Face aux accusations du député Lakhdar Benkhellaf, les sections syndicales du CHU Ben-Badis affiliées à l'UGTA ont réagi en prenant la défense du DG par intérim de l'hôpital accusé par le député de mauvaise gestion. Le bras droit de Abdallah Djaballah mène, depuis près d'un mois, une campagne féroce contre le responsable sur tous les fronts ; ce qui a poussé les syndicats à réagir pour appeler le corps médical à se mobiliser et «à mettre de côté les désaccords», indique-t-on. Une réaction, bien que tardive, qui intervient suite à la remise d'un rapport au chef de l'Etat par ledit député.