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L'emprunt a atteint les 2/3 de la souscription
Mohamed Abdelouahab Rahim, PDG du groupe Dahli et promoteur d'Alger Medina
Publié dans Le Midi Libre le 03 - 02 - 2009

«Les résultats de l'opération enregistrent deux tiers de l'ensemble du montant à souscrire, mais les experts tablent sur le dernier tiers pour parachever cet emprunt.»
«Les résultats de l'opération enregistrent deux tiers de l'ensemble du montant à souscrire, mais les experts tablent sur le dernier tiers pour parachever cet emprunt.»
«Quand je conçois un projet, il faut qu'il soit mené à bien et rentable. Je n'ai pas l'intention de rater mon projet de construction d'Alger Medina pour lequel un emprunt obligataire de l'ordre de 8,3 milliards DA a été levé auprès du grand public depuis le 11 janvier 2009 et ce jusqu'au 12 février courant. J'investis également avec mon propre argent et mes biens sont indexés sur l'Algérie; si l'Algérie va bien c'est mon projet qui fonctionne à merveille, et si l'Algérie se porte mal, c'est, par conséquent, mon projet qui va mal», a notamment déclaré le PDG de la SPA Dahli, Mohamed Abdelouahab Rahim, promoteur du gigantesque projet d'Alger Medina, hier au forum d'El Moudjahid.
Prônant le vrai sens du commerce où le client est considéré comme un roi, comme dans le commerce genevois qualitatif et très soucieux de la prestation à rendre aux acheteurs, Rahim dira que «mon client mérite respect et considération. Le citoyen c'est mon client et je dois le garder le maximum de temps à Alger Medina en lui donnant le plaisir d'y revenir».
Il estime que son projet relève de la réalité concrète et non d'un mirage ou d'une utopie. «Nous ne sommes pas des investisseurs spéculateurs J'éprouve un plaisir d'aller à New York contempler les tours», a-t-il affirmé, s'inspirant ainsi des gratte-ciel de Manhattan pour édifier Alger Medina, tout en extrapolant la vie calme, pratique, propre et nette de Genève et du lac Léman.
Songeant d'abord au projet immédiat, à savoir le parc aquatique, la Marina et les appartements hôtel, cet investisseur ayant déjà érigé du néant l'hôtel Hilton et le Business center d'Alger, précise que «c'est un bonheur que nous apportons à la population.
Quand on se lève le matin, on sait où aller étant donné que le cœur d'Alger ne répond pas. Il faut faire quelque chose pour cette génération. Notre investissement est réel et non une simple promesse».
Abordant l'emprunt obligataire proprement dit, Rahim souligne que «les résultats de l'opération enregistrent deux tiers de l'ensemble du montant à souscrire, mais les experts tablent sur le dernier tiers pour parachever cet emprunt. Les intérêts sont attractifs et nous ne pensons pas un seul instant à un éventuel échec de cet emprunt. Nous attendons la fin de l'opération pour faire la conclusion. On ne peut pas dire que c'est positif ou négatif. Il faut que tout le monde joue son rôle en faisant confiance à ce projet». Expliquant l'opportunité et l'importance de cet emprunt, il ajoute que «le risque financier n'existe pas chez nous, où l'économie est fermée, alors que dans les pays à économie dynamique, ce risque est réel».
Cela dit, selon le conférencier, l'Algérie n'a pas de produits à vendre sur le marché international, allusion faite aux hydrocarbures. «Par rapport à la crise financière internationale, l'Algérie n'est pas touchée par le phénomène de récession, car nous sommes en phase d'investissement et de construction et le pays se trouve, donc, à l'abri».
Par ailleurs, il estime que «l'affaire Khalifa n'est pas un prétexte. Il y a une seule banque en faillite, c'est Khalifa Bank, sachant que les autorités algériennes n'acceptent plus ce genre de banques privées».
Il poursuit : «Il n'est pas question de recourir au financement étranger pour Alger Medina, nous avons notre propre trésorerie pour financer la construction du centre commercial «Ardis» et nous allons par étapes, dans la mesure où la place d'Alger est forte et l'Algérie en pleine expansion. Dans tous les cas de figure, le projet d'Alger Medina va continuer».
Pour montrer l'opportunité et la finalité d'Alger Medina, Rahim utilise une métaphore : «Aujourd'hui, il n'est pas possible de travailler, marcher et se promener à Alger, tant l'exiguïté nous donne l'impression que nous vivons dans une boîte de sardines. Alors, Alger Medina offre une allée de promenade et un boulevard piétonnier longs de 20 km et larges de 12 m où chaque partie de la population utilise un couloir (piétons, cyclistes, sportifs…).
«Alger Medina s'adresse à toute la population, c'est un pôle culturel, touristique, sportif et social où se localisent 150 restaurants de toutes les bourses. Riches, pauvres ou autres, tout le monde y trouve son bonheur» a-t-il signifié.
