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La galette de blé de retour à Batna
Us et coutumes
Publié dans Le Midi Libre le 07 - 09 - 2009

La multitude des variétés de pain proposées à la vente par les boulangers de la capitale des Aurès en ce mois sacré arrive tant bien que mal à détrôner la galette à la farine de blé dur de sa place de pain préféré des ménages batnéens.
La multitude des variétés de pain proposées à la vente par les boulangers de la capitale des Aurès en ce mois sacré arrive tant bien que mal à détrôner la galette à la farine de blé dur de sa place de pain préféré des ménages batnéens.
Selon Hadja fatma, une septuagénaire bateneenne, connue dans sa région pour préparer diverse variété de pain à base de blé dur et d'orge. «Consommer le pain de blé dur apporte plus de vitalité au jeûneur et c'est la où réside le secret de l'énergie de notre génération. Celle-ci ne souffrait guère des problèmes relatifs à la digestion connus en ces temps moderne», dira Hadja Fatma qui soutient toutefois que ce pain de boulanger, bien qu'il soit confectionné à base de blé dur "n'égale point le goût" de la galette préparée à la maison sur le tadjin de terre cuite (plat en argile pour la cuisson). Quant à Mme Khedidja, elle affirme faire chaque année sa provision de blé qu'elle prépare à la manière traditionnelle héritée de sa belle-mère. «Le blé, explique-t-elle, est d'abord débarrassé des impuretés, lavé puis séché au soleil pendant une journée ou deux, avant d'être mis en sacs et envoyé au meunier du coin. La galette au blé dur est préparée de la même manière que la galette "matlo'", mais son goût est plus délicat et légèrement plus sucré.» Ce retour à la consommation du blé, qui était jusqu'il y a peu largement répandue surtout en campagne, a donné une nouvelle vie dans la ville de Batna pour la profession de meunier durant ces dernières années. Auparavant, il fallait se déplacer pour avoir un sac de blé dur vers les minoteries des communes voisines, notamment Chémora, Ayoun Laâssafir, Timgad, Tazoult et Oued Chaaba. Ahmed, un meunier de la localité de Markouna, dit être incapable de faire face à toute la demande en cette période, malgré que son établissement fonctionne 13 heures par jour, de 7h00 à 20h00. Car, affirme t-il, «la pression sur les minoteries atteint son pic à la veille du ramadhan».
«La consommation du pain dont les grains n'ont pas été débarrassés ni du son ni du germe est particulièrement recommandée pour ses vertus nutritionnelles notamment pour sa richesse en fibres alimentaires qui favorisent le transit intestinal» affirme la plupart des médecins. Oussama Benoudina, pharmacien de profession, relève de son côté qu'un grain de blé dur contient 70 % des vitamines et sels minéraux dont notamment les vitamines B1, B5 et B12 qui le rendent "très conseillé pour une alimentation équilibrée". La galette au blé dur est, aux côté des laits et des dattes, au centre du régime alimentaire adopté des siècles durant par les habitants des Aurès, une population jadis réputée pour sa bonne santé et une longévité dépassant les 90 ans. La multitude des variétés de pain proposées à la vente par les boulangers de la capitale des Aurès en ce mois sacré arrive tant bien que mal à détrôner la galette à la farine de blé dur de sa place de pain préféré des ménages batnéens.
