Les champions cyclistes danois Michael Rasmussen et autrichien Bernhard Kohl font l'objet d'une enquête pénale pour trafic de substances dopantes, au même titre que le skieur de fond autrichien Christian Hoffmann, a annoncé le parquet de Vienne lundi dernier. Les trois hommes sont soupçonnés d'avoir fait bénéficier à d'autres sportifs, moyennant finances, une centrifugeuse pour le dopage sanguin qu'ils sont accusés d'avoir achetée avec le manageur Stefan Matschiner, déjà inculpé. L'implication de tiers ouvre la voie à des poursuites pénales, ce qui n'était pas le cas, pour les faits antérieurs à un durcissement de la loi autrichienne en août 2008, pour le simple fait de recourir au dopage. "Nous enquêtons sur tous ceux qui se sont associés à l'achat de cette machine et qui sont susceptibles d'être complices de dopage sanguin" sur autrui, a indiqué le porte-parole du parquet, Gerhard Jarosch. Stefan Matschiner et les trois sportifs sont soupçonnés d'avoir cherché à amortir de cette façon l'achat de la centrifugeuse. D'abord employé au domicile du manageur en Haute-Autriche, l'appareil, qui permet la fabrication de concentrés sanguins en vue d'autotransfusions, avait été exfiltré à Budapest, où les enquêteurs l'on découvert. Bernard Kohl, déchu de ses titres de meilleur grimpeur et de 3e du Tour de France 2008 après avoir été convaincu de dopage à l'EPO CERA, a reconnu avoir utilisé l'appareil. Christian Hoffmann, dont l'ouverture de l'enquête le visant a été rendue publique dimanche, récuse catégoriquement cette accusation, tout comme Michael Rasmussen, exclu du Tour de France 2007 pour s'être soustrait à des contrôles anti-dopage. Déjà inculpé dans cette affaire, Stefan Matschiner avait été remis en liberté le 7 mai après avoir été emprisonné pendant plus de cinq semaines. Les champions cyclistes danois Michael Rasmussen et autrichien Bernhard Kohl font l'objet d'une enquête pénale pour trafic de substances dopantes, au même titre que le skieur de fond autrichien Christian Hoffmann, a annoncé le parquet de Vienne lundi dernier. Les trois hommes sont soupçonnés d'avoir fait bénéficier à d'autres sportifs, moyennant finances, une centrifugeuse pour le dopage sanguin qu'ils sont accusés d'avoir achetée avec le manageur Stefan Matschiner, déjà inculpé. L'implication de tiers ouvre la voie à des poursuites pénales, ce qui n'était pas le cas, pour les faits antérieurs à un durcissement de la loi autrichienne en août 2008, pour le simple fait de recourir au dopage. "Nous enquêtons sur tous ceux qui se sont associés à l'achat de cette machine et qui sont susceptibles d'être complices de dopage sanguin" sur autrui, a indiqué le porte-parole du parquet, Gerhard Jarosch. Stefan Matschiner et les trois sportifs sont soupçonnés d'avoir cherché à amortir de cette façon l'achat de la centrifugeuse. D'abord employé au domicile du manageur en Haute-Autriche, l'appareil, qui permet la fabrication de concentrés sanguins en vue d'autotransfusions, avait été exfiltré à Budapest, où les enquêteurs l'on découvert. Bernard Kohl, déchu de ses titres de meilleur grimpeur et de 3e du Tour de France 2008 après avoir été convaincu de dopage à l'EPO CERA, a reconnu avoir utilisé l'appareil. Christian Hoffmann, dont l'ouverture de l'enquête le visant a été rendue publique dimanche, récuse catégoriquement cette accusation, tout comme Michael Rasmussen, exclu du Tour de France 2007 pour s'être soustrait à des contrôles anti-dopage. Déjà inculpé dans cette affaire, Stefan Matschiner avait été remis en liberté le 7 mai après avoir été emprisonné pendant plus de cinq semaines.
