A l'instar de nombreux autres centres de correction répartis à travers le pays, la correction du baccalauréat version 2009, arrive à sa phase finale au niveau du centre Mohammed- Seddik-Benyahia de Bouira. Hier, les présidents des jurys, le secrétariat et l'équipe administrative planchaient déjà sur les dernières retouches après avoir entièrement terminé la troisième correction, celle où apparaissent les écarts entre la première et la seconde correction. On apprend des responsables du centre de Bouira, que plus de 450 enseignants ont été convoqués pour prendre en charge la correction des copies dont le nombre avoisine les 11.200 unités. Les copies concernant quatre filières, englobant 63 jurys (Un nombre plus important comparativement aux années précédentes), ont été corrigées à Bouira, à savoir, les lettres et sciences humaines, les sciences naturelles et de la vie relevant de l'ancien système ainsi que les lettres et philosophie et la gestion et économie découlant du nouveau système. Sur un autre registre, il y a lieu de signaler que le centre de correction de Bouira, qui est fonctionnel depuis trois années déjà, connaît de nettes améliorations notamment, en ce qui concerne l'accueil et la restauration des participants à l'opération de correction. Les responsables affirment qu'ils font de leur mieux pour combler les lacunes qui apparaissent au fur et à mesure. L'objectif étant de "mettre les correcteurs à l'aise et de réunir les meilleures conditions de travail pour toute l'équipe qui participe à l'opération de correction", dira Amrane, l'un des responsables du centre. Interrogés sur la prise en charge et les conditions d'accueil les enseignants chargés des corrections étaient unanimes à les juger nettement positives : "les responsables du centre sont compréhensifs et très communicatifs et c'est l'essentiel", conclura un groupe d'enseignants rencontré à l'heure du repas. A l'instar de nombreux autres centres de correction répartis à travers le pays, la correction du baccalauréat version 2009, arrive à sa phase finale au niveau du centre Mohammed- Seddik-Benyahia de Bouira. Hier, les présidents des jurys, le secrétariat et l'équipe administrative planchaient déjà sur les dernières retouches après avoir entièrement terminé la troisième correction, celle où apparaissent les écarts entre la première et la seconde correction. On apprend des responsables du centre de Bouira, que plus de 450 enseignants ont été convoqués pour prendre en charge la correction des copies dont le nombre avoisine les 11.200 unités. Les copies concernant quatre filières, englobant 63 jurys (Un nombre plus important comparativement aux années précédentes), ont été corrigées à Bouira, à savoir, les lettres et sciences humaines, les sciences naturelles et de la vie relevant de l'ancien système ainsi que les lettres et philosophie et la gestion et économie découlant du nouveau système. Sur un autre registre, il y a lieu de signaler que le centre de correction de Bouira, qui est fonctionnel depuis trois années déjà, connaît de nettes améliorations notamment, en ce qui concerne l'accueil et la restauration des participants à l'opération de correction. Les responsables affirment qu'ils font de leur mieux pour combler les lacunes qui apparaissent au fur et à mesure. L'objectif étant de "mettre les correcteurs à l'aise et de réunir les meilleures conditions de travail pour toute l'équipe qui participe à l'opération de correction", dira Amrane, l'un des responsables du centre. Interrogés sur la prise en charge et les conditions d'accueil les enseignants chargés des corrections étaient unanimes à les juger nettement positives : "les responsables du centre sont compréhensifs et très communicatifs et c'est l'essentiel", conclura un groupe d'enseignants rencontré à l'heure du repas.
