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LE SOIR DU CENTRE
Publié dans Le Soir d'Algérie le 30 - 05 - 2013


KHEMIS MILIANA
L'attaque de la bijouterie élucidée
L'affaire du vol par effraction d'une bijouterie située à la rue Belsaâdi Abdelkader dans la nuit du 28 au 29 avril dernier a été élucidée. Après la plainte déposée au niveau du service de la police judiciaire de la Sûreté de la daïra de Khemis Miliana, une enquête a été ouverte. Celle-ci a commencé par le relevé des indices effectué par les agents de la police scientifique dépêchés par la Sûreté de wilaya.
Selon une source policière, les voleurs s'étaient introduits de nuit dans la bijouterie, en passant par le local contigu, un magasin de vente de téléphones mobiles où ils ont, avec un matériel approprié, ouvert une brèche dans le mur mitoyen à la bijouterie avant d'ouvrir avec un chalumeau les deux coffres-forts qui s'y trouvaient. Aucune habitation ne jouxtant le local, les voleurs ont eu tout le temps pour fracturer les deux coffres avant de disparaître en emportant le butin, évalué à 600 millions de centimes en liquide et 10 kg d'or. Les éléments de la police scientifique ont relevé des empreintes digitales, même sur les gants utilisés par les voleurs et abandonnés sur les lieux. Ce qui a permis d'identifier assez vite l'un des auteurs du vol, un individu originaire de la ville de Batna, âgé de 39 ans, impliqué dans des affaires similaires. La poursuite des investigations a permis aux policiers de mettre la main sur une puce téléphonique qu'il avait remise à son complice dans le but de déjouer la surveillance de leurs communications en vue de l'exécution de leur projet. En poussant leurs recherches et en utilisant les techniques appropriées, les policiers ont pu identifier le Batnéen, le localiser et l'arrêter dans la wilaya de Batna. A partir de là, les enquêteurs sont arrivés à identifier un autre élément de la bande, un commerçant, âgé de 40 ans exerçant à Guelma mais qui résidait chez l'un de ses proches demeurant à Bordj Bou- Arréridj. Munis d'une commission rogatoire, les enquêteurs se sont déplacés à Bordj Bou-Arréridj où ils ont localisé l'accusé et procédé à son arrestation. Cependant, les policiers poursuivent leurs investigations pour arrêter le cerveau de la bande et récupérer le butin. Les deux mis en cause arrêtés ont été déférés devant le tribunal de Khemis Miliana qui après les avoir entendus, a transmis le dossier au juge d'instruction lequel, à son tour, a ordonné leur mise en détention provisoire.
Karim O.
Ces fumées si nocives
La préoccupation d'un environnement sain ne semble pas être partagée par tous eu égard aux dégradations que subit cet environnement et auxquelles ne sont pas étrangers l'habitant par son manque de civisme et les services qui ont la charge et le devoir de veiller à sa sauvegarde.
