourd'hui, ils seraient des millions de téléspectateurs en Algérie à souffrir de «la riposte» du bouquet français TPS qui les empêche de suivre les émissions, les matchs de foot, les films…auxquels ils se sont habitués depuis l'avènement de la parabole. Les accros des chaines satellitaires étrangères sont de plus en plus confrontés à la problématique du cryptage. Aujourd'hui, ils seraient des millions de téléspectateurs en Algérie à souffrir de «la riposte» du bouquet français TPS qui les empêche de suivre les émissions, les matchs de foot, les films…auxquels ils se sont habitués depuis l'avènement de la parabole. Mais le mal des accros a atteint son paroxysme depuis le début du Ramadhan, le mois des longues veillées : la chaîne satellitaire TPS est perpétuellement codée. Depuis, l'écran noir meuble plusieurs foyers. Ce qui contraint les crackers à user de toutes les méthodes possibles pour déjouer, à chaque fois, le système de sécurité de l'opérateur. Et permettre donc, aux pirates de visionner à nouveau les programmes tant prisés du bouquet. Mais il y a d'autres moyens de décryptage, sinon d'autres bouquets numériques. L'Internet par exemple. Cet outil de communication permet en effet de capter, avec l'aide d'un matériel approprié, les chaînes cryptées. Ainsi, nombreux sont les Algériens qui y ont recours ces derniers jours. « Depuis que j'ai acquis mon micro-ordinateur, je procède tout seul au décodage des TPS, à chaque fois qu'elles sont cryptées. Pratiquement tous les deux jours en ce mois de Ramadhan », nous confie Kamel, un père de famille, adepte du football qui s'impatiente de voir la ligue des champions européenne. Selon notre interlocuteur, seules deux marques de démodulateurs numériques sont concernées, Cristor et Starsat. Ce n'est tout de même pas tout le monde qui se permet ce «luxe». Pour le commun des téléspectateurs, cette méthode (d'internet) est non seulement compliquée, mais aussi coûteuse. En plus, il faut posséder une ligne téléphonique numérique. Toujours est-il que ces derniers peuvent recourir au cybercafé. De fait, plusieurs citoyens se ruent vers ces espaces Internet pour ‘'flasher'' leur démodulateur. Mais là encore, outre les 100 DA à payer chaque 2 jours, les va-et-vient des cybers à la maison ne sont pas aussi gratuits. Sinon existe-t-il un autre moyen pour capter les chaînes cryptées ? Les accros se contentent pour l'heure du démodulateur analogique. Appareil obsolète, mais qui reste encore robuste pour capter certaines chaînes de l'Hexagone notamment TF1, M6, France 2, France 5, et France 3 toujours très prisés chez nous. Et quand ils n'ont pas cette chance ni de capter les chaînes diffusées via le satellite « Hotbird », ni de posséder un démodulateur analogique, les nombreux téléspectateurs orientent généralement leur assiette parabolique vers « Nilsat », à défaut de se rabattre sur les programmes de l'unique locale (l'Entv). Reste que même sur le satellite Nilsast diffusant généralement des chaînes arabes, plusieurs canaux audiovisuels sont également cryptés. Cependant, une question taraude les esprits des téléspectateurs : Quel est le but recherché par ces bouquet «empiriques», par cette attitude adoptée pour crypter leurs chaînes ? Les spécialistes sont unanimes à dire qu'il s'agit là d'une «attitude purement commerciale». Interrogé sur ce sujet, Haider Haidoura, correspondant de la chaîne arabe «LBC» indiquera, en effet, que «ces entreprises audiovisuelles sont la propriété d'hommes d'affaires. Et ces derniers sont surtout intéressés par les bénéfices qu'ils tirent de leurs activités. Chose qui est tout à fait naturelle, tant que ces propriétaire se doivent d'honorer plusieurs redevances». De ce fait, le Dr. Youcef Agoune dira pour sa part, qu'il ne faut donc «pas en faire un syndrome de persécution, d'autant plus que le phénomène de cryptage ne touche pas seulement l'Algérie». Il