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TIZI-OUZOU
Le march� couvert d�sert� par ses marchands
Publié dans Le Soir d'Algérie le 22 - 08 - 2010

Le pi�tre et d�risoire march� couvert de Tizi, trop �troit et mal am�nag�, est d�sert�, dans son 1er niveau, par les marchands de fruits et l�gumes qui, se sentant marginalis�s et isol�s par rapport � la masse qui envahit les alentours, abandonnent leurs mis�rables carreaux aux profits des �tals ext�rieurs, plus mis�rables encore, pour soutenir la comparaison et la concurrence avec des dizaines de marchands irr�guliers, tol�r�s, qui viennent chaque jour leur disputer la client�le.
Cette minable et triste b�tisse de 2 niveaux, qui fait office de march� couvert depuis des d�cennies, est partag�e entre les marchands d�effets vestimentaires install�s au 1er �tage et ceux des fruits et l�gumes, des viandes rouge et blanche et des produits de la mer occupant le rez-de-chauss�e. En guise de march� couvert de tr�s faible surface et d�aspect ex�crable, on en fait jamais pire pour une ville de plus de 100 000 habitants assumant, par ailleurs, le r�le de plaque tournante et de d�versoir de la wilaya. Derri�re le square du 1er Novembre en r�am�nagement sans fin depuis pr�s de 3 ans, la zone du march� couvert est le r�ceptacle de dizaines de marchands de fruits et l�gumes, de poisson, de v�tements et chaussures, de t�l�phones mobiles dans un environnement pollu� par les r�sidus et d�chets abandonn�s sur place m�lang�s aux eaux us�es. Une guerre sourde mais sans merci se d�roule chaque jour entre les occupants des lieux sous la surveillance d��l�ments occultes qui autorisent ou refusent qu�on s�y installe. Tizi a-t-elle rat� l�occasion de se doter d�un vrai march� couvert appropri� � sa taille de chef-lieu de wilaya et de ville en expansion ? Ceux qui se rappellent de la d�localisation du march� de gros et de la suppression du march� de Sebt face � la gare routi�re ne sont pas loin de le penser avec regret aujourd�hui que les autorit�s ne trouvent pas d�espaces pour des march�s de proximit�. Pour rappel, le terrain, toujours nu, de l�ex-march� de Sebt est attribu� � la JSK depuis longtemps. L�ex-march� de gros est, lui, affect� � la construction d��quipements collectifs achev�s ou en voie de l��tre. Des locaux devaient �tre �galement �difi�s sur le m�me site pour les trabendistes install�s ,depuis des d�cennies, en face du stade du 1er Novembre o� il �tait question durant les ann�es 1990 de construire un complexe socio- culturel. La d�localisation de ce march� trabendiste promise par tous les walis qui se sont succ�d� � la t�te de Tizi depuis 1990 attend toujours d��tre concr�tis�e. L�informel donne l�impression d�avoir des ramifications larges et profondes auxquelles personne n�ose s�attaquer avec fermet� et une suite dans les id�es. La crainte de mettre le feu � l�immense poudri�re des jeunes ch�meurs, jet�s malgr� eux dans ce genre d�activit� normalement pr�caire, force les pouvoirs publics � la complaisance vis-�-vis de l�informel faute de cr�ation d�emplois stables et r�mun�rateurs. L�informel profite de ce laisser-faire et tend � supplanter le commerce r�gulier au grand d�pit des professionnels enregistr�s comme tels qui peinent � faire valoir leur droit � l�existence. Les espaces que les pouvoirs publics ne trouvent pas pour les march�s de quartier dits de proximit�, les trabendistes les trouvent en squattant les trottoirs, les moindres espaces libres n�h�sitant pas � d�border sur la chauss�e. Outre le fait que le Tr�sor public ne tire aucun centime de ce march� florissant, on note parmi des d�g�ts collat�raux de l�informel l�absence de contr�le qualit� y compris sur les produits alimentaires de consommation directe, la g�ne de la circulation automobile et pi�tonne, la pollution et la clochardisation de la ville cens�e �tre la vitrine d�une r�gion touristique.
Y. B.
Le CW 251 transform� en d�charge publique
Le magnifique paysage travers� par le CW251 entre l�embranchement de Thakherouvth et Chr�a (Bouzegu�ne, limite territoriale avec la wilaya de B�ja�a) est d�figur� par d�innombrables amoncellements de terre et de d�combres provenant de d�blaiements qui pars�ment la route.
Ces amoncellements provoquent l�obstruction des caniveaux, la r�duction de la visibilit� et le r�tr�cissement de la chauss�e au grand dam des usagers de cette route dont les suspensions des v�hicules s'en ressentent, et m�me des pi�tons r�duits � empi�ter dangereusement sur la chauss�e faute d'accotement, notamment entre Ihitoussene et A�t- Fera�che. Pour se d�fendre, les citoyens invoquent l�absence de sites pour ce type de d�charges. La nouvelle route menant vers Chaouffa n'est �galement pas �pargn�e par le ph�nom�ne, ce qui est qualifi� par les citoyens de v�ritable catastrophe notamment au niveau du tron�on Houra-Chr�a, un projet r�cent qui donne l�impression d��tre aussi vieux que l��tat lamentable de la route aux caniveaux compl�tement bouch�s, sans omettre les affaissements subis par la chauss�e notamment au niveau de la source surplombant Houra. Cela alors que les d�caissements op�r�s, il y a un an environ, au niveau des sections d�grad�es dans l�optique de rafistoler la route attendent toujours d��tre am�nag�s. �La situation interpelle au plus haut point les structures de la STP d�Azazga territorialement comp�tentes�, commente un technicien de l�APC de Bouzeguene qui pr�cise que cette mission incombe aux services concern�s des travaux publics.


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