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«C'est la faute des collectivités locales»
Le P-DG de Sonelgaz à propos des fréquentes coupures d'électricité
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 09 - 2009

Le P-dg de Sonelgaz, Nourredine Bouterfa a réaffirmé, en marge d'une visite d'inspection du ministre de l'Energie et des Mines dans la wilaya de Blida, que les collectivités locales ne facilitent guère la tâche aux services de son département pour faire passer les lignes, ajouté à cela l'absence d'assiettes de terrain.
Le P-dg de Sonelgaz, Nourredine Bouterfa a réaffirmé, en marge d'une visite d'inspection du ministre de l'Energie et des Mines dans la wilaya de Blida, que les collectivités locales ne facilitent guère la tâche aux services de son département pour faire passer les lignes, ajouté à cela l'absence d'assiettes de terrain.
Le phénomène des coupures d'électricité persiste à Alger durant ce mois de Ramadhan. Hier encore, les habitants de l'ouest d'Alger, notamment du côté de Aïn Benian, ont passé la soirée dans le noir sans pouvoir se profiter des programmes et feuilletons télévisés d'après l'«iftar». Pire encore, les habitants de l'est d'Alger ont dû rompre le jeûne, la semaine dernière, à la chandelle. Nombreux sont les cités et quartiers de la capitale qui restent plongés dans le noir en ce mois sacré, quelques minutes avant ou après l'«iftar», sans aucun avertissement préalable des services techniques de Sonelgaz. Ces coupures répétitives qui pénalisent autant les ménages que les commerçants et les cafetiers, sont toujours liées à des difficultés de distribution, selon le P-dg de Sonelgaz, Nourredine Bouterfa. Ce dernier a réaffirmé, en marge d'une visite d'inspection du ministre de l'Energie et des Mines dans la wilaya de Blida, que les collectivités locales ne facilitent guère la tâche aux services de son département pour faire passer les lignes, ajouté à cela l'absence d'assiettes de terrain. Ceci dit, le consommateur se trouve pénalisé, a-t-il ajouté, pour cause de mauvaise distribution et non pour un problème d'insuffisance de la production de l'électricité de Sonelgaz. Au moment où les citoyens attendent désespérément un remède concret pour la situation, Sonelgaz pointe à nouveau le doigt vers les collectivités locales comme étant un obstacle de taille pour intervenir. En outre, un habitant nous a confié avoir eu recours à une cotisation de 20.000 DA pour chaque habitant d'un immeuble dans la banlieue d'Alger, et ce, rien que pour l'installation d'un poteau électrique. «On a tant attendu la résolution de nos problèmes de courant négligés par les autorités», a-t-il déploré. Il faut dire que les raisons de tels désagréments sont multiples sans pour autant alarmer les responsables de Sonelgaz qui avancent, à chaque fois, de nouvelles justifications, notamment la défaillance du réseau de distribution, la surconsommation de l'électricité, les lenteurs des collectivités locales à répondre aux requêtes de Sonelgaz, l'utilisation «excessive» des systèmes de conditionnement de l'air, les actes de piratage et d'agression, etc. En effet, les Algériens ont passé un été des plus chauds, marqué surtout par des pannes intempestives de courant. Les services de Sonelgaz, rappelle-t-on, ont justifié ces coupures par la forte demande et consommation de l'électricité pendant cette période et également par des pannes imprévues causées par la canicule au réseau aérien. Ce qui n'a pas vraiment changé malgré une baisse sensible de la température. «L'électricité est impérative en ce mois de Ramadhan. En plus des climatiseurs et ventilateurs qui sont indispensables de nos jours, particulièrement lors du jeûne, nous conservons beaucoup d'aliments dans les réfrigérateurs qui risquent de se détériorer si ces pannes de courant persistent», a souligné une mère de famille rencontrée à Aïn Benian. D'un autre côté, ces pannes d'électricité pénalisent les commerces de services, notamment les boucheries, les boulangeries, certaines épiceries et crémeries et autres vendeurs de glaces, qui risquent la détérioration de leurs équipements tels que les frigos et fours électriques, mais surtout la détérioration de leurs produits qui provoqueront certainement des intoxications alimentaires.
Le phénomène des coupures d'électricité persiste à Alger durant ce mois de Ramadhan. Hier encore, les habitants de l'ouest d'Alger, notamment du côté de Aïn Benian, ont passé la soirée dans le noir sans pouvoir se profiter des programmes et feuilletons télévisés d'après l'«iftar». Pire encore, les habitants de l'est d'Alger ont dû rompre le jeûne, la semaine dernière, à la chandelle. Nombreux sont les cités et quartiers de la capitale qui restent plongés dans le noir en ce mois sacré, quelques minutes avant ou après l'«iftar», sans aucun avertissement préalable des services techniques de Sonelgaz. Ces coupures répétitives qui pénalisent autant les ménages que les commerçants et les cafetiers, sont toujours liées à des difficultés de distribution, selon le P-dg de Sonelgaz, Nourredine Bouterfa. Ce dernier a réaffirmé, en marge d'une visite d'inspection du ministre de l'Energie et des Mines dans la wilaya de Blida, que les collectivités locales ne facilitent guère la tâche aux services de son département pour faire passer les lignes, ajouté à cela l'absence d'assiettes de terrain. Ceci dit, le consommateur se trouve pénalisé, a-t-il ajouté, pour cause de mauvaise distribution et non pour un problème d'insuffisance de la production de l'électricité de Sonelgaz. Au moment où les citoyens attendent désespérément un remède concret pour la situation, Sonelgaz pointe à nouveau le doigt vers les collectivités locales comme étant un obstacle de taille pour intervenir. En outre, un habitant nous a confié avoir eu recours à une cotisation de 20.000 DA pour chaque habitant d'un immeuble dans la banlieue d'Alger, et ce, rien que pour l'installation d'un poteau électrique. «On a tant attendu la résolution de nos problèmes de courant négligés par les autorités», a-t-il déploré. Il faut dire que les raisons de tels désagréments sont multiples sans pour autant alarmer les responsables de Sonelgaz qui avancent, à chaque fois, de nouvelles justifications, notamment la défaillance du réseau de distribution, la surconsommation de l'électricité, les lenteurs des collectivités locales à répondre aux requêtes de Sonelgaz, l'utilisation «excessive» des systèmes de conditionnement de l'air, les actes de piratage et d'agression, etc. En effet, les Algériens ont passé un été des plus chauds, marqué surtout par des pannes intempestives de courant. Les services de Sonelgaz, rappelle-t-on, ont justifié ces coupures par la forte demande et consommation de l'électricité pendant cette période et également par des pannes imprévues causées par la canicule au réseau aérien. Ce qui n'a pas vraiment changé malgré une baisse sensible de la température. «L'électricité est impérative en ce mois de Ramadhan. En plus des climatiseurs et ventilateurs qui sont indispensables de nos jours, particulièrement lors du jeûne, nous conservons beaucoup d'aliments dans les réfrigérateurs qui risquent de se détériorer si ces pannes de courant persistent», a souligné une mère de famille rencontrée à Aïn Benian. D'un autre côté, ces pannes d'électricité pénalisent les commerces de services, notamment les boucheries, les boulangeries, certaines épiceries et crémeries et autres vendeurs de glaces, qui risquent la détérioration de leurs équipements tels que les frigos et fours électriques, mais surtout la détérioration de leurs produits qui provoqueront certainement des intoxications alimentaires.


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