A peine entamée, la campagne moissons-battages de cette année enregistre ses premiers feux de récolte. Selon la protection civile de Chlef, plusieurs interventions ont été effectuées par les soldats du feu au cours de la seule journée du lundi durant laquelle 4 foyers d'incendie ont été signalés. A peine entamée, la campagne moissons-battages de cette année enregistre ses premiers feux de récolte. Selon la protection civile de Chlef, plusieurs interventions ont été effectuées par les soldats du feu au cours de la seule journée du lundi durant laquelle 4 foyers d'incendie ont été signalés. Le premier feu de récolte s'est déclaré dans la commune de Chettia où 2 hectares de blé sont partis en fumée en l'espace de quelques heures. Presque au même moment, deux autres incendies ont ravagé 3 hectares de récolte ( 2 hectares de blé et un autre d'orge ) dans la commune de Zéboudja. Puis s'en suivit, vers 17 h de cette même journée, un autre sinistre dans la commune de Ain-Mérane où, là, les dégâts sont plus importants, car on déplore la perte de 5 hectares de blé. Par ailleurs, il faut signaler que la canicule qui a sévi au cours de cette journée du lundi où le thermomètre a grimpé jusqu'à 33 degrés à l'ombre n'a pas épargné les forêts. A titre d'exemple, dans la commune côtière de Béni-Haoua, un hectare de pin d'Alep a été la proie des flammes. A noter que ce premier feu, dans une zone dèjà rudement touchée lors des années précédentes, a été rapidement circonscris grâce au plan anti-incendie mis en place début juin. Il convient de signaler qu'en dépit des consignes de sécurité et la conduite à suivre face à ces sinistres, prodigués par les services agricoles, bon nombre d'agriculteurs sont très peu regardants même sur les mesures les plus simples mais, néanmoins, efficaces, tels que le démembrement des champs en carrés, le désherbage, la mobilisation en permanence d'une citerne d'eau et la non moisson aux heures de grande chaleur. Enfin, une dernière recommandation de la protection civile : celle d'identifier avec précision le lieu du sinistre afin que les sapeurs pompiers interviennent rapidement, dès les premières minutes de l'incendie, pour limiter les dégâts au minimum possible. Le premier feu de récolte s'est déclaré dans la commune de Chettia où 2 hectares de blé sont partis en fumée en l'espace de quelques heures. Presque au même moment, deux autres incendies ont ravagé 3 hectares de récolte ( 2 hectares de blé et un autre d'orge ) dans la commune de Zéboudja. Puis s'en suivit, vers 17 h de cette même journée, un autre sinistre dans la commune de Ain-Mérane où, là, les dégâts sont plus importants, car on déplore la perte de 5 hectares de blé. Par ailleurs, il faut signaler que la canicule qui a sévi au cours de cette journée du lundi où le thermomètre a grimpé jusqu'à 33 degrés à l'ombre n'a pas épargné les forêts. A titre d'exemple, dans la commune côtière de Béni-Haoua, un hectare de pin d'Alep a été la proie des flammes. A noter que ce premier feu, dans une zone dèjà rudement touchée lors des années précédentes, a été rapidement circonscris grâce au plan anti-incendie mis en place début juin. Il convient de signaler qu'en dépit des consignes de sécurité et la conduite à suivre face à ces sinistres, prodigués par les services agricoles, bon nombre d'agriculteurs sont très peu regardants même sur les mesures les plus simples mais, néanmoins, efficaces, tels que le démembrement des champs en carrés, le désherbage, la mobilisation en permanence d'une citerne d'eau et la non moisson aux heures de grande chaleur. Enfin, une dernière recommandation de la protection civile : celle d'identifier avec précision le lieu du sinistre afin que les sapeurs pompiers interviennent rapidement, dès les premières minutes de l'incendie, pour limiter les dégâts au minimum possible.
