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Et les règlements de comptes à OK Sérail continuent……..
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 29 - 06 - 2013


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Société des courses hippiques et du pari mutuel : Saïd Bouteflika, le DG de la SCHPM et le Népotisme...
Créé le vendredi 28 juin 2013 16:35
In http://monjournaldz.com
La Société des courses hippiques et du pari mutuel (SCHPM) n'a jamais, tout au long de son histoire, polarisé l'attention des observateurs et particulièrement de la presse dans sa globalité, sur le tintamarre qu'elle ne cesse de provoquer en agitant, scandale sur scandale, à n'en plus finir.
Victime toute résignée de la criminelle indifférence que lui vouent les pouvoirs publics et plus particulièrement sa tutelle, le ministère de l'Agriculture et du Développement rural (MADR) pourtant chapeauté par le Dr Rachid Benaïssa, vétérinaire de formation et ancien directeur des Services vétérinaires en charge du secteur équin notamment, ancien président du Comité des courses, bref un responsable totalement impliqué dans le microcosme du cheval maîtrisant parfaitement ses rouages.
On dit que Rachid Benaïssa a d'autres responsabilités autrement plus stratégiques à mener rondement comme la sécurité nationale alimentaire, il n'en reste pas moins qu'on murmure dans les couloirs du ministère qu'il est écœuré par les pratiques mafieuses qu'on attribue à la SCHPM et à son incapacité congénitale à opérer sa mue dans un environnement où elle évolue à ...reculons ! Et la dernière mauvaise surprise réservée au ministre a été la nomination, venue de plus haut que lui, de l'actuel directeur général, à laquelle il ne se serait jamais attendu, considérant son caractère incongru et aux antipodes des normes managériales en vigueur.
Sauf que le directeur général en poste depuis le 8 mars 2012 se prévaut de proximité immédiate du cercle présidentiel qu'il a pu approcher grâce, dit-il « à l'utile intervention de M.Tahar Zbiri, mon oncle ».
Dans l'euphorie qui a généré sa nomination à ce poste qui, en temps normal, il lui était même interdit de l'imaginer un seul instant dans ses délires hallucinatoires, il raconte à l'auteur de ces lignes : « Dans quelques jours, je serai le nouveau boss de la SCHPM. Mon oncle Tahar Zbiri m'a fait rencontrer Saïd Bouteflika et à l'ombre d'un thé, ce dernier m'a rassuré, « ta décision sera prête incessamment, t'as pas de mouron à te faire ».
Effectivement, ces propos seront étayés quelques jours plus tard par la publication en un temps record du décret présidentiel portant désignation de M.Mohamed Tayeb Retiti au poste de directeur général de la SCHPM.
Notons au passage que parmi la vingtaine de DG de passage à la tête de cette société, seul Mohamed Rafik Bessadi a eu ce privilège, lui l'ancien chef de Cabinet d'un ministère.
Au-delà de la nomination, en elle-même, une formalité administrative somme toute banale, c'est l'enquête de moralité menée préalablement par les services de sécurité qui ouvre la brèche à des questionnements étalés en long et en large, à longueur d'année, dans les travées de la SCHPM et ses démembrements : comment diantre, un personnage qui traîne autant de griefs sur la gestion de toutes les fonctions qu'il a occupées, jusqu'à faire l'objet de dépôt de plainte pour falsification de diplôme faisant de lui un universitaire spécialisé dans le commerce (Sic) du temps de Cherif Abtroun ? Il fut tour à tour conseiller du DG (la belle blague !), directeur de la Communication (comment est-ce possible ?), directeur du PMU dont il ignorait la signification d'un rapport de course et où il a puisé des « prêts » de la caisse d'une manière irrégulière, puis directeur des finances où le débit et le crédit étaient du hiéroglyphe pour lui, ce qui a fait dire au Commissaire aux comptes, expert comptable désigné par la SCHPM « les comptes ne peuvent faire l'objet d'une certification de régularité et de sincérité », remarque adoubée par l'ex-DG M.Boualit qui retint ... 18 défaillances majeures pour enfin reconnaître «qu'au niveau de la DFC, la situation était des plus alarmante...et qu'aucune écriture comptable n'a été effectuée » ; et à ce dernier de sommer son responsable des finances par correspondance portant sur « des indiscrétions font état de l'endossement par vous-mêmes du chèque n° 157178 d'un montant de 300 000 DA auprès de la CLMA le 8 janvier 2007 et qu'à ce jour, les justifications de dépenses n'ont pas
été réceptionnées par vos services comptables ».
Nous sommes, pour la précision, le 5 janvier 2008... Son passage à la tête de la direction des Ressources humaines n'a pas été exempt de tout reproche, ce qui a fait dire à son remplaçant, un ancien cadre supérieur d'un ministère, resté à peine 6 mois avant de détaler à toute vitesse : «Je préfère de loin les affres du chômage que finir à l'ombre dans un mitard, tellement la gestion relève du joyeux capharnaüm ».