explique que les propriétaires des chaînes cryptées sont plutôt intéressés par «les rentes publicitaires que par l'auditoire». Les accros des chaines satellitaires étrangères sont de plus en plus confrontés à la problématique du cryptage. Aujourd'hui, ils seraient des millions de téléspectateurs en Algérie à souffrir de «la riposte» du bouquet français TPS qui les empêche de suivre les émissions, les matchs de foot, les films…auxquels ils se sont habitués depuis l'avènement de la parabole. Mais le mal des accros a atteint son paroxysme depuis le début du Ramadhan, le mois des longues veillées : la chaîne satellitaire TPS est perpétuellement codée. Depuis, l'écran noir meuble plusieurs foyers. Ce qui contraint les crackers à user de toutes les méthodes possibles pour déjouer, à chaque fois, le système de sécurité de l'opérateur. Et permettre donc, aux pirates de visionner à nouveau les programmes tant prisés du bouquet. Mais il y a d'autres moyens de décryptage, sinon d'autres bouquets numériques. L'Internet par exemple. Cet outil de communication permet en effet de capter, avec l'aide d'un matériel approprié, les chaînes cryptées. Ainsi, nombreux sont les Algériens qui y ont recours ces derniers jours. « Depuis que j'ai acquis mon micro-ordinateur, je procède tout seul au décodage des TPS, à chaque fois qu'elles sont cryptées. Pratiquement tous les deux jours en ce mois de Ramadhan », nous confie Kamel, un père de famille, adepte du football qui s'impatiente de voir la ligue des champions européenne. Selon notre interlocuteur, seules deux marques de démodulateurs numériques sont concernées, Cristor et Starsat. Ce n'est tout de même pas tout le monde qui se permet ce «luxe». Pour le commun des téléspectateurs, cette méthode (d'internet) est non seulement compliquée, mais aussi coûteuse. En plus, il faut posséder une ligne téléphonique numérique. Toujours est-il que ces derniers peuvent recourir au cybercafé. De fait, plusieurs citoyens se ruent vers ces espaces Internet pour ‘'flasher'' leur démodulateur. Mais là encore, outre les 100 DA à payer chaque 2 jours, les va-et-vient des cybers à la maison ne sont pas aussi gratuits. Sinon existe-t-il un autre moyen pour capter les chaînes cryptées ? Les accros se contentent pour l'heure du démodulateur analogique. Appareil obsolète, mais qui reste encore robuste pour capter certaines chaînes de l'Hexagone notamment TF1, M6, France 2, France 5, et France 3 toujours très prisés chez nous. Et quand ils n'ont pas cette chance ni de capter les chaînes diffusées via le satellite « Hotbird », ni de posséder un démodulateur analogique, les nombreux téléspectateurs orientent généralement leur assiette parabolique vers « Nilsat », à défaut de se rabattre sur les programmes de l'unique locale (l'Entv). Reste que même sur le satellite Nilsast diffusant généralement des chaînes arabes, plusieurs canaux audiovisuels sont également cryptés. Cependant, une question taraude les esprits des téléspectateurs : Quel est le but recherché par ces bouquet «empiriques», par cette attitude adoptée pour crypter leurs chaînes ? Les spécialistes sont unanimes à dire qu'il s'agit là d'une «attitude purement commerciale». Interrogé sur ce sujet, Haider Haidoura, correspondant de la chaîne arabe «LBC» indiquera, en effet, que «ces entreprises audiovisuelles sont la propriété d'hommes d'affaires. Et ces derniers sont surtout intéressés par les bénéfices qu'ils tirent de leurs activités. Chose qui est tout à fait naturelle, tant que ces propriétaire se doivent d'honorer plusieurs redevances». De ce fait, le Dr. Youcef Agoune dira pour sa part, qu'il ne faut donc «pas en faire un syndrome de persécution, d'autant plus que le phénomène de cryptage ne touche pas seulement l'Algérie». Il explique que les propriétaires des chaînes cryptées sont plutôt intéressés par «les rentes publicitaires que par l'auditoire».