Mercredi matin, j'ai rencontré, par un extraordinaire hasard, Frida Kahlo à la Grande-Poste, au cœur d'Alger. L'artiste-peintre mexicaine m'a dit : «La peinture m'a sauvé la vie.» Ce n'est pas un rêve éveillé. C'est en passant près du siège de la Fondation Ahmed et Rabah Asselah que j'ai vu deux grandes affiches de Kahlo. La fondation culturelle algéroise prépare certainement une expo sur cette grande peintre marquée par la vie. K. B . [email protected]