Pour des raisons que tout le monde connait, les deux prestigieux clubs algériens, en l'occurrence le GS Pétrolier et l'ASW Bejaia, n'iront pas en Egypte pour prendre part à la 12e édition du championnat arabe qui se déroulera dans ce pays du 3 au 12 décembre prochain. Pour des raisons que tout le monde connait, les deux prestigieux clubs algériens, en l'occurrence le GS Pétrolier et l'ASW Bejaia, n'iront pas en Egypte pour prendre part à la 12e édition du championnat arabe qui se déroulera dans ce pays du 3 au 12 décembre prochain. Cette décision de ne pas participer à cette compétition, a été prise par les deux clubs suite à l'hostilité égyptienne, née après la qualification méritée et indiscutable de la sélection algérienne de football à la coupe du monde 2010. «la discision a été prise par les deux clubs juste après la rencontre du soudan. La fédération a reçu deux écrits des responsables de ces clubs. Moi, personnellement je trouve que cette décision est normale et raisonnable afin d'éviter le pire, car on ne peut présager de ce qui pourrait se passer pendant cette compétition», nous a précisé, hier, M. Rahim Amalou, directeur technique au sein de la Fédération algérienne de volley-ball. La décision, ajoute la même source, «a été fermement prise par les clubs», et les raisons en sont connues, selon la même personne. «Les joueuses ainsi que leur staff technique connaissent bien le danger qui les guette, suite aux menaces des égyptiens qui n'arrivent pas à digérer la défaite de leur équipe nationale de football à Khartoum. Ces clubs ont jugé qu'il était utile de ne pas y aller pour éviter les conséquences graves qui pourraient en découler dans le cas contraire», a-t-il ajouté. Cette décision de ne pas participer à cette compétition, a été prise par les deux clubs suite à l'hostilité égyptienne, née après la qualification méritée et indiscutable de la sélection algérienne de football à la coupe du monde 2010. «la discision a été prise par les deux clubs juste après la rencontre du soudan. La fédération a reçu deux écrits des responsables de ces clubs. Moi, personnellement je trouve que cette décision est normale et raisonnable afin d'éviter le pire, car on ne peut présager de ce qui pourrait se passer pendant cette compétition», nous a précisé, hier, M. Rahim Amalou, directeur technique au sein de la Fédération algérienne de volley-ball. La décision, ajoute la même source, «a été fermement prise par les clubs», et les raisons en sont connues, selon la même personne. «Les joueuses ainsi que leur staff technique connaissent bien le danger qui les guette, suite aux menaces des égyptiens qui n'arrivent pas à digérer la défaite de leur équipe nationale de football à Khartoum. Ces clubs ont jugé qu'il était utile de ne pas y aller pour éviter les conséquences graves qui pourraient en découler dans le cas contraire», a-t-il ajouté.