Selon Hadja fatma, une septuagénaire bateneenne, connue dans sa région pour préparer diverse variété de pain à base de blé dur et d'orge. «Consommer le pain de blé dur apporte plus de vitalité au jeûneur et c'est la où réside le secret de l'énergie de notre génération. Celle-ci ne souffrait guère des problèmes relatifs à la digestion connus en ces temps moderne», dira Hadja Fatma qui soutient toutefois que ce pain de boulanger, bien qu'il soit confectionné à base de blé dur "n'égale point le goût" de la galette préparée à la maison sur le tadjin de terre cuite (plat en argile pour la cuisson). Quant à Mme Khedidja, elle affirme faire chaque année sa provision de blé qu'elle prépare à la manière traditionnelle héritée de sa belle-mère. «Le blé, explique-t-elle, est d'abord débarrassé des impuretés, lavé puis séché au soleil pendant une journée ou deux, avant d'être mis en sacs et envoyé au meunier du coin. La galette au blé dur est préparée de la même manière que la galette "matlo'", mais son goût est plus délicat et légèrement plus sucré.» Ce retour à la consommation du blé, qui était jusqu'il y a peu largement répandue surtout en campagne, a donné une nouvelle vie dans la ville de Batna pour la profession de meunier durant ces dernières années. Auparavant, il fallait se déplacer pour avoir un sac de blé dur vers les minoteries des communes voisines, notamment Chémora, Ayoun Laâssafir, Timgad, Tazoult et Oued Chaaba. Ahmed, un meunier de la localité de Markouna, dit être incapable de faire face à toute la demande en cette période, malgré que son établissement fonctionne 13 heures par jour, de 7h00 à 20h00. Car, affirme t-il, «la pression sur les minoteries atteint son pic à la veille du ramadhan».
«La consommation du pain dont les grains n'ont pas été débarrassés ni du son ni du germe est particulièrement recommandée pour ses vertus nutritionnelles notamment pour sa richesse en fibres alimentaires qui favorisent le transit intestinal» affirme la plupart des médecins. Oussama Benoudina, pharmacien de profession, relève de son côté qu'un grain de blé dur contient 70 % des vitamines et sels minéraux dont notamment les vitamines B1, B5 et B12 qui le rendent "très conseillé pour une alimentation équilibrée". La galette au blé dur est, aux côté des laits et des dattes, au centre du régime alimentaire adopté des siècles durant par les habitants des Aurès, une population jadis réputée pour sa bonne santé et une longévité dépassant les 90 ans. La multitude des variétés de pain proposées à la vente par les boulangers de la capitale des Aurès en ce mois sacré arrive tant bien que mal à détrôner la galette à la farine de blé dur de sa place de pain préféré des ménages batnéens.
Selon Hadja fatma, une septuagénaire bateneenne, connue dans sa région pour préparer diverse variété de pain à base de blé dur et d'orge. «Consommer le pain de blé dur apporte plus de vitalité au jeûneur et c'est la où réside le secret de l'énergie de notre génération. Celle-ci ne souffrait guère des problèmes relatifs à la digestion connus en ces temps moderne», dira Hadja Fatma qui soutient toutefois que ce pain de boulanger, bien qu'il soit confectionné à base de blé dur "n'égale point le goût" de la galette préparée à la maison sur le tadjin de terre cuite (plat en argile pour la cuisson). Quant à Mme Khedidja, elle affirme faire chaque année sa provision de blé qu'elle prépare à la manière traditionnelle héritée de sa belle-mère. «Le blé, explique-t-elle, est d'abord débarrassé des impuretés, lavé puis séché au soleil pendant une journée ou deux, avant d'être mis en sacs et envoyé au meunier du coin. La galette au blé dur est préparée de la même manière que la galette "matlo'", mais son goût est plus délicat et légèrement plus sucré.» Ce retour à la consommation du blé, qui était jusqu'il y a peu largement répandue surtout en campagne, a donné une nouvelle vie dans la ville de Batna pour la profession de meunier durant ces dernières années. Auparavant, il fallait se déplacer pour avoir un sac de blé dur vers les minoteries des communes voisines, notamment Chémora, Ayoun Laâssafir, Timgad, Tazoult et Oued Chaaba. Ahmed, un meunier de la localité de Markouna, dit être incapable de faire face à toute la demande en cette période, malgré que son établissement fonctionne 13 heures par jour, de 7h00 à 20h00. Car, affirme t-il, «la pression sur les minoteries atteint son pic à la veille du ramadhan».
«La consommation du pain dont les grains n'ont pas été débarrassés ni du son ni du germe est particulièrement recommandée pour ses vertus nutritionnelles notamment pour sa richesse en fibres alimentaires qui favorisent le transit intestinal» affirme la plupart des médecins. Oussama Benoudina, pharmacien de profession, relève de son côté qu'un grain de blé dur contient 70 % des vitamines et sels minéraux dont notamment les vitamines B1, B5 et B12 qui le rendent "très conseillé pour une alimentation équilibrée". La galette au blé dur est, aux côté des laits et des dattes, au centre du régime alimentaire adopté des siècles durant par les habitants des Aurès, une population jadis réputée pour sa bonne santé et une longévité dépassant les 90 ans.
