Un nouvel établissement accueillera, au cours de la prochaine rentrée scolaire, les élèves venant des hameaux de Souk Réguibat, de Bouatia ainsi que d'El Kantara el-Hamra et permettra de résorber la surcharge au niveau des CEM de Mahmoud Ben Mahmoud, Houari, les Crêtes et celui du 1er Novembre 54. Un nouvel établissement accueillera, au cours de la prochaine rentrée scolaire, les élèves venant des hameaux de Souk Réguibat, de Bouatia ainsi que d'El Kantara el-Hamra et permettra de résorber la surcharge au niveau des CEM de Mahmoud Ben Mahmoud, Houari, les Crêtes et celui du 1er Novembre 54. Les établissements du moyen dans la daïra d'El Kala wilaya d'El Tarf se caractérisent par la surcharge des classes. Cette situation a contraint les responsables du secteur à procéder à des transferts de classes entières d'un CEM à l'autre. Ainsi donc, le CEM du 1er-Novembre 54 vient de recevoir plus d'une quarantaine d'élèves. Ce transfert a obligé le chef d'établissement à revoir de fond en comble l'emploi du temps de son équipe pédagogique. Par ailleurs, on apprend que des travaux pour la réalisation d'un cinquième collège d'enseignement dans la daïra d'El Kala wilaya d'El Tarf sont à un stade très avancé. Ce nouvel établissement qui accueillera au cours de la prochaine rentrée scolaire les élèves venant des hameaux de Souk Réguibat, de Bouatia ainsi que d'El Kantara el-Hamra permettra de résorber la surcharge au niveau des CEM de Mahmoud Ben Mahmoud, Houari, les Crêtes et celui du 1er Novembre 54. L'établissement en question est pris en charge par un entrepreneur qui s'est engagé à le concrétiser avant même les délais prévus. Le manque des matériaux de construction surtout du ciment qui se fait rare ainsi que la cherté de ces derniers sur le marché risquent de retarder ce projet sur lequel la population de ces contrées rurales. Notons que ces collégiens et quelques lycéens se heurtent quotidiennement au manque du moyen de transport. Le ramassage scolaire des élèves habitant ces contrées pour la plupart enclavées est décrié par les parents ainsi que par les chefs d'établissement obligés d'accueillir ces potaches souvent en retard, vu leurs conditions qui est de très loin pour leur permettre de suivre une scolarité normale. Les parents ont émis le vœu d'alléger les horaires de travail. En effet en période hiver, les jeunes collégiens et lycéens arrivent tardivement chez eux. Fatigués par le va et-vient incessant de la journée, ces élèves n'ont plus le temps de consacrer à la révision des cours surtout quant on sait que les localités où ils se trouvent sont sujettes à des coupures intempestives du courant électriques plusieurs fois par jour. Ce calvaire est amèrement ressenti par une partie de la population du quartier du 24-Avril à El Kala. Collège et appartements sont à la merci des cambrioleurs à la faveur de l'obscurité. Dénoncé à maintes fois, les techniciens de la société nationale Sonelgaz n'arrivent pas à ce niveau à maîtriser une situation qui dure depuis maintenant plus de trois mois. Les populations ne savent plus à quel saint se vouer. Par ailleurs notons que les établissements de la daïra d'El Kala souffrent d'un manque criant d'ouvriers. Une situation qui a obligé de nombreux directeurs à fermer la cantine, vu que l'APC refuse malgré les demandes incessantes de les renforcer en ouvriers dans le cadre de l'emploi des jeunes ou du filet social. Il semblerait que c'est la décision du premier responsable de la wilaya. L'entrepreneur en charge de projet n'a pas intérêt à traîner car le coût risquerait d'augmenter en cas de retard. Enfin comme nous l'avions signalé au début de ce papier, la concrétisation de cet important ouvrage permettra incontestablement d'atténuer la surcharge au niveau des quatre collèges de la daïra d'El Kala. C'est un établissement «Base 3» pouvant accueillir plus