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LE SOIR DE L'OUEST
AIN SEFRA Au marché du cher diamant
Publié dans Le Soir d'Algérie le 04 - 03 - 2013

La truffe (terfaçe), ce cher diamant, produit de luxe par excellence, une espèce de champignon souterrain non-phanérogame, sans racine, sans fleurs, et sans chlorophylle. Récoltée sans labours, sans semences, sans irrigation, de couleur naturelle, marron ou blanche, exploitée dans les régions des Hauts- Plateaux et du sud du pays, elle inonde les marchés de la région d'El-Bayadh, Bougtob, en passant par Mechéria, Aïn-Sefra, jusqu'au- delà de la wilaya de Béchar.
Des foules nombreuses, une multitude d'acheteurs, de curieux autour des étals, les caisses à truffes, telles des nuées d'abeilles qui se fondent sur leurs ruches. La truffe donc est partout, proposée même dans certains magasins, voire même aux abords des routes, mais au prix encore exhorbitant 400, 600 voire 800 DA pour la meilleure qualité, alors qu'au moment de son apparition, son prix dépassait largement celui de la viande rouge. Un prix en baisse puisque pour cette saison, la récolte serait importante, grâce aux dernières précipitations, nous dit-on. Si chez nous, aucune étude n'a été faite sur «notre truffe », pour l'instant on ne connaît que deux variétés seulement, sans concurrence : la blanche et la marron qui est très rare. Par contre, en Europe, principalement en France, il existe 32 variétés de truffe. Elle est appelée communément le diamant noir, mais la majorité ne présente aucun intérêt gastronomique. Les plus connues et les plus recherchées sont au nombre de quatre seulement. Telle la truffe noire du Périgord qui est cédée entre 800 et 1 100 euros le kilogramme. Notons, que les récolteurs de truffes viennent de partout. Certains les achètent en vrac sur les sites d'exploitation pour les revendre sur les marchés, d'autres passent des jours à les récolter. Les sites sont situés généralement dans des zones éparses. Les effets de la truffe sont bénéfiques. En gastronomie, sa consommation reste exceptionnelle par sa grande dégustation ; ses différents mets sont connus par la population de la région : tajine au ragoût ; purée avec du beurre de brebis (refça) ; ragoût avec du couscous. En médecine, l'extrait et le zeste de la truffe sont conseillés pour les opérations chirurgicales (comme pansements) ou les maladies des yeux (trachome et conjonctivite).
B. H.
MAZAGRAN (MOSTAGANEM)
Des élus, dont le président de l'APC, assiégés dans leurs bureaux
Le premier magistrat communal de la baladia de Mazagran a été maintenu cloîtré dans ses bureaux, à la fin de la semaine dernière avec trois de ses proches collaborateurs par la population de cette commune, en signe de colère contre l'affichage d'une liste de 98 logements.
Les contestataires se sont rassemblés et ont bloqué l'entrée de la mairie, paralysant toutes ses activités et empêchant les entrées et les sorties des citoyens et autres agents de l'APC. Selon nos informations, les autorités locales de cette daïra et des sages ont tenté de ramener le calme, en annonçant l'ouverture de bureaux pour les recours mais les prétendants au logement ont assez entendu, disent-ils, tous les discours de propagande des autorités locales tournant autour de cette question délicate avec des promesses non tenues. Les contestataires rencontrés sur le tas pointent du doigt les garanties de cette liste, étant donné disent-ils, que la plupart des bénéficiaires ne sont pas dans le besoin. D'autres ont brandi des documents prouvant qu'ils ont déposé des demandes de logements depuis les années 1990 et s'insurgent de ne pas voir leur nom figurer parmi les bénéficiaires, après tant d'années d'attente. Des protestataires ont dénoncé les nantis dont les locaux ont été démolis dans la plage des Sablettes et indemnisés, figureraient parmi les heureux bénéficiaires. La tension monta même d'un cran, lorsqu'on entendait des insultes, des cris et des menaces d'incendier quelques structures administratives de cette commune. Il a fallu beaucoup de calme et de patience pour convaincre les citoyens en colère que cette liste de bénéficiaires de logements devrait être revue. Appelés en renfort dès la contestation, les services de sécurité qui ont cerné la mairie ont réussi à empêcher tout dérapage.
A. B.
AIN TEMOUCHENT
Le calvaire des malades chroniques
Un malade chronique et sans aucune ressource s'est rendu chez le président d'APC d'une commune de la wilaya de Aïn-Témouchaent pour demander qu'on lui attribue l'aide forfaitaire sociale (AFS) de 3 000 DA.
Grande fut sa surprise quand il a entendu ce maire lui répondre qu'il ne peut satisfaire sa demande du fait que l'enveloppe budgétaire réservée à cet effet est épuisée et qu'il fallait attendre la mort d'un malade pour qu'on lui attribue cette aide. Une réponse qui a irrité au plus haut point ce malade chronique qui n'arrive pas à s'expliquer ce comportement d'un élu censé être au service des citoyens. Ce cas n'est pas isolé dans la wilaya où des malades chroniques et des représentants d'associations à caractère social se plaignent d'élus qui ne font rien pour aider les malades et les irritent par leurs comportements indifférents et blessants. Un cas similaire a été enregistré dans une autre commune. Une malade, quinquagénaire, nous dira : «Moi, on m'a répondu qu'il faut attendre qu'un bénéficiaire décède pour qu'on m'attribue cette modique somme.» Une réponse qui a choqué notre infortunée malade chronique. Des faits confirmés, hier, par Mme Miloud Abid, sur les ondes de la radio régionale de Aïn Témouchent. «La Direction des affaires sociales (DAS) a été mise au courant de cet incident. Nous lançons un appel aux maires pour veiller à bien accueillir ces personnes malades et en détresse et les prendre en charge d'une façon humaine et honorable afin de les faire bénéficier des avantages sur le plan social et sanitaire octroyés par l'Etat. Au sujet de l'AFS, l'APC devra faire son possible et le cas échéant, accorder la priorité au postulant à l'AFS.» Abondant dans le même sens, la présidente de l'Association des personnes atteintes de cancer, Mme A. Berrichi, a rappelé que plusieurs malades chroniques ont subi le même sort à travers d'autres communes témouchentoises alors qu'ils ont besoin de cette AFS pour, au moins, couvrir les dépenses relatives à l'achat des produits pharmaceutiques non pris en charge par la Cnas.
