Piégé par un parkingueur Un automobiliste de Béchar se souviendra longtemps de son séjour à Tlemcen. A peine arrivé, il cherche comme tous les visiteurs un endroit pour garer sa voiture dans un endroit sécurisé au centre-ville. Il fut accueilli par un parkingueur, qui lui indiqua une place pour stationner : sur un trottoir, évidemment l'automobiliste, étant étranger à la ville, ne se douta de rien et s'acquitta de la «taxe» de stationnement. De retour, il eut la mauvaise surprise de voir son véhicule immobilisé par un sabot, il a beau expliquer aux policiers, que c'est le parkingueur qui l'a pris en charge, rien n'y fit, il était obligé de payer l'infraction pour pouvoir repartir avec sa famille. Entretemps, le maître des lieux (le parkingueur) a filé à l'anglaise à la vue des policiers. Il faut tout juste rappeler que ce n'est pas la première fois que des automobilistes se font avoir à cet endroit, en face du cinéma Colisée. Prix du poulet : l'effet suite à l'appel au boycott Il a fallu que les internautes se manifestent sur la Toile pour que le prix du poulet chute de 480 DA/kg à 350 DA/kg. La veille, une alerte lancée sur Facebook invitait les gens à ne plus consommer la viande de poulet, d'autant plus qu'on était à quelques jours de l'Aïd el-Adha. Cet appel, non seulement fut suivi par les citoyens, mais sema le panique parmi les éleveurs, qui risquaient tout simplement de faire faillite en cette période de canicule. Finalement, tout dépend de la volonté du consommateur à préserver son pouvoir d'achat, en refusant de se plier au diktat des spéculateurs. Selon les rumeurs qui circulent, un autre appel au boycott va être lancé pour la pomme de terre, dont le prix ne cesse de grimper malgré sa disponibilité. Boudjlida : on attend toujours le facteur A l'instar de beaucoup de quartiers, Bouhannak, 400 logements à Mansourah, les nouvelles cités de la banlieue nord du centre-ville ne reçoivent pas leur courrier, faute de facteurs, c'est le cas de la cité de Boudjlida, nouvellement construite. Le problème du courrier se pose avec acuité, pendant des années pour certaines banlieues, ignorées par les services de la poste. Pour pallier ce déficit, Algérie Télécom a pris une louable initiative en envoyant des SMS à ses abonnés au téléphone pour régler leurs factures dans les délais pour éviter les coupures. M. Zenasni