Selon Hadja fatma, une septuagénaire bateneenne, connue dans sa région pour préparer diverse variété de pain à base de blé dur et d'orge. «Consommer le pain de blé dur apporte plus de vitalité au jeûneur et c'est la où réside le secret de l'énergie de notre génération. Celle-ci ne souffrait guère des problèmes relatifs à la digestion connus en ces temps moderne», dira Hadja Fatma qui soutient toutefois que ce pain de boulanger, bien qu'il soit confectionné à base de blé dur "n'égale point le goût" de la galette préparée à la maison sur le tadjin de terre cuite (plat en argile pour la cuisson). Quant à Mme Khedidja, elle affirme faire chaque année sa provision de blé qu'elle prépare à la manière traditionnelle héritée de sa belle-mère. «Le blé, explique-t-elle, est d'abord débarrassé des impuretés, lavé puis séché au soleil pendant une journée ou deux, avant d'être mis en sacs et envoyé au meunier du coin. La galette au blé dur est préparée de la même manière que la galette "matlo'", mais son goût est plus délicat et légèrement plus sucré.» Ce retour à la consommation du blé, qui était jusqu'il y a peu largement répandue surtout en campagne, a donné une nouvelle vie dans la ville de Batna pour la profession de meunier durant ces dernières années. Auparavant, il fallait se déplacer pour avoir un sac de blé dur vers les minoteries des communes voisines, notamment Chémora, Ayoun Laâssafir, Timgad, Tazoult et Oued Chaaba. Ahmed, un meunier de la localité de Markouna, dit être incapable de faire face à toute la demande en cette période, malgré que son établissement fonctionne 13 heures par jour, de 7h00 à 20h00. Car, affirme t-il, «la pression sur les minoteries atteint son pic à la veille du ramadhan».
«La consommation du pain dont les grains n'ont pas été débarrassés ni du son ni du germe est particulièrement recommandée pour ses vertus nutritionnelles notamment pour sa richesse en fibres alimentaires qui favorisent le transit intestinal» affirme la plupart des médecins. Oussama Benoudina, pharmacien de profession, relève de son côté qu'un grain de blé dur contient 70 % des vitamines et sels minéraux dont notamment les vitamines B1, B5 et B12 qui le rendent "très conseillé pour une alimentation équilibrée". La galette au blé dur est, aux côté des laits et des dattes, au centre du régime alimentaire adopté des siècles durant par les habitants des Aurès, une population jadis réputée pour sa bonne santé et une longévité dépassant les 90 ans. La multitude des variétés de pain proposées à la vente par les boulangers de la capitale des Aurès en ce mois sacré arrive tant bien que mal à détrôner la galette à la farine de blé dur de sa place de pain préféré des ménages batnéens.
Selon Hadja fatma, une septuagénaire bateneenne, connue dans sa région pour préparer diverse variété de pain à base de blé dur et d'orge. «Consommer le pain de blé dur apporte plus de vitalité au jeûneur et c'est la où réside le secret de l'énergie de notre génération. Celle-ci ne souffrait guère des problèmes relatifs à la digestion connus en ces temps moderne», dira Hadja Fatma qui soutient toutefois que ce pain de boulanger, bien qu'il soit confectionné à base de blé dur "n'égale point le goût" de la galette préparée à la maison sur le tadjin de terre cuite (plat en argile pour la cuisson). Quant à Mme Khedidja, elle affirme faire chaque année sa provision de blé qu'elle prépare à la manière traditionnelle héritée de sa belle-mère. «Le blé, explique-t-elle, est d'abord débarrassé des impuretés, lavé puis séché au soleil pendant une journée ou deux, avant d'être mis en sacs et envoyé au meunier du coin. La galette au blé dur est préparée de la même manière que la galette "matlo'", mais son goût est plus délicat et légèrement plus sucré.» Ce retour à la consommation du blé, qui était jusqu'il y a peu largement répandue surtout en campagne, a donné une nouvelle vie dans la ville de Batna pour la profession de meunier durant ces dernières années. Auparavant, il fallait se déplacer pour avoir un sac de blé dur vers les minoteries des communes voisines, notamment Chémora, Ayoun Laâssafir, Timgad, Tazoult et Oued Chaaba. Ahmed, un meunier de la localité de Markouna, dit être incapable de faire face à toute la demande en cette période, malgré que son établissement fonctionne 13 heures par jour, de 7h00 à 20h00. Car, affirme t-il, «la pression sur les minoteries atteint son pic à la veille du ramadhan».
