Dans le cadre de la mise en conformité du secteur automobile avec les conditions du nouveau cahier des charges dont la publication est encore une fois reportée, on apprend de source digne de foi qu'un groupe français aurait déjà donné son accord pour un investissement plus conséquent dans le domaine de la fabrication de véhicules en Algérie. Il serait ainsi prêt à honorer les 30% minimum exigés en matière d'intégration locale dès l'entrée en production de sa future usine, soit un investissement initial autour de 200 millions de dollars.