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L'Algérie parmi les quatre premières économies émergentes de l'Afrique
Selon un rapport conjoint d'institutions financières internationales
Publié dans Le Midi Libre le 11 - 06 - 2009

L'Algérie est classée dans le groupe des quatre premières économies émergentes de l'Afrique appelé groupe SANE en référence aux initiales des pays qui le composent, c'est-à-dire South Africa, Algérie, Nigeria et Egypte.
L'Algérie est classée dans le groupe des quatre premières économies émergentes de l'Afrique appelé groupe SANE en référence aux initiales des pays qui le composent, c'est-à-dire South Africa, Algérie, Nigeria et Egypte.
Un rapport, publié hier, par trois institutions financières internationales qui sont la Banque mondiale, la Banque africaine de développement et le Forum économique mondial, classe l'Algérie dans le groupe des quatre premières économies émergentes de l'Afrique appelé groupe SANE en référence aux initiales des pays qui le composent c'est-à-dire, South Africa, Algérie, Nigeria et Egypte. Selon ce rapport rendu public à l'occasion de la tenue du Forum économique mondial sur l'Afrique, du 10 au 12 juin dans la ville du Cap en Afrique du Sud, les pays du groupe SANE, dont l'Algérie fait partie, sont ceux qui «sont prêts à rebondir» de la crise financière et économique internationale. Et ce, «en raison notamment des réformes financières engagées depuis le début des années 90» ainsi que «des systèmes de régulation financière» dont ils sont dotés. Le document indique que les pays SANE regroupent les deux tiers des plus grandes compagnies africaines, 30 des 50 grandes banques du continent, et drainent plus de la moitié des investissements directs étrangers (IDE) en Afrique. Le rapport note que son évaluation a été faite sur la base d'études élaborées «par plusieurs experts internationaux qui ont passé en revue les grandes réformes du secteur financier de chacun de ces quatre pays africains». Abordant largement les indicateurs de performance des banques en Algérie, sa politique monétaire, son marché des capitaux et son secteur des assurances, le rapport souligne que la réforme du secteur financier algérien «a généré des effets positifs non seulement pour le secteur financier, mais aussi pour le reste de l'économie». Le document rapporte que le Programme d'évaluation du système financier algérien (FSAP) mené par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale (BM) a soutenu dans ses conclusions que «le système bancaire algérien ne constitue pas une menace à la stabilité macro-économique de l'Algérie en raison des ressources financières du propriétaire prédominant (Etat) des banques et des progrès dans la supervision bancaire et dans la gouvernance des banques publiques». Le document souligne, cependant, que malgré ces résultats, l'Algérie doit poursuivre les réformes financières notamment pour ce qui concerne le marché des capitaux «qui reste encore faible». Par ailleurs, le rapport aborde l'ensemble des pays africains pour lesquels il constate que l'accès limité aux services financiers demeure un «obstacle de taille» pour les entreprises africaines, ajoutant que les pays africains sont, aussi, «moins compétitifs sur le marché mondial à cause des infrastructures peu développées, des services de soins de santé et d'éducation limités et de l'insuffisance des cadres institutionnels». Le rapport met en relief des lignes d'action à court long termes pour améliorer la compétitivité des économies africaines.
Un rapport, publié hier, par trois institutions financières internationales qui sont la Banque mondiale, la Banque africaine de développement et le Forum économique mondial, classe l'Algérie dans le groupe des quatre premières économies émergentes de l'Afrique appelé groupe SANE en référence aux initiales des pays qui le composent c'est-à-dire, South Africa, Algérie, Nigeria et Egypte. Selon ce rapport rendu public à l'occasion de la tenue du Forum économique mondial sur l'Afrique, du 10 au 12 juin dans la ville du Cap en Afrique du Sud, les pays du groupe SANE, dont l'Algérie fait partie, sont ceux qui «sont prêts à rebondir» de la crise financière et économique internationale. Et ce, «en raison notamment des réformes financières engagées depuis le début des années 90» ainsi que «des systèmes de régulation financière» dont ils sont dotés. Le document indique que les pays SANE regroupent les deux tiers des plus grandes compagnies africaines, 30 des 50 grandes banques du continent, et drainent plus de la moitié des investissements directs étrangers (IDE) en Afrique. Le rapport note que son évaluation a été faite sur la base d'études élaborées «par plusieurs experts internationaux qui ont passé en revue les grandes réformes du secteur financier de chacun de ces quatre pays africains». Abordant largement les indicateurs de performance des banques en Algérie, sa politique monétaire, son marché des capitaux et son secteur des assurances, le rapport souligne que la réforme du secteur financier algérien «a généré des effets positifs non seulement pour le secteur financier, mais aussi pour le reste de l'économie». Le document rapporte que le Programme d'évaluation du système financier algérien (FSAP) mené par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale (BM) a soutenu dans ses conclusions que «le système bancaire algérien ne constitue pas une menace à la stabilité macro-économique de l'Algérie en raison des ressources financières du propriétaire prédominant (Etat) des banques et des progrès dans la supervision bancaire et dans la gouvernance des banques publiques». Le document souligne, cependant, que malgré ces résultats, l'Algérie doit poursuivre les réformes financières notamment pour ce qui concerne le marché des capitaux «qui reste encore faible». Par ailleurs, le rapport aborde l'ensemble des pays africains pour lesquels il constate que l'accès limité aux services financiers demeure un «obstacle de taille» pour les entreprises africaines, ajoutant que les pays africains sont, aussi, «moins compétitifs sur le marché mondial à cause des infrastructures peu développées, des services de soins de santé et d'éducation limités et de l'insuffisance des cadres institutionnels». Le rapport met en relief des lignes d'action à court long termes pour améliorer la compétitivité des économies africaines.


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