«La consommation du pain dont les grains n'ont pas été débarrassés ni du son ni du germe est particulièrement recommandée pour ses vertus nutritionnelles notamment pour sa richesse en fibres alimentaires qui favorisent le transit intestinal» affirme la plupart des médecins. Oussama Benoudina, pharmacien de profession, relève de son côté qu'un grain de blé dur contient 70 % des vitamines et sels minéraux dont notamment les vitamines B1, B5 et B12 qui le rendent "très conseillé pour une alimentation équilibrée". La galette au blé dur est, aux côté des laits et des dattes, au centre du régime alimentaire adopté des siècles durant par les habitants des Aurès, une population jadis réputée pour sa bonne santé et une longévité dépassant les 90 ans. La multitude des variétés de pain proposées à la vente par les boulangers de la capitale des Aurès en ce mois sacré arrive tant bien que mal à détrôner la galette à la farine de blé dur de sa place de pain préféré des ménages batnéens.
Selon Hadja fatma, une septuagénaire bateneenne, connue dans sa région pour préparer diverse variété de pain à base de blé dur et d'orge. «Consommer le pain de blé dur apporte plus de vitalité au jeûneur et c'est la où réside le secret de l'énergie de notre génération. Celle-ci ne souffrait guère des problèmes relatifs à la digestion connus en ces temps moderne», dira Hadja Fatma qui soutient toutefois que ce pain de boulanger, bien qu'il soit confectionné à base de blé dur "n'égale point le goût" de la galette préparée à la maison sur le tadjin de terre cuite (plat en argile pour la cuisson). Quant à Mme Khedidja, elle affirme faire chaque année sa provision de blé qu'elle prépare à la manière traditionnelle héritée de sa belle-mère. «Le blé, explique-t-elle, est d'abord débarrassé des impuretés, lavé puis séché au soleil pendant une journée ou deux, avant d'être mis en sacs et envoyé au meunier du coin. La galette au blé dur est préparée de la même manière que la galette "matlo'", mais son goût est plus délicat et légèrement plus sucré.» Ce retour à la consommation du blé, qui était jusqu'il y a peu largement répandue surtout en campagne, a donné une nouvelle vie dans la ville de Batna pour la profession de meunier durant ces dernières années. Auparavant, il fallait se déplacer pour avoir un sac de blé dur vers les minoteries des communes voisines, notamment Chémora, Ayoun Laâssafir, Timgad, Tazoult et Oued Chaaba. Ahmed, un meunier de la localité de Markouna, dit être incapable de faire face à toute la demande en cette période, malgré que son établissement fonctionne 13 heures par jour, de 7h00 à 20h00. Car, affirme t-il, «la pression sur les minoteries atteint son pic à la veille du ramadhan».
«La consommation du pain dont les grains n'ont pas été débarrassés ni du son ni du germe est particulièrement recommandée pour ses vertus nutritionnelles notamment pour sa richesse en fibres alimentaires qui favorisent le transit intestinal» affirme la plupart des médecins. Oussama Benoudina, pharmacien de profession, relève de son côté qu'un grain de blé dur contient 70 % des vitamines et sels minéraux dont notamment les vitamines B1, B5 et B12 qui le rendent "très conseillé pour une alimentation équilibrée". La galette au blé dur est, aux côté des laits et des dattes, au centre du régime alimentaire adopté des siècles durant par les habitants des Aurès, une population jadis réputée pour sa bonne santé et une longévité dépassant les 90 ans.


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