L'extension de la ville a été orientée au sud-ouest vers M'daourouche, et le PDAU de la ville de Drea est en pleine révision. L'extension de la ville a été orientée au sud-ouest vers M'daourouche, et le PDAU de la ville de Drea est en pleine révision. Le développement de la ville de Taoura, appuyé par le programme dit des Hauts-Plateaux, a atteint sa vitesse de croisière. D'importants projets pour la modernisation, l'agrandissement et l'équipement de la ville de nouvelles infrastructures ont été ouverts. L'extension de la ville a été orientée au sud-ouest vers M'daourouche où le nouveau pôle, en voie de construction, a fait l'objet d'une visite d'inspection, mardi dernier, par le wali de Souk-Ahras dans le cadre du programme de visites qu'il a entamé depuis quelques mois afin d'accélérer la cadence des travaux. Ce pôle comprend, outre les 100 logements RHP, une unité de Protection civile, un tribunal, une salle omnisport de 500 places et une école destinée aux sourds-muets, dont les travaux ont atteint un taux d'avancement de 95%, le tout pour un coût qui dépasse les 700 millions de dinars. Au nord de Souk-Ahras, un hôpital de 60 lits, qui devrait renfermer 4 spécialités, à savoir la médecine, la chirurgie, la pédiatrie et la maternité, un nouveau siège de sûreté de daïra et un nouveau siège de daïra avec logement de fonction sont au prgramme. Durant son inspection, le wali s'est interrogé sur le retard qu'accuse le siège de sûreté qui, en principe, devait être achevé. Le plus important projet, qui à lui seul dépasse les 966 millions de dinars, est l'institut agrovétérinaire de 1.000 places pédagogiques avec une cité universitaire de 500 lits qui a été implanté à la magnifique ferme Burgas où la diversité biologique lui sera plus que bénéfique. Les autres villes et mechtas affiliées à la commune de Taoura ont elles aussi eu leurs parts du développement. En effet, le Plan directeur d'aménagement urbain (PDAU) de la ville de Dréa, située à mi-chemin entre Taoura et M'daourouche, est en pleine révision. Aussi, un nouveau siège de l'APC d'une AP de 20 millions de dinars, 50 logements sociaux locatifs d'une AP de plus de 108 millions de dinars à Dréa, un centre de santé à El-Ogla, un forage d'un coût de plus de 9 millions de dinars à Aïn Djemaâ, 100 logements RHP d'une AP de plus de 200 millions de dinars à Zaârouria et tant d'autres chantiers, notamment en alimentation en eau potable, connaissent des taux d'avancement appréciables. Vu que le transport est l'un des piliers du développement, le chemin communal reliant la RN 16 (Zaârouria) à la RN 81 (Dardoura) sur 6 kilomètres et le chemin communal reliant El-Ogla à Taoura sur une distance de 13 kilomètres seront revêtus. Le centre-ville de Taoura, chef-lieu de daïra, fera, lui aussi, peau neuve après le revêtement de ses routes et l'aménagement de ses trottoirs. Seulement, la cadence des travaux n'a pas plu au premier magistrat de la wilaya. Le développement de la ville de Taoura, appuyé par le programme dit des Hauts-Plateaux, a atteint sa vitesse de croisière. D'importants projets pour la modernisation, l'agrandissement et l'équipement de la ville de nouvelles infrastructures ont été ouverts. L'extension de la ville a été orientée au sud-ouest vers M'daourouche où le nouveau pôle, en voie de construction, a fait l'objet d'une visite d'inspection, mardi dernier, par le wali de Souk-Ahras dans le cadre du programme de visites qu'il a entamé depuis quelques mois afin d'accélérer la cadence des travaux. Ce pôle comprend, outre les 100 logements RHP, une unité de Protection civile, un tribunal, une salle omnisport de 500 places et une école destinée aux sourds-muets, dont les travaux ont atteint un taux d'avancement de 95%, le tout pour un coût qui dépasse les 700 millions de dinars. Au nord de Souk-Ahras, un hôpital de 60 lits, qui devrait renfermer 4 spécialités, à savoir la médecine, la chirurgie, la pédiatrie et la maternité, un nouveau siège de sûreté de daïra et un nouveau siège de daïra avec logement de fonction sont au prgramme. Durant son inspection, le wali s'est interrogé sur le retard qu'accuse le siège de sûreté qui, en principe, devait être achevé. Le plus important projet, qui à lui seul dépasse les 966 millions de dinars, est l'institut agrovétérinaire de 1.000 places pédagogiques avec une cité universitaire de 500 lits qui a été implanté à la magnifique ferme Burgas où la diversité biologique lui sera plus que bénéfique. Les autres villes et mechtas affiliées à la commune de Taoura ont elles aussi eu leurs parts du développement. En effet, le Plan directeur d'aménagement urbain (PDAU) de la ville de Dréa, située à mi-chemin entre Taoura et M'daourouche, est en pleine révision. Aussi, un nouveau siège de l'APC d'une AP de 20 millions de dinars, 50 logements sociaux locatifs d'une AP de plus de 108 millions de dinars à Dréa, un centre de santé à El-Ogla, un forage d'un coût de plus de 9 millions de dinars à Aïn Djemaâ, 100 logements RHP d'une AP de plus de 200 millions de dinars à Zaârouria et tant d'autres chantiers, notamment en alimentation en eau potable, connaissent des taux d'avancement appréciables. Vu que le transport est l'un des piliers du développement, le chemin communal reliant la RN 16 (Zaârouria) à la RN 81 (Dardoura) sur 6 kilomètres et le chemin communal reliant El-Ogla à Taoura sur une distance de 13 kilomètres seront revêtus. Le centre-ville de Taoura, chef-lieu de daïra, fera, lui aussi, peau neuve après le revêtement de ses routes et l'aménagement de ses trottoirs. Seulement, la cadence des travaux n'a pas plu au premier magistrat de la wilaya.