Pour preuve, de cette complicité de fait dans les agressions quotidiennes de l'environnement en milieu urbain, ces méga-dépotoirs dans les quartiers comme celui du 17-Octobre, ou Halaïmi, qu'on brûle à partir de 22h et qui dégagent des fumées à haute toxicité, empoisonnant les riverains et même les habitants des quartiers voisins et mettant en danger la santé de tous par l'inhalation des gaz provenant de la décomposition des déchets en plastique. On a même vu, au niveau de la cité du 17-Octobre des poubelles géantes, fondre et se consumer, et ce sans que personne s'inquiète, sans que l'on cherche qui sont les incendiaires pour les sensibiliser aux dangers qu'ils font courir à la population. Autre spectacle désolant que donne la ville à tout visiteur, à tout passager, c'est la saleté repoussante des rues et quartiers. Cette image hideuse a fait même dire à un des walis qui se sont succédé que «Khemis Miliana et la ville la plus sale du monde». A ce sujet, ce sont les services d'hygiène de la commune qui sont pointés du doigt par les habitants. Ces services s'en défendent et font valoir l'insuffisance des effectifs et des moyens matériels, notamment le manque d'engins pour le ramassage ou alors les difficultés d'accès au dépotoir principal de la ville situé sur les hauteurs du quartier Soufay. Selon certains élus, les fauteurs sont les habitants qui par manque de discipline sortent leurs ordures ménagères à n'importe quelle heure pour les déposer n'importe où. Les habitants se plaignent que les bennes tasseuses ne passent pas dans tous les quartiers ni dans toutes les rues. Quant aux agents chargés du nettoiement des rues, munis de leurs petites brouettes, ils ont quasiment disparu du paysage, on n'en voit que quelques-uns, sporadiquement à l'œuvre juste devant les bâtiments officiels. Mais le lieu qui porte une réelle atteinte à la ville et génère des tonnes et des tonnes d'ordures, c'est le marché de la place centrale de la ville où le poisson côtoie les tas d'ordures et où les chiens et chats s'affairent à trouver quelque pitance, des étalages de friperie, les vendeurs de pain traditionnel, les marchands de boissons douteuses et vendues dans des sachets, incontrôlés... l'anarchie au détriment de la santé publique. Il faut dire aussi qu'en fin d'après-midi, les commerçants empochent leurs recettes, quittent les lieux en se débarrassant de leurs déchets d'un coup de pied en les éparpillant sur les trottoirs, au vu et au su de tout le monde, sans que personne s'en offusque comme si ce comportement était normal. Aux agents du «beylik», qui méritent pourtant le respect pour leur travail, échoit la tâche de compenser une grande part du manque de civisme des uns et des autres, le laxisme de ceux qui sont payés pour faire respecter les règles d'hygiène vitales pour la santé des habitants de la cité. En un mot, tout le monde est coupable et tout le monde se dit innocent. Une note d'optimisme cependant pointe à l'horizon, depuis la décision prise en haut lieu d'éradiquer le marché informel. A ce sujet, faute de préparation et de planification et en l'absence de solutions déjà prêtes, les commerçants réintègrent, en force, les lieux parce qu'il ne suffit pas de les chasser pour occulter le problème, car des centaines de familles vivent de ces marchés. Une note d'optimisme parce que plusieurs chantiers ont été lancés pour la réalisation de marchés salubres, organisés, gérables à tous points de vue. Cependant, ces nouveaux lieux de commerce tardent à être livrés. En attendant, l'anarchie dans ces lieux perdure. Autre phénomène observé, c'est le retour, après une longue éclipse, des charlatans. Ces énergumènes, utilisant des discours religieux, s'autoproclament médecins-pharmaciens et, profitant de l'ignorance, commercent des produits douteux, en prétendant soigner toutes sortes de maladies, de l'impuissance sexuelle au cancer en passant par la tuberculose, le diabète et plein d'autres maladies. Qu'importe les conséquences que ces produits «pharmaceutiques» peuvent avoir. Et encore une fois, sans que personne ou aucune autorité n'intervienne pour mettre un holà à ces pratiques dangereuses et pour le moins illégales.
K. O.
TIPASA
Les syndicats des transporteurs dans l'expectative
Au lendemain de la tenue du 3e congrès des transporteurs, les adhérents de l'Organisation des transporteurs de Tipasa (ONTA) restent toujours dans l'attente du règlement des problèmes exposés depuis plusieurs mois. A ce titre, Djamel Bouchouata, l'ancien dirigeant du conseil national des transporteurs de l'ONTA, tout en se félicitant de la réélection de Hocine Bouraba lors de ce 3e congrès, rappelle que plusieurs problèmes restent en suspens et qu'il appartient à la nouvelle direction de l'ONTA de prendre en charge. Il s'agit entre autre de la surcharge des lignes de transport, de la mauvaise gestion des gares routières, de l'instauration d'un véritable plan de transport et la mise en œuvre du chronotachygraphe. Notre interlocuteur donne des précisions sur le chronotachygraphe qui «permettra notamment d'enregistrer les vitesses et le temps de conduite et, partant, de réduire les accidents de la circulation dans lesquels sont souvent impliqués les poids lourds». Le syndicat ONTA de la wilaya de Tipasa fonde beaucoup d'espoirs sur la nouvelle direction syndicale nationale, sachant que le syndicat couvre 35 wilayas, qui compte plus de 700 000 adhérents, dont 70 000 opérateurs dans le transport de voyageurs, 155 000 chauffeurs de taxi et 480 000 camionneurs de marchandises. M. Habir, le fondateur des syndicats ONTA et UNAT, interpellé en marge de ce 3e congrès de l'ONTA, sur la préoccupation des transporteurs, à savoir à l'exonération fiscale et de la TVA pour des milliers de transporteurs algériens, particulièrement l'effacement des dettes bancaires et de l'Ansej pour de jeunes investisseurs dans le domaine des transports, ainsi que la révision des marges bénéficiaires actuelles, dira : «Nous avons saisi les autorités nationales et le gouvernement sur ce sujet très sensible, mais en vain. Mais nous espérons que la nouvelle direction reprendra le flambeau et fera siennes les revendications des jeunes.»
