La dernière sortie des Fennecs, mercredi soir au stade Mustapha Tchaker de Blida contre les Ecureuils du Bénin, a enchanté et émerveillé le public sportif présent à cette joute amicale. Si le résultat obtenu (2-1) est flatteur, la qualité de la production, en seconde période surtout, n'en pose pas moins certaines interrogations à un peu plus d'un mois des débuts de la bande à Rabah Saadane au 3ème et dernier tour éliminatoire CAN et Mondial 2010. La dernière sortie des Fennecs, mercredi soir au stade Mustapha Tchaker de Blida contre les Ecureuils du Bénin, a enchanté et émerveillé le public sportif présent à cette joute amicale. Si le résultat obtenu (2-1) est flatteur, la qualité de la production, en seconde période surtout, n'en pose pas moins certaines interrogations à un peu plus d'un mois des débuts de la bande à Rabah Saadane au 3ème et dernier tour éliminatoire CAN et Mondial 2010. Quelques mois après le match nul face au Aigles du Mali en France (1-1), le coach algérien peut se flatter d'avoir battu une équipe du Bénin truffée de quelques vedettes évoluant au plus haut niveau à l'image de la perle parisienne Sessegnon. L'histoire retiendra la performance, quand bien même obtenue dans un contexte amical. Le sélectionneur national, lui, aura indiscutablement retenu d'autres éléments non moins intéressants dans la préparation de la suite de la campagne mondialiste. Il faut maintenant franchir un nouveau palier et cette équipe en a les moyens, avance le coach national à la fin de la rencontre. «J'ai le sentiment que le groupe est beaucoup plus homogène, plus mûr. Maintenant il faut qu'il se lâche et montre son potentiel». Dans l'ambiance favorable du stade de Blida, les Verts étaient à la recherche d'une synthèse. L'an passé ils ont tantôt trop joué, tantôt pas assez. Il ont essayé de réaliser un match accompli avec une meilleure gestion entre le jeu au pied et les relances. La sélection nationale reste sur une série de bonnes performances consécutives, surtout après avoir sorti le Sénégal de la course. Cette constance a de quoi étonner au regard de la qualité des sélections sénégalaise et gambienne. Les Verts bénéficient d'une énorme stabilité tant au niveau dee effectifs que des formes de jeu. Des Algériens, on attend toujours mieux et le meilleur par rapport à leur potentiel. On doit s'attendre à un troisième tour toujours acharné et très serré. L'encadrement algérien, Rabah Saadane et Zoheir Djelloul s'est appuyé sur le groupe de la tournée de décembre dernier pour former l'ossature du onze algérien qui débutera le troisième tour, même si les portes de l'EN ne sont pas encore fermées. Le gros souci sera de contrer la qualité de la conquête en Afrique lors de ce dernier et ultime tour et surtout dans ce groupe dont la grande majorité des éléments évolue en Europe. Pour cela les responsables techniques ont choisi de peser le onze et d'aligner une première ligne plus offensive et plus tranchante avec l'arrivée de Abdelkader Ghezzal de Sienne (Série A italienne).Pour les lignes arrières, l'encadrement a privilégié la complémentarité avec 05 joueurs du même calibre dont deux locaux Maiza et Zaoui. Il a notamment rappelé Yassine Bezzaz au centre et Hadj Aissa en attaque. Absents depuis leurs blessures et longtemps arrêtés en raison de bobos, le coach algérien apprécie ce retour de ces deux talentueux joueurs mais mesure ses responsabilités. La veille de ce test, le coach Rabah Saadane insistait sur la manière, les progrès à faire, le rythme à imprégner à la rencontre afin de suivre celui que savent faire les Ecureuils. Il accordait en même temps peu d'intérêt au score même si on lui avait sans doute soufflé que les Verts ne déçoivent presque jamais dans les grandes occasions, disposant de superbes facultés de se transcender. Maintenant, on n'est pas sûr qu'il ait été vraiment emballé par le volume de jeu par la tenue offensive des siens. Surtout après la reprise, le match a changé car on n'a pas pu mettre du rythme, du mouvement et de l'audace dans nos actions, Hadj Aissa gardait trop le ballon qui n'arrivait que rarement à Ghezzal pour le transformer en but. Même