En prévision de sa participation au prochain championnat d'Afrique des nations qu'organisera la ville de Tétouan au Maroc du 27 septembre au 5 octobre prochain, la sélection nationale de volley-ball hommes se trouve actuellement en Serbie pour effectuer ses dernières retouches avant de prendre le départ vers le Maroc, le 25 septembre. En prévision de sa participation au prochain championnat d'Afrique des nations qu'organisera la ville de Tétouan au Maroc du 27 septembre au 5 octobre prochain, la sélection nationale de volley-ball hommes se trouve actuellement en Serbie pour effectuer ses dernières retouches avant de prendre le départ vers le Maroc, le 25 septembre. En effet, le programme de la compétition n'a pas été décidé par le pays organisateur, selon le directeur des équipes nationales, Rahim Amalou. Onze pays participeront à cette manifestation africaine. Outre le Maroc, pays organisateur, les autres sélections qui prendront part à ce championnat sont l'Algérie, le Kenya, l'Afrique du Sud, la Libye, le Botswana, la République démocratique du Congo, le Soudan, l'Egypte, la Tunisie, le Cameroun et le Nigeria. Pour notre équipe nationale, les choses ne seront pas aisées vu sa mauvaise préparation et le niveau des équipes qui sera certainement très élevé. La sélection nationale a vécu des moments difficiles, la mise en place d'un entraîneur pour prendre en main cette équipe a trop tardé. Le problème de financement reste le principal obstacle pour cette discipline : «on a reçu le budget en retard, la sélection nationale aurait du effectuer au moins quatre stage de préparation à l'étranger, ce qui n'a pas été le cas pour elle. Sincèrement, les équipes nationales se trouvent actuellement dans des situations délicates. Nous avons des effectifs qui peuvent faire la différence, mais malheureusement les conditions sont très difficiles». Concernant l'état de préparation de cette équipe notre interlocuteur nous a confirmé qu'«actuellement elle est en stage, elle rencontrera six équipes évoluant en super ligue de Serbie, mais çela reste insuffisant. Si on fait une petite comparaison avec le Maroc par exemple, ce pays a effectué plus de quatre stages à l'étranger c'est le même cas pour l'Egypte et même pour la Tunisie. Malheureusement ce n'est pas le cas pour nous.» Pour faire face à ces difficultés et sauver cette discipline du naufrage, la Fédération algérienne de volley-ball doit revoir son plan de développement et surtout la restructuration des ligues régionales qui n'arrivent pas à se stabiliser financièrement, dans l'espoir, ensuite, d'avoir une bonne composante nationale qui puisse représenter notre pays dignement, loin de toutes supputations. En outre, Pour préparer cette manifestation continentale, le bureau fédéral de la Fédération royale marocaine de volley-ball (FRMV) a tenu mardi une réunion avec les membres de la Commission organisatrice locale à Tétouan pour examiner les dispositions prises en prévision de ce championnat panafricain. A l'issue de cette réunion, les membres du bureau fédéral ont effectué une visite aux différentes structures et salles couvertes à Tétouan et Martil dans le but de retenir les meilleures devant abriter les rencontres et les entraînements. En effet, le programme de la compétition n'a pas été décidé par le pays organisateur, selon le directeur des équipes nationales, Rahim Amalou. Onze pays participeront à cette manifestation africaine. Outre le Maroc, pays organisateur, les autres sélections qui prendront part à ce championnat sont l'Algérie, le Kenya, l'Afrique du Sud, la Libye, le Botswana, la République démocratique du Congo, le Soudan, l'Egypte, la Tunisie, le Cameroun et le Nigeria. Pour notre équipe nationale, les choses ne seront pas aisées vu sa mauvaise préparation et le niveau des équipes qui sera certainement très élevé. La sélection nationale a vécu des moments difficiles, la mise en place d'un entraîneur pour prendre en main cette équipe a trop tardé. Le problème de financement reste le principal obstacle pour cette discipline : «on a reçu le budget en retard, la sélection nationale aurait du effectuer au moins quatre stage de préparation à l'étranger, ce qui n'a pas été le cas pour elle. Sincèrement, les équipes nationales se trouvent actuellement dans des situations délicates. Nous avons des effectifs qui peuvent faire la différence, mais malheureusement les conditions sont très difficiles». Concernant l'état de préparation de cette équipe notre interlocuteur nous a confirmé qu'«actuellement elle est en stage, elle rencontrera six équipes évoluant en super ligue de Serbie, mais çela reste insuffisant. Si on fait une petite comparaison avec le Maroc par exemple, ce pays a effectué plus de quatre stages à l'étranger c'est le même cas pour l'Egypte et même pour la Tunisie. Malheureusement ce n'est pas le cas pour nous.» Pour faire face à ces difficultés et sauver cette discipline du naufrage, la Fédération algérienne de volley-ball doit revoir son plan de développement et surtout la restructuration des ligues régionales qui n'arrivent pas à se stabiliser financièrement, dans l'espoir, ensuite, d'avoir une bonne composante nationale qui puisse représenter notre pays dignement, loin de toutes supputations. En outre, Pour préparer cette manifestation continentale, le bureau fédéral de la Fédération royale marocaine de volley-ball (FRMV) a tenu mardi une réunion avec les membres de la Commission organisatrice locale à Tétouan pour examiner les dispositions prises en prévision de ce championnat panafricain. A l'issue de cette réunion, les membres du bureau fédéral ont effectué une visite aux différentes structures et salles couvertes à Tétouan et Martil dans le but de retenir les meilleures devant abriter les rencontres et les entraînements.
