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Le Soir du Centre
TIZI-OUZOU Affrontements à Oued-Aïssi
Publié dans Le Soir d'Algérie le 12 - 10 - 2013

Un jour ou l'autre, ça devait arriver. C'est la conviction de plusieurs citoyens, habitués à traverser ce tronçon de la RN 15, à quelques kilomètres à peine à l'est de la ville de Tizi-Ouzou, où l'on ne compte plus les mésaventures dont ont été victimes les usagers de cette partie de la route de Oued-Aïssi menant vers Larbaâ-Nath-Irathen.
N'ayant plus la patience d'endurer les affres de l'insécurité qui y règne depuis on ne sait plus combien d'années, et en réponse à une initiative de comités de communes et de villages relevant de la daïra de Larbaâ-Nath-Irathen, des dizaines de citoyens ont observé le sit-in prévu, en parallèle à l'opération ville morte dans laquelle a été plongé l'ex-Fort National et ses environs, dans la matinée de jeudi dernier.
Si la marche et le déplacement vers le «point noir» du tronçon de la route qu'ils ont l'habitude d'emprunter n'a pas rencontré l'adhésion de tout le monde, des jeunes de Larbaâ, d'Irdjen et d'Adeni sont tout de même allés jusqu'au bout du mouvement et, comme certains le craignaient, les escarmouches sont devenues inévitables avec les habitants du lieudit Zerzara d'où seraient originaires les bandits de grands chemins. Ces derniers sèment la terreur sur les routes environnantes, notamment ceux auxquels l'on endosse le guet-apens de la semaine dernière, où plusieurs automobilistes ont été molestés, certains violemment à l'instar d'un jeune homme grièvement blessé.
Jeudi dernier donc, c'est toute une population qui était rudement remontée pour dénoncer les auteurs des agressions commises sur ce tronçon de la RN15, et interpeller les autorités sur un fait qui dure depuis des années.
Malheureusement, cela s'est terminé par des affrontements qui, selon une source non officielle, ont fait une dizaine de blessés des deux côtés des «belligérants» jusqu'à l'arrivée, en début d'après-midi, des services de sécurité qui s'y sont établis jusqu'à la fin de la journée.
A. M.
AZAZGA
Mobilisation de la force publique pour évacuer les ordures ménagères
Le maire qui a toujours défendu l'option de la délocalisation du site s'oppose toutefois, pour le moment, à sa fermeture.
La fermeture de la décharge communale par des citoyens de Tadart (ancienne ville d'Azazga), durant plus de vingt jours, pour exiger l'application d'un protocole d'accord conclu avec la daïra qui s'est engagée à fermer définitivement la décharge d'El Ancer à partir du 3 juin dernier, en raison de sa situation en pleine forêt et près de l'hôpital dans un cadre féerique renfermant des vestiges historiques et une flore riche où évolue harmonieusement une faune sauvage menacée de disparition (voir article de mercredi dernier), a suscité une vive réaction des autorités locales, de la daïra et de la Wilaya d'après un élu, qui ont mobilisé mercredi dernier, la force publique pour sécuriser le parcours des camions chargés de la collecte et l'évacuation des ordures ménagères jusqu'au site El Ancer.
La collecte qui s'est poursuivie jeudi dernier pour évacuer les monticules de détritus qui commençaient à défigurer la ville n'a, pour l'heure, pas rencontré de résistance de la part des opposants au site d'après cet élu.
Le P/APC qui a, selon ses propos, toujours défendu l'option de la délocalisation du site s'oppose toutefois pour le moment à sa fermeture au motif que l'Etat a investi plus de deux milliards pour l'aménagement de la décharge dont un bassin de filtration est prêt à servir pour quelques mois encore en attendant de trouver un site adéquat et définitif à l'exemple de Bouhlalou, une enclave dépendant des communes d'Azazga, Fréha et Aghribs. Mais ce site connaît lui aussi des oppositions. C'est dire la complexité du problème quand on sait que la commune a été déjà empêchée par les citoyens de décharger ses détritus dans trois sites ne répondant pas aux critères environnementaux.
S. Hammoum
El Maien (AIn Defla)
L'enfant trouvé mort dans un puits a bien été assassiné
Comme nous l'avons relaté dans notre édition de mercredi dernier, le corps sans vie d'un enfant, âgé de 9 ans, avait été découvert au fond d'un puits, dans le douar Mokhfi, dans la commune d'El Maien, dans la daïra de Rouina à l'ouest