Le remplacement de l'emblème national par un tissu noir continue de susciter des réactions de mécontentement et de désapprobation de la part de ceux jaloux des symboles de l'Algérie. Hier, à Draâ Ben Khedda (wilaya de Tizi-Ouzou), Abdelaziz Belkhadem, SG du FLN a animé à la salle omnisports Saïd Tazrout un meeting de soutien au candidat Bouteflika. Il a consacé son intervention à la condamnation de cet acte : «Ce qui s'est passé jeudi passé, nous ne le considérons pas comme de la provocation. Ces gens-là sont captifs de leur enfermement mental. Ils ne sont pas sortis de leur coquille». L'orateur se montrera très virulent envers Saïd Sadi en déclarant que si ce dernier (qu'il ne cite pas) ne s'est pas présenté aux élections présidentielles, c'est parce qu'il n'a aucune chance de gagner. Quant à l'appel à ne voter pour aucun des six candidats en lice, il dira que ces gens-là veulent que l'Algérie se retrouve à la fin du mandat de Bouteflika sans président avec tout ce que pareille situation peut induire, notamment à la stabilité du pays. «La position de boycott est irreflichie, il faut laisser le peuple s'exprimer et ce seront les urnes qui détermineront avec qui est le peuple». Quant à la monopolisation, par certains, de Tamazight, de l'Islam et par d'autres du nationalisme, Belkhadem dira que cette politique du monopole ne construit pas l'Algérie et divise les Algériens, car «on ne peut pas prendre en otage une culture, une région, un peuple». Le deuxième volet de son intervention, le SG du FLN le consacrera au bilan des 10 années de gestion du pays par Bouteflika. Il dira que ce dernier, dans son programme, s'était engagé à concrétiser 03 axes principaux que sont le rétablissement de la paix, la relance du développement et la restauration de la place de l'Algérie dans le concert des nations et «Bouteflika a honoré ses engagements, c'est pourquoi, aujourd'hui, nous le soutenons» et d'ajouter : «On ne change pas une équipe qui gagne» et ceux qui pensent qu'il ont un vivier électoral en Kabylie qui leur est réservé n'ont pas compris que les habitants de la Kabylie voteront pour l'intérêt et le devenir de leur peuple a conclu Belkhadem. Le remplacement de l'emblème national par un tissu noir continue de susciter des réactions de mécontentement et de désapprobation de la part de ceux jaloux des symboles de l'Algérie. Hier, à Draâ Ben Khedda (wilaya de Tizi-Ouzou), Abdelaziz Belkhadem, SG du FLN a animé à la salle omnisports Saïd Tazrout un meeting de soutien au candidat Bouteflika. Il a consacé son intervention à la condamnation de cet acte : «Ce qui s'est passé jeudi passé, nous ne le considérons pas comme de la provocation. Ces gens-là sont captifs de leur enfermement mental. Ils ne sont pas sortis de leur coquille». L'orateur se montrera très virulent envers Saïd Sadi en déclarant que si ce dernier (qu'il ne cite pas) ne s'est pas présenté aux élections présidentielles, c'est parce qu'il n'a aucune chance de gagner. Quant à l'appel à ne voter pour aucun des six candidats en lice, il dira que ces gens-là veulent que l'Algérie se retrouve à la fin du mandat de Bouteflika sans président avec tout ce que pareille situation peut induire, notamment à la stabilité du pays. «La position de boycott est irreflichie, il faut laisser le peuple s'exprimer et ce seront les urnes qui détermineront avec qui est le peuple». Quant à la monopolisation, par certains, de Tamazight, de l'Islam et par d'autres du nationalisme, Belkhadem dira que cette politique du monopole ne construit pas l'Algérie et divise les Algériens, car «on ne peut pas prendre en otage une culture, une région, un peuple». Le deuxième volet de son intervention, le SG du FLN le consacrera au bilan des 10 années de gestion du pays par Bouteflika. Il dira que ce dernier, dans son programme, s'était engagé à concrétiser 03 axes principaux que sont le rétablissement de la paix, la relance du développement et la restauration de la place de l'Algérie dans le concert des nations et «Bouteflika a honoré ses engagements, c'est pourquoi, aujourd'hui, nous le soutenons» et d'ajouter : «On ne change pas une équipe qui gagne» et ceux qui pensent qu'il ont un vivier électoral en Kabylie qui leur est réservé n'ont pas compris que les habitants de la Kabylie voteront pour l'intérêt et le devenir de leur peuple a conclu Belkhadem.