S. B.
RELIZANE
Formation pour les mères d'enfants diabétiques
Pour la deuxième année consécutive, l'Association El Amel des diabétiques de la wilaya de Relizane, en collaboration avec l'équipe médicale du service pédiatrique de l'Etablissement hospitalier public Mohamed Boudiaf de Relizane, organise depuis le début de semaine, un cycle de formation pour les mères d'enfants diabétiques au bureau d'hygiène de Relizane.
Selon le docteur Boumediene, l'un des organisateurs de cette opération, «ce regroupement éducatif a visé une trentaine de familles démunies de la région. L'intérêt de cette formation, qui s'étalera jusqu'à jeudi, est de sensibiliser les mères sur la prise en charge de leurs enfants malades, notamment l'hygiène de vie, le contrôle régulier, le dosage de l'insuline, entre autres». Au moment où les mamans sont en cours, leurs enfants diabétiques sont gardés par les adhérents de l'association susmentionnée et bénéficient de leur côté, de séances éducatives, dessin, musique, animation, des séances de clown... a précisé notre interlocuteur. A l'heure actuelle, la prévalence du diabète augmente à un rythme inquiétant chez les enfants et les adolescents en surpoids. Les statistiques mondiales indiquent que sur les dix dernières années, on compte 75% de malades de plus avant l'âge de 4 ans.
A. Rahmane
Une bande spécialisée dans le trafic de faux permis de conduire de moto neutralisée
Le procureur de la République près le tribunal de Relizane vient d'ordonner la mise en détention préventive d'une personne poursuivie pour «trafic de faux permis de conduire de moto», selon un communiqué rendu public de la Sûreté de wilaya de Relizane. Les éléments de la Sûreté de daïra d'Aïn Tarik, agissant sur la base de renseignements, ont interpellé une personne âgée d'une trentaine d'années, s'adonnant au trafic de faux documents, selon le même communiqué. La personne arrêtée vendait des faux permis de conduire de moto à de jeunes férus de motos, pour quatre cent dinars l'exemplaire, ajoute le même communiqué.
A. R.
SIDI BEL-ABBÈS
7 familles cohabitent avec les souris et les rats à El Graba
Sept familles nombreuses, occupant de très vieilles bâtisses situées rue de l'abattoir de la ville de Sidi Bel-Abbès, interpellent monsieur le wali au sujet de leurs conditions d'habitation. Dans leurs pétitions, ces familles décrient la vétusté de leurs habitations dont l'électricité et l'eau leur ont été coupées rendant leurs conditions plus difficiles encore. Sans parler des souris, rats et serpents en été, qui infestent leurs demeures de fortune. Aussitôt les premières gouttes de pluie, ajoutent-elles, nos toits deviennent des passoires et les infiltrations d'eau nous poussent à déserter les lieux pour aller nous réfugier dans le bain maure du quartier, le temps que cessent les précipitations. Ces dernières ne sont pas sans occasionner, à la longue, de l'humidité, des moisissures et des champignons sur les murs, mettant ainsi notre santé en danger. A trois reprises, nous avons reçu des commissions d'enquête ainsi que des éléments de la Protection civile venus nous assister lors des intempéries. Mais à ce jour, notre situation n'a pas bougé d'un iota. «Nous, nous sommes là et les rats aussi», s'indignent- elles. Décriant leur situation de précarité, les signataires interpellent les autorités locales et supérieures pour une prise en charge en vue de leur relogement. «Monsieur le wali, nous ne demandons qu'un toit décent pour abriter nos familles dont la santé est menacée».
A. M.
Une personne écrouée pour conduite en état d'ivresse et port de bombe lacrymogène
La Sûreté urbaine de Sidi-Bel-Abbès a, sur la base d'informations, intercepté une personne à bord d'un véhicule léger, au niveau d'un point de contrôle, sur la route d'Oran, en état d'ivresse. Lors de la fouille du véhicule, les policiers ont trouvé une petite quantité de kif et une bombe lacrymogène. L'automobiliste, connu des services de police, a été arrêté. Présenté devant le procureur de la République de Sidi-Bel-Abbès, le mis en cause a été écroué.
A. M.
Le pédophile appâtait sa victime avec des jouets
Un homme âgé de 39 ans, habitant dans la localité de Tenira (SBA), a été arrêté par les services de sécurité après avoir été accusé d'acte de pédophilie sur un enfant âgé de 11 ans. Selon nos sources, la maman intriguée par des choses coûteuses que ramenait son enfant, a soumis ce dernier à un interrogatoire. C'est ainsi que la victime s'est confiée à sa mère, accusant le prévenu d'avoir abusé de lui régulièrement. En contrepartie, il lui offrait des cadeaux. La mère accompagnée de son fils s'est rendue aux services de sécurité pour déposer plainte, le week-end dernier.
A. M.
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