Larbi Houari
BRÈVES DE BEJAIA
Une grève de 15 jours
Consécutivement au préavis de grève du 16 mai dernier lancé par le Snapap à l'endroit des pouvoirs publics, pour la satisfaction de diverses revendications des travailleurs de l'enseignement supérieur, les syndicalistes de ce secteur ont décidé à l'unanimité de durcir le ton, et ce, en appelant les fonctionnaires de l'université et des résidences U, à observer quinze jours de grève à partir de ce dimanche. La Fédération de la wilaya, qui s'est désengagée de cette action, a réitéré son appel aux autorités pour le dialogue entre les deux parties en conflit. Les étudiants de l'Université de Béjaïa sont appelés à prendre toutes leurs dispositions face à cette interminable crise qui ne cesse de perturber leur cursus.
K. G.
Le premier rallye féminin «les roses de la Soummam» pour vendredi
En vue de revaloriser l'histoire et le tourisme dans la région de Béjaïa et dans le cadre de son plan d'action annuel, la Ligue des sports mécaniques de la wilaya organisera vendredi le premier rallye féminin «les roses de la Soummam». L'événement est d'abord conçu par les organisateurs comme un hommage aux acteurs du congrès de la Soummam, dont le point de départ de la compétition est initialement prévu depuis l'historique mausolée d'Ifri Ouzellaguen pour ensuite traverser une dizaine de localités de la basse Soummam, jusqu'au chef-lieu de Béjaïa, où aura lieu une grande manifestation coïncidant avec le lancement de la saison estivale 2013.
K. G.
Akbou au cœur des préoccupations du wali
Contrairement à toutes les villes de la wilaya qui ont perdu ou presque les traces de leur industrialisation précoce, car emportées soit par la crise soit par abandon, Akbou conserve jalousement l'histoire de ses précurseurs économiques. La ville et sa périphérie sont en plein essor économique et les industriels de cette région se sont installés dans la durée et dans la perspective de la grande concurrence internationale, en témoignent les dizaines d'usines multi-secteurs installées dans la zone d'activité de Taharacht. Comme pour leur témoigner de son dévouement dans le rôle joué par ses investisseurs locaux dans l'économie nationale, le wali de Béjaïa Ahmed-Hamou Touhami s'est rendu mardi dernier dans ce pôle économique de la wilaya où il a eu de longs entretiens avec de nombreux promoteurs. Le premier responsable de la wilaya, lors de sa visite, a inspecté et lancé plusieurs chantiers, notamment celui de la réalisation de 1 450 logements à Azaghar et de 302 autres à Sidi Ali, l'inspection du projet d'extension de 60 lits pour l'hôpital de la ville d'Akbou dont les travaux accusent un énorme retard, ce qui a soulevé le courroux de ce dernier. Ahmed-Hamou Touhami avait également procédé à la remise des clefs aux bénéficiaires des 90 logements de la cité promotionnelle baptisée «Liza», un chef-d'œuvre réalisé par la société SOPIMB dont l'inauguration a coïncidé avec cette visite des autorités de la wilaya.


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