Il s'agit, pour le Président, de faire mieux que lors des deux précédents plans quinquennaux où 3,5 millions de postes de travail ont été crées et où le taux de chômage est passé de 30 % à près de 12 % en 2008, selon les statistiques du ministère du Travail et de la Sécurité sociale. Il s'agit, pour le Président, de faire mieux que lors des deux précédents plans quinquennaux où 3,5 millions de postes de travail ont été crées et où le taux de chômage est passé de 30 % à près de 12 % en 2008, selon les statistiques du ministère du Travail et de la Sécurité sociale. Une enveloppe financière, évaluée à plus de 150 milliards de dollars, sera engagée afin de faire fructifier des projets structurants dans le cadre du programme quinquennal 2009-14 du Président réélu, Abdelaziz Bouteflika. Les objectifs prioritaires demeurent ceux inhérents à la croissance économique dont le taux est constamment sur une courbe ascendante, mais l'essentiel de son programme s'articule autour du parachèvement de la politique de l'habitat où pas moins d'un million de logements sont prévues, en plus du million déjà en chantier. Un volet prioritaire sera également pris en charge durant cette période, à savoir la création de 3 millions d'emplois. S'agissant du volet social, le gouvernement va engager des négociations tripartites avec les partenaires sociaux afin de relever le SMIG. Dans le cadre de sa stratégie d'investissement, Bouteflika estime que «le moment est venu de renforcer notre visibilité sur l'avenir à moyen et long termes». Forte de ses réserves de change et des recettes pétrolières, l'Algérie peut s'extirper des effets de la crise économique et financière internationale et entrevoir la concrétisation des différents projets économiques avec plus de réalisme. Dans cet ordre d'idées, le Président estime que «la crise économique mondiale est conjoncturelle même si elle est durable, tandis que les problèmes économiques du pays sont structurels, mais nécessitent une solution rapide et adéquate». Les investissements publics sont, donc, indispensables pour mener à bien la réalisation des grands chantiers macroéconomiques. Pour cela, la modernisation du secteur financier national est primordiale pour garantir l'équilibre financier des projets et éviter le gâchis financier. Toutefois, le prochain plan quinquennal est déterminant pour l'avenir des Algériens, sachant que la croissance démographique, les milliers de nouveaux diplômés de l'université et les milliers de jeunes arrivant chaque année sur le marché de l'emploi, sont autant d'indices qui montrent la nécessité d'une politique économique rationnelle et raisonnable. Il s'agit, pour le Président, de faire mieux que lors des deux précédents plans quinquennaux où 3,5 millions de postes de travail ont été crées et où le taux de chômage est passé de 30 % à près de 12 % en 2008, selon les statistiques du ministère du Travail et de la Sécurité sociale. Le prochain plan de développement économique inclut aussi la réalisation de plusieurs infrastructures stratégiques pour le pays, tel le secteur des transports et de l'hydraulique, sachant que la construction de nouveaux barrages est plus que nécessaire pour faire face à la pénurie d'eau qui pointe à l'horizon 2025 et dont l'enjeu stratégique sera l'accès à l'eau et la gestion rationnelle des ressources hydriques. Ainsi, l'autoroute Est-Ouest, en voie d'achèvement, a requis 11 milliards de dollars, l'équivalent de 800 milliards DA. Ce moyen de communication important pour le développement durable et les échanges commerciaux interwilayas, générera des milliers d'emplois. Quant au volet de l'hydraulique, pas moins de 19 milliards de dollars seront consacrés pour le développement de ce secteur durant la période 2009-14 afin de réaliser des projets de construction de barrages à travers le territoire national et la réalisation de conduites d'approvisionnement en eau potable, ainsi que la solution des problèmes d'irrigation pour les superficies agricoles. Pour sa part, le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, a réaffirmé l'investissement de 63 milliards de dollars par Sonatrach, pour les cinq prochaines années, destinés à augmenter les capacités