Les camions ne cessent de semer la terreur parmi les usagers de la route. Ces grands engins sont réputés pour être la cause de plusieurs accidents. M. Lazouni, connu des familles algériennes, notamment, pour son émission télévisée "Tarik Salama", et actuellement président d'une association de prévention routière, n'est pas resté indifférent face à l'accident qui a coûté la vie à 16 personnes dont quatre enfants, survenu, samedi après-midi au niveau du chemin de wilaya 94 reliant Tlemcen à Ghazaouet, à l'entrée de la ville de Ghazaouet (Tlemcen), sur le chemin menant vers la plage de Sidna Youchaa, apprend-on auprès des services de la protection civile de la wilaya. Contacté hier par nos soins, le retraité de la sûreté nationale, a dénoncé rigoureusement «les comportements irresponsables des chauffeurs » et aussi «la passivité des pouvoirs publics». S'appuyant sur ce dernier accident en date qu'il juge dramatique, notre interlocuteur tire la sonnette d'alarme. Pour lui, Il est de plus en plus urgent de mettre de l'ordre dans la conduite de ces camions. Il s'avère que les grands engins sont tant de fois derrière ces accidents surtout quand les chauffeurs, pris d'une folie de supériorité sur la route, omettent de respecter les autres usagers ou vérifier la bonne fonctionnalité des différentes pièces du véhicule. «Ce que je propose, moi, c'est de passer le candidat au permis de conduire poids lourd à un test psychologique et intellectuel», suggère-t-il. Avant d'ajouter que « tous ne sont pas aptes à conduire un camion. Cet engin et plus dangereux que les autres quatre-roues; il faut donc être sûr qu'il puisse le maitriser sans causer de dégâts à son environnement». La formation de ces chauffards dans les auto écoles et d'après lui insuffisantes, vu qu'elle n'est pas la seule variante qui «influe sur la qualité de la conduite». «L'apprentissage ou la formation et l'éducation de la personne sont deux choses qui se complètent mais qui sont aussi totalement différentes», a-t-il précisé. Les seize personnes toutes d'une même famille étaient à bord d'un minibus. Elles espéraient toutes de magnifiques instants au bord de la plage qu'ils allaient rejoindre. Mais la négligence de l'homme en a voulu autrement. Le camion aurait eu, selon les habitants, un problème de frein, ce qui l'a empêché d'éviter ce terrible drame. Cela sans compter les autres accidents à travers le territoire national. «L'homme est, d'une manière ou d'une autre derrière tous les accidents de la route. Car c'est le véhicule qui est à son service, non l'inverse», a encore réitéré M.Lazouni. Les camions ne cessent de semer la terreur parmi les usagers de la route. Ces grands engins sont réputés pour être la cause de plusieurs accidents. M. Lazouni, connu des familles algériennes, notamment, pour son émission télévisée "Tarik Salama", et actuellement président d'une association de prévention routière, n'est pas resté indifférent face à l'accident qui a coûté la vie à 16 personnes dont quatre enfants, survenu, samedi après-midi au niveau du chemin de wilaya 94 reliant Tlemcen à Ghazaouet, à l'entrée de la ville de Ghazaouet (Tlemcen), sur le chemin menant vers la plage de Sidna Youchaa, apprend-on auprès des services de la protection civile de la wilaya. Contacté hier par nos soins, le retraité de la sûreté nationale, a dénoncé rigoureusement «les comportements irresponsables des chauffeurs » et aussi «la passivité des pouvoirs publics». S'appuyant sur ce dernier accident en date qu'il juge dramatique, notre interlocuteur tire la sonnette d'alarme. Pour lui, Il est de plus en plus urgent de mettre de l'ordre dans la conduite de ces camions. Il s'avère que les grands engins sont tant de fois derrière ces accidents surtout quand les chauffeurs, pris d'une folie de supériorité sur la route, omettent de respecter les autres usagers ou vérifier la bonne fonctionnalité des différentes pièces du véhicule. «Ce que je propose, moi, c'est de passer le candidat au permis de conduire poids lourd à un test psychologique et intellectuel», suggère-t-il. Avant d'ajouter que « tous ne sont pas aptes à conduire un camion. Cet engin et plus dangereux que les autres quatre-roues; il faut donc être sûr qu'il puisse le maitriser sans causer de dégâts à son environnement». La formation de ces chauffards dans les auto écoles et d'après lui insuffisantes, vu qu'elle n'est pas la seule variante qui «influe sur la qualité de la conduite». «L'apprentissage ou la formation et l'éducation de la personne sont deux choses qui se complètent mais qui sont aussi totalement différentes», a-t-il précisé. Les seize personnes toutes d'une même famille étaient à bord d'un minibus. Elles espéraient toutes de magnifiques instants au bord de la plage qu'ils allaient rejoindre. Mais la négligence de l'homme en a voulu autrement. Le camion aurait eu, selon les habitants, un problème de frein, ce qui l'a empêché d'éviter ce terrible drame. Cela sans compter les autres accidents à travers le territoire national. «L'homme est, d'une manière ou d'une autre derrière tous les accidents de la route. Car c'est le véhicule qui est à son service, non l'inverse», a encore réitéré M.Lazouni.