s'il faut convenir que le milieu, qui se sacrifiait dans d'obscures tâches de récupération, d'anticipation et de couverture, a été au rendez-vous malgré la rudesse de la tâche. Autant dire que, hormis un moral et un capital-confiance consolidés par une bonne première période réussi devant le Bénin, l'équipe algérienne n'a pas réellement enthousiasmé dans la mise en place d'une manœuvre offensive cohérente, fluide, tranchante et au final efficace. Quelques mois après le match nul face au Aigles du Mali en France (1-1), le coach algérien peut se flatter d'avoir battu une équipe du Bénin truffée de quelques vedettes évoluant au plus haut niveau à l'image de la perle parisienne Sessegnon. L'histoire retiendra la performance, quand bien même obtenue dans un contexte amical. Le sélectionneur national, lui, aura indiscutablement retenu d'autres éléments non moins intéressants dans la préparation de la suite de la campagne mondialiste. Il faut maintenant franchir un nouveau palier et cette équipe en a les moyens, avance le coach national à la fin de la rencontre. «J'ai le sentiment que le groupe est beaucoup plus homogène, plus mûr. Maintenant il faut qu'il se lâche et montre son potentiel». Dans l'ambiance favorable du stade de Blida, les Verts étaient à la recherche d'une synthèse. L'an passé ils ont tantôt trop joué, tantôt pas assez. Il ont essayé de réaliser un match accompli avec une meilleure gestion entre le jeu au pied et les relances. La sélection nationale reste sur une série de bonnes performances consécutives, surtout après avoir sorti le Sénégal de la course. Cette constance a de quoi étonner au regard de la qualité des sélections sénégalaise et gambienne. Les Verts bénéficient d'une énorme stabilité tant au niveau dee effectifs que des formes de jeu. Des Algériens, on attend toujours mieux et le meilleur par rapport à leur potentiel. On doit s'attendre à un troisième tour toujours acharné et très serré. L'encadrement algérien, Rabah Saadane et Zoheir Djelloul s'est appuyé sur le groupe de la tournée de décembre dernier pour former l'ossature du onze algérien qui débutera le troisième tour, même si les portes de l'EN ne sont pas encore fermées. Le gros souci sera de contrer la qualité de la conquête en Afrique lors de ce dernier et ultime tour et surtout dans ce groupe dont la grande majorité des éléments évolue en Europe. Pour cela les responsables techniques ont choisi de peser le onze et d'aligner une première ligne plus offensive et plus tranchante avec l'arrivée de Abdelkader Ghezzal de Sienne (Série A italienne).Pour les lignes arrières, l'encadrement a privilégié la complémentarité avec 05 joueurs du même calibre dont deux locaux Maiza et Zaoui. Il a notamment rappelé Yassine Bezzaz au centre et Hadj Aissa en attaque. Absents depuis leurs blessures et longtemps arrêtés en raison de bobos, le coach algérien apprécie ce retour de ces deux talentueux joueurs mais mesure ses responsabilités. La veille de ce test, le coach Rabah Saadane insistait sur la manière, les progrès à faire, le rythme à imprégner à la rencontre afin de suivre celui que savent faire les Ecureuils. Il accordait en même temps peu d'intérêt au score même si on lui avait sans doute soufflé que les Verts ne déçoivent presque jamais dans les grandes occasions, disposant de superbes facultés de se transcender. Maintenant, on n'est pas sûr qu'il ait été vraiment emballé par le volume de jeu par la tenue offensive des siens. Surtout après la reprise, le match a changé car on n'a pas pu mettre du rythme, du mouvement et de l'audace dans nos actions, Hadj Aissa gardait trop le ballon qui n'arrivait que rarement à Ghezzal pour le transformer en but. Même s'il faut convenir que le milieu, qui se sacrifiait dans d'obscures tâches de récupération, d'anticipation et de couverture, a été au rendez-vous malgré la rudesse de la tâche. Autant dire que, hormis un moral et un capital-confiance consolidés par une bonne première période réussi devant le Bénin, l'équipe algérienne n'a pas réellement enthousiasmé dans la mise en place d'une manœuvre offensive cohérente, fluide, tranchante et au final efficace.