Même Attila n'aurait pas réussi meilleures performances en semant le chaos dans chaque structure dirigée. Et pis, vint cette bénédiction, tombée du ciel ou plutôt Saïd Bouteflikienne » qui n'a certainement pas réalisé le désastre en avalisant la promotion historique d'un nicodème, sorti tout droit d'une congélation dans le frigo de la médiocrité datant du troisième quartenaire !
Et le ministre Rachid Benaïssa en connaît un bon bout sur celui qui est devenu, comble de l'ignominie, un haut cadre du pays et qui le « consulte » en tant que tel, à son corps défendant, ravalant in petto sa rage de l'avoir nommé à son corps défendant suite « à l'avis favorable de la présidence de la République », une mention qui le met devant le fait accompli et le refus de manifester un « niet » qui lui brûle les lèvres. Il se raconte dans les dédales du ministère que Benaïssa est tombé des nues en se voyant imposer cette injonction de signer une décision sans demander son avis, encore moins son approbation.
Ainsi va la vie à la SCHPM, l'indigne héritière de la défunte société des Courses d'Alger, un authentique fleuron de l'activité hippique à l'histoire inscrite en lettres d'or et qui a gagné ses galons grâce à l'intelligence et la compétence, deux vertus ravalées au stade de caniveau dans lequel grenouille sournoisement cette entreprise étatique théoriquement prédestinée à engranger de faramineux fonds rien qu'en faisant tourner en rond une douzaine de chevaux et qui se dirige tout droit vers une banqueroute annoncée avec fracas, processus accéléré par une « éminence grise » parachutée par la grâce d'un népotique inhibiteur et une criminelle tromperie sur une marchandise frelatée fourguée par un ancien haut responsable de l'armée qui a « amicalement » conseillé à Saïd Bouteflika de bénir son « neveux » toujours selon les propres dires du « DG » de la SCHPM.
Il y a quelques années, nous déclarions et nous maintenons mordicus nos propos que la SCHPM est, toute proportion gardée, le « Hassi Messaoud » du turf, une activité à forte répercussion lucrative pouvant générer des chiffres d'affaires à donner le tournis, au Trésor public à très moindre coût puisque la machine à reproduire la richesse se limite au faiseur du spectacle : le cheval et cette denrée surpeuplée actuellement, les écuries, appartenant depuis et tristement à...Augias ! , puisque le chouchou des hautes instances nationales en a décrété ainsi !
Aujourd'hui, percluse dit-on de près de 400 milliards de dettes, la SCHPM prend eau de toute part et peine terriblement à s'inscrire au registre des entreprises performantes, ahanant sous le poids du sous-management et de l'inefficience intellectuelle et structurelle de son premier responsable face auquel une faune de maîtres chanteurs agite des dossiers compromettants, le réduisant à s'occuper de l'ordinaire et de l'insignifiant et à fouiner ici et là et surtout pas là où il faut, de peur de scandales qui gicleraient de plein fouet à sa face.
Une question à un dinar soutiré à un turfiste fauché : pour quelles raisons, diable, s'entête-t-on au niveau des cercles décisionnels, à laisser couler une société étatique par excellence, vermoulue dans ses fondements jusqu'à menacer écroulement, alors qu'il suffit d'un minimum de bonne volonté politique, adossée à la désignation d'une équipe dirigeante rompue aux techniques managériales de pointe et le tour est joué, au lieu de laisser des hypocondriaques en liberté agir en toute latitude, menaçant la pitance de plus de 600 employés et leurs familles sans compter les dommages collatéraux incommensurables sur les autres acteurs directement impliqués : propriétaires de chevaux, éleveurs, jockeys, entraîneurs, lads et tout le toutim !
Maintenant que celui qui a remis en selle (suivez mon regard) un apprenti-responsable chargé de mener à bien l'ambitieux programme gouvernemental qui tend à développer à son summum le secteur du cheval, vient d'être édifié sur l'essor de ce qu'on lui a certainement passé sous silence comme rédigé si peu reluisant, quelle va être sa réaction ? Epidermique ? Inexistante ?
L'avenir proche éclairera notre lanterne, car pour le moment tous les regards sont braqués sur la plus prestigieuse réunion hippique de l'année, le Grand Prix du Président de la République qu'abritera l'ancien temple du cheval, l'hippodrome Abdelmadjid-Aouchiche (ex-Caroubier) pitoyablement tombé en décrépitude et dont on essaie cycliquement de ravaler sommairement la façade, manière de camoufler la défaillance de 364 jours sur 365.
Ainsi, ce samedi, on ira encore une fois assister à une mascarade d'organisation rehaussée par la présence « forcée » du ministre de l'Agriculture, contraint par les convenances protocolaires d'une manifestation placée sous le haut patronage du président de la République.
Sans quoi, on ne le verrait certainement pas lanterner du côté de la main courante du Caroubier...
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