de cinq cents collégiens avec deux cents en demi-pensionnat. Ainsi donc la daïra d'El Kala cette ville balnéaire située aux portes de la frontière algéro-tunisienne verra la réalisation, dès la prochaine rentrée scolaire de cinq CEM, ce qui constitue un acquis certain pour la population scolaire. Les établissements du moyen dans la daïra d'El Kala wilaya d'El Tarf se caractérisent par la surcharge des classes. Cette situation a contraint les responsables du secteur à procéder à des transferts de classes entières d'un CEM à l'autre. Ainsi donc, le CEM du 1er-Novembre 54 vient de recevoir plus d'une quarantaine d'élèves. Ce transfert a obligé le chef d'établissement à revoir de fond en comble l'emploi du temps de son équipe pédagogique. Par ailleurs, on apprend que des travaux pour la réalisation d'un cinquième collège d'enseignement dans la daïra d'El Kala wilaya d'El Tarf sont à un stade très avancé. Ce nouvel établissement qui accueillera au cours de la prochaine rentrée scolaire les élèves venant des hameaux de Souk Réguibat, de Bouatia ainsi que d'El Kantara el-Hamra permettra de résorber la surcharge au niveau des CEM de Mahmoud Ben Mahmoud, Houari, les Crêtes et celui du 1er Novembre 54. L'établissement en question est pris en charge par un entrepreneur qui s'est engagé à le concrétiser avant même les délais prévus. Le manque des matériaux de construction surtout du ciment qui se fait rare ainsi que la cherté de ces derniers sur le marché risquent de retarder ce projet sur lequel la population de ces contrées rurales. Notons que ces collégiens et quelques lycéens se heurtent quotidiennement au manque du moyen de transport. Le ramassage scolaire des élèves habitant ces contrées pour la plupart enclavées est décrié par les parents ainsi que par les chefs d'établissement obligés d'accueillir ces potaches souvent en retard, vu leurs conditions qui est de très loin pour leur permettre de suivre une scolarité normale. Les parents ont émis le vœu d'alléger les horaires de travail. En effet en période hiver, les jeunes collégiens et lycéens arrivent tardivement chez eux. Fatigués par le va et-vient incessant de la journée, ces élèves n'ont plus le temps de consacrer à la révision des cours surtout quant on sait que les localités où ils se trouvent sont sujettes à des coupures intempestives du courant électriques plusieurs fois par jour. Ce calvaire est amèrement ressenti par une partie de la population du quartier du 24-Avril à El Kala. Collège et appartements sont à la merci des cambrioleurs à la faveur de l'obscurité. Dénoncé à maintes fois, les techniciens de la société nationale Sonelgaz n'arrivent pas à ce niveau à maîtriser une situation qui dure depuis maintenant plus de trois mois. Les populations ne savent plus à quel saint se vouer. Par ailleurs notons que les établissements de la daïra d'El Kala souffrent d'un manque criant d'ouvriers. Une situation qui a obligé de nombreux directeurs à fermer la cantine, vu que l'APC refuse malgré les demandes incessantes de les renforcer en ouvriers dans le cadre de l'emploi des jeunes ou du filet social. Il semblerait que c'est la décision du premier responsable de la wilaya. L'entrepreneur en charge de projet n'a pas intérêt à traîner car le coût risquerait d'augmenter en cas de retard. Enfin comme nous l'avions signalé au début de ce papier, la concrétisation de cet important ouvrage permettra incontestablement d'atténuer la surcharge au niveau des quatre collèges de la daïra d'El Kala. C'est un établissement «Base 3» pouvant accueillir plus de cinq cents collégiens avec deux cents en demi-pensionnat. Ainsi donc la daïra d'El Kala cette ville balnéaire située aux portes de la frontière algéro-tunisienne verra la réalisation, dès la prochaine rentrée scolaire de cinq CEM, ce qui constitue un acquis certain pour la population scolaire.