Il ajoute que la SPA Dahli est la première société cotée en Bourse en Algérie, ayant la maturité et ayant levé l'emprunt obligataire afin de réaliser Alger Medina. Et tout le monde est intéressé par cet emprunt.
A. A.
«Quand je conçois un projet, il faut qu'il soit mené à bien et rentable. Je n'ai pas l'intention de rater mon projet de construction d'Alger Medina pour lequel un emprunt obligataire de l'ordre de 8,3 milliards DA a été levé auprès du grand public depuis le 11 janvier 2009 et ce jusqu'au 12 février courant. J'investis également avec mon propre argent et mes biens sont indexés sur l'Algérie; si l'Algérie va bien c'est mon projet qui fonctionne à merveille, et si l'Algérie se porte mal, c'est, par conséquent, mon projet qui va mal», a notamment déclaré le PDG de la SPA Dahli, Mohamed Abdelouahab Rahim, promoteur du gigantesque projet d'Alger Medina, hier au forum d'El Moudjahid.
Prônant le vrai sens du commerce où le client est considéré comme un roi, comme dans le commerce genevois qualitatif et très soucieux de la prestation à rendre aux acheteurs, Rahim dira que «mon client mérite respect et considération. Le citoyen c'est mon client et je dois le garder le maximum de temps à Alger Medina en lui donnant le plaisir d'y revenir».
Il estime que son projet relève de la réalité concrète et non d'un mirage ou d'une utopie. «Nous ne sommes pas des investisseurs spéculateurs J'éprouve un plaisir d'aller à New York contempler les tours», a-t-il affirmé, s'inspirant ainsi des gratte-ciel de Manhattan pour édifier Alger Medina, tout en extrapolant la vie calme, pratique, propre et nette de Genève et du lac Léman.
Songeant d'abord au projet immédiat, à savoir le parc aquatique, la Marina et les appartements hôtel, cet investisseur ayant déjà érigé du néant l'hôtel Hilton et le Business center d'Alger, précise que «c'est un bonheur que nous apportons à la population.
Quand on se lève le matin, on sait où aller étant donné que le cœur d'Alger ne répond pas. Il faut faire quelque chose pour cette génération. Notre investissement est réel et non une simple promesse».
Abordant l'emprunt obligataire proprement dit, Rahim souligne que «les résultats de l'opération enregistrent deux tiers de l'ensemble du montant à souscrire, mais les experts tablent sur le dernier tiers pour parachever cet emprunt. Les intérêts sont attractifs et nous ne pensons pas un seul instant à un éventuel échec de cet emprunt. Nous attendons la fin de l'opération pour faire la conclusion. On ne peut pas dire que c'est positif ou négatif. Il faut que tout le monde joue son rôle en faisant confiance à ce projet». Expliquant l'opportunité et l'importance de cet emprunt, il ajoute que «le risque financier n'existe pas chez nous, où l'économie est fermée, alors que dans les pays à économie dynamique, ce risque est réel».
Cela dit, selon le conférencier, l'Algérie n'a pas de produits à vendre sur le marché international, allusion faite aux hydrocarbures. «Par rapport à la crise financière internationale, l'Algérie n'est pas touchée par le phénomène de récession, car nous sommes en phase d'investissement et de construction et le pays se trouve, donc, à l'abri».
Par ailleurs, il estime que «l'affaire Khalifa n'est pas un prétexte. Il y a une seule banque en faillite, c'est Khalifa Bank, sachant que les autorités algériennes n'acceptent plus ce genre de banques privées».
Il poursuit : «Il n'est pas question de recourir au financement étranger pour Alger Medina, nous avons notre propre trésorerie pour financer la construction du centre commercial «Ardis» et nous allons par étapes, dans la mesure où la place d'Alger est forte et l'Algérie en pleine expansion. Dans tous les cas de figure, le projet d'Alger Medina va continuer».
Pour montrer l'opportunité et la finalité d'Alger Medina, Rahim utilise une métaphore : «Aujourd'hui, il n'est pas possible de travailler, marcher et se promener à Alger, tant l'exiguïté nous donne l'impression que nous vivons dans une boîte de sardines. Alors, Alger Medina offre une allée de promenade et un boulevard piétonnier longs de 20 km et larges de 12 m où chaque partie de la population utilise un couloir (piétons, cyclistes, sportifs…).
«Alger Medina s'adresse à toute la population, c'est un pôle culturel, touristique, sportif et social où se localisent 150 restaurants de toutes les bourses. Riches, pauvres ou autres, tout le monde y trouve son bonheur» a-t-il signifié.
Il ajoute que la SPA Dahli est la première société cotée en Bourse en Algérie, ayant la maturité et ayant levé l'emprunt obligataire afin de réaliser Alger Medina. Et tout le monde est intéressé par cet emprunt.
A. A.


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