Surnommée la Maradona de la JSK , Naïma Laouadi est la joueuse algérienne la plus connue et la plus expérimentée. Elle a été le capitaine d'une équipe nationale qu'elle porte à bout de bras depuis 1997. S'il y a une joueuse qu'il faut saluer en Algérie, c'est sans nul doute Naïma Laouadi. Originaire de Tizi-Ouzou, c'est la pionnière du football féminin en Algérie. Il faut savoir aussi, qu'elle est la leader de l'équipe nationale féminine. Le football national féminin doit beaucoup à cette femme. Elle est la seule footballeuse qui a contribué pleinement à la promotion du football féminin. Elle est venue en Algérie pour soutenir l'équipe nationale. Elle ne pourra pas se rendre en Egypte, mais elle a tenu à être présente au pays pour faire la fête Inchallah avec les siens. Cette légende vivante du foot féminin a voulu accorder un entretien au Midi libre dans lequel elle fait part de son émotion en tant que footballeuse et fervente fan du football algérien. Surnommée la Maradona de la JSK , Naïma Laouadi est la joueuse algérienne la plus connue et la plus expérimentée. Elle a été le capitaine d'une équipe nationale qu'elle porte à bout de bras depuis 1997. S'il y a une joueuse qu'il faut saluer en Algérie, c'est sans nul doute Naïma Laouadi. Originaire de Tizi-Ouzou, c'est la pionnière du football féminin en Algérie. Il faut savoir aussi, qu'elle est la leader de l'équipe nationale féminine. Le football national féminin doit beaucoup à cette femme. Elle est la seule footballeuse qui a contribué pleinement à la promotion du football féminin. Elle est venue en Algérie pour soutenir l'équipe nationale. Elle ne pourra pas se rendre en Egypte, mais elle a tenu à être présente au pays pour faire la fête Inchallah avec les siens. Cette légende vivante du foot féminin a voulu accorder un entretien au Midi libre dans lequel elle fait part de son émotion en tant que footballeuse et fervente fan du football algérien. Midi Libre : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Naïma Laouadi : je m'appelle Naïma Laouadi, je suis joueuse de football, ex-capitaine de l'équipe nationale d'Algérie. J'ai débuté dans ma ville natale, avec la précieuse aide du boss de la JSK, Hanachi, qui m'a permis de créer une équipe féminine à Tizi-Ouzou, ensuite, j'ai percé grâce à mon talent qui a fait que j'ai pu prétendre à une carrière professionnelle en France d'abord, en Allemagne ensuite. En France, j'ai joué dans le grand club de Lyon, qui est régulièrement champion de France et dispute des compétitions internationales, j'ai occupé aussi le poste d'entraîneur-adjoint de la sélection nationale féminine avec Soltani, aujourd'hui, je suis manager général de la formation du CL Belouizdad, une formation tout récemment créée et qui pourrait, avec le temps, faire bonne figure dans le monde du foot féminin algérien. Le match Egypte – Algérie est un événement. Il retient l'attention de tout le monde. Que pensez-vous des Verts ? C'est une équipe jeune qui compte dans ses rangs des joueurs professionnels. C'est un groupe qui a un bon niveau technique. Il est conscient que derrière se trouve tout un peuple pour le soutenir. Tout cela pour vous dire que tous les ingrédients sont présents pour réaliser l'exploit. C'est vrai, tout le monde attend cette rencontre avec attention. Je peux vous dire que la pression monte chez les supporteurs et ce n'est pas évident pour nos footballeurs. Moi personnellement j'allais me rendre au Caire, mais comme c'était trop tard, j'ai préféré rentrer au pays pour vivre des émotions avec ma famille et mes amis. Selon vous, l'EN ira-t-elle en Afrique du Sud ? Inchallah, je l'espère de tout mon cœur. Ça fait 24 ans exactement que l'Algérie n'a plus été qualifiée pour la coupe du monde. Les Algériens ont trop longtemps attendus. Il faut faire le maximum pour que cette année soit la bonne. Il ne faut pas oublier que c'est un match difficile et qu'il faut bien le préparer. Ce n'est pas une tâche aisée, mais impossible n'est pas algérien. Un dernier mot pour conclure… Je dirais qu'il ne faut surtout pas tomber dans le jeu égyptien. Il ne faut pas écouter tout ce qui se dit dans la presse égyptienne. J'espère du plus profond de mon cœur qu'on ira en Afrique du Sud et que nous soutiendrons nos joueurs dans le pays de Nelson Mandela. Midi Libre : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Naïma Laouadi : je m'appelle Naïma Laouadi, je suis joueuse de football, ex-capitaine de l'équipe nationale d'Algérie. J'ai débuté dans ma ville natale, avec la précieuse aide du boss de la JSK, Hanachi, qui m'a permis de créer une équipe féminine à Tizi-Ouzou, ensuite, j'ai percé grâce à mon talent qui a fait que j'ai pu prétendre à une carrière professionnelle en France d'abord, en Allemagne ensuite. En France, j'ai joué dans le grand club de Lyon, qui est régulièrement champion de France et dispute des compétitions internationales, j'ai occupé aussi le poste d'entraîneur-adjoint de la sélection nationale féminine avec Soltani, aujourd'hui, je suis manager général de la formation du CL Belouizdad, une formation tout récemment créée et qui pourrait, avec le temps, faire bonne figure dans le monde du foot féminin algérien. Le match Egypte – Algérie est un événement. Il retient l'attention de tout le monde. Que pensez-vous des Verts ? C'est une équipe jeune qui compte dans ses rangs des joueurs professionnels. C'est un groupe qui a un bon niveau technique. Il est conscient que derrière se trouve tout un peuple pour le soutenir. Tout cela pour vous dire que tous les ingrédients sont présents pour réaliser l'exploit. C'est vrai, tout le monde attend cette rencontre avec attention. Je peux vous dire que la pression monte chez les supporteurs et ce n'est pas évident pour nos footballeurs. Moi personnellement j'allais me rendre au Caire, mais comme c'était trop tard, j'ai préféré rentrer au pays pour vivre des émotions avec ma famille et mes amis. Selon vous, l'EN ira-t-elle en Afrique du Sud ? Inchallah, je l'espère de tout mon cœur. Ça fait 24 ans exactement que l'Algérie n'a plus été qualifiée pour la coupe du monde. Les Algériens ont trop longtemps attendus. Il faut faire le maximum pour que cette année soit la bonne. Il ne faut pas oublier que c'est un match difficile et qu'il faut bien le préparer. Ce n'est pas une tâche aisée, mais impossible n'est pas algérien. Un dernier mot pour conclure… Je dirais qu'il ne faut surtout pas tomber dans le jeu égyptien. Il ne faut pas écouter tout ce qui se dit dans la presse égyptienne. J'espère du plus profond de mon cœur qu'on ira en Afrique du Sud et que nous soutiendrons nos joueurs dans le pays de Nelson Mandela.
