Bon an, mal an, l'Algérie réussit à attirer un montant d'investissements étrangers qui atteint rarement le barre des 3 milliards de dollars. En fait, les chiffres, en la matière, différent tellement, selon qu'ils soient donnés par des organismes internationaux ou par l'Agence nationale de promotion de l'investissement, qu'il est difficile de dire avec précision le montant de ces IDE. Cela d'autant que l'on ne sait pas si les chiffres font ressortir des projets déclarés, engagés, réalisés ou en cours de réalisation. Beaucoup d'incertitudes quant aux chiffres, mais des certitudes, en revanche, concernant l'attractivité du marché algérien. Les rapports internationaux, à ce sujet, se suivent et se ressemblent et rares sont ceux qui disent aux investisseurs étrangers que l'Algérie est la destination idéale pour y mettre leurs capitaux. Les contraintes sont nombreuses et connues : bureaucratie, foncier, système bancaire, pour ne citer que celles là. Si ces rapports convergent vers l'idée que l'Algérie n'est pas le pays le plus attractif de l'Afrique du Nord, souvent ils s'accordent également à souligner que notre pays possède un potentiel et des atouts tels qu'il peut facilement le devenir. Il est certes rare de tomber sur un document réalisé par des experts internationaux qui reconnaissent à l'Algérie ses efforts en matière de réhabilitation de l'environnement des affaires. En dépit des insuffisances et de l'ampleur de ce qui reste à accomplir, certains admettent toutefois quelques réalisations appréciables. L'une des plus avérée est l'investissement de près de 200 milliards de dollars pour mettre à niveau les infrastructures de base. Un préalable à toute opération de relance économique. Bon an, mal an, l'Algérie réussit à attirer un montant d'investissements étrangers qui atteint rarement le barre des 3 milliards de dollars. En fait, les chiffres, en la matière, différent tellement, selon qu'ils soient donnés par des organismes internationaux ou par l'Agence nationale de promotion de l'investissement, qu'il est difficile de dire avec précision le montant de ces IDE. Cela d'autant que l'on ne sait pas si les chiffres font ressortir des projets déclarés, engagés, réalisés ou en cours de réalisation. Beaucoup d'incertitudes quant aux chiffres, mais des certitudes, en revanche, concernant l'attractivité du marché algérien. Les rapports internationaux, à ce sujet, se suivent et se ressemblent et rares sont ceux qui disent aux investisseurs étrangers que l'Algérie est la destination idéale pour y mettre leurs capitaux. Les contraintes sont nombreuses et connues : bureaucratie, foncier, système bancaire, pour ne citer que celles là. Si ces rapports convergent vers l'idée que l'Algérie n'est pas le pays le plus attractif de l'Afrique du Nord, souvent ils s'accordent également à souligner que notre pays possède un potentiel et des atouts tels qu'il peut facilement le devenir. Il est certes rare de tomber sur un document réalisé par des experts internationaux qui reconnaissent à l'Algérie ses efforts en matière de réhabilitation de l'environnement des affaires. En dépit des insuffisances et de l'ampleur de ce qui reste à accomplir, certains admettent toutefois quelques réalisations appréciables. L'une des plus avérée est l'investissement de près de 200 milliards de dollars pour mettre à niveau les infrastructures de base. Un préalable à toute opération de relance économique.