exportatrices du pays. Il estime que le programme de financement du programme quinquennal 2009-14 sera financé aisément même si le baril de pétrole demeure à 40 dollars sachant que le programme d'investissement de 150 milliards de dollars a été calculé sur la base d'un baril à 37 dollars. Une enveloppe financière, évaluée à plus de 150 milliards de dollars, sera engagée afin de faire fructifier des projets structurants dans le cadre du programme quinquennal 2009-14 du Président réélu, Abdelaziz Bouteflika. Les objectifs prioritaires demeurent ceux inhérents à la croissance économique dont le taux est constamment sur une courbe ascendante, mais l'essentiel de son programme s'articule autour du parachèvement de la politique de l'habitat où pas moins d'un million de logements sont prévues, en plus du million déjà en chantier. Un volet prioritaire sera également pris en charge durant cette période, à savoir la création de 3 millions d'emplois. S'agissant du volet social, le gouvernement va engager des négociations tripartites avec les partenaires sociaux afin de relever le SMIG. Dans le cadre de sa stratégie d'investissement, Bouteflika estime que «le moment est venu de renforcer notre visibilité sur l'avenir à moyen et long termes». Forte de ses réserves de change et des recettes pétrolières, l'Algérie peut s'extirper des effets de la crise économique et financière internationale et entrevoir la concrétisation des différents projets économiques avec plus de réalisme. Dans cet ordre d'idées, le Président estime que «la crise économique mondiale est conjoncturelle même si elle est durable, tandis que les problèmes économiques du pays sont structurels, mais nécessitent une solution rapide et adéquate». Les investissements publics sont, donc, indispensables pour mener à bien la réalisation des grands chantiers macroéconomiques. Pour cela, la modernisation du secteur financier national est primordiale pour garantir l'équilibre financier des projets et éviter le gâchis financier. Toutefois, le prochain plan quinquennal est déterminant pour l'avenir des Algériens, sachant que la croissance démographique, les milliers de nouveaux diplômés de l'université et les milliers de jeunes arrivant chaque année sur le marché de l'emploi, sont autant d'indices qui montrent la nécessité d'une politique économique rationnelle et raisonnable. Il s'agit, pour le Président, de faire mieux que lors des deux précédents plans quinquennaux où 3,5 millions de postes de travail ont été crées et où le taux de chômage est passé de 30 % à près de 12 % en 2008, selon les statistiques du ministère du Travail et de la Sécurité sociale. Le prochain plan de développement économique inclut aussi la réalisation de plusieurs infrastructures stratégiques pour le pays, tel le secteur des transports et de l'hydraulique, sachant que la construction de nouveaux barrages est plus que nécessaire pour faire face à la pénurie d'eau qui pointe à l'horizon 2025 et dont l'enjeu stratégique sera l'accès à l'eau et la gestion rationnelle des ressources hydriques. Ainsi, l'autoroute Est-Ouest, en voie d'achèvement, a requis 11 milliards de dollars, l'équivalent de 800 milliards DA. Ce moyen de communication important pour le développement durable et les échanges commerciaux interwilayas, générera des milliers d'emplois. Quant au volet de l'hydraulique, pas moins de 19 milliards de dollars seront consacrés pour le développement de ce secteur durant la période 2009-14 afin de réaliser des projets de construction de barrages à travers le territoire national et la réalisation de conduites d'approvisionnement en eau potable, ainsi que la solution des problèmes d'irrigation pour les superficies agricoles. Pour sa part, le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, a réaffirmé l'investissement de 63 milliards de dollars par Sonatrach, pour les cinq prochaines années, destinés à augmenter les capacités exportatrices du pays. Il estime que le programme de financement du programme quinquennal 2009-14 sera financé aisément même si le baril de pétrole demeure à 40 dollars sachant que le programme d'investissement de 150 milliards de dollars a été calculé sur la base d'un baril à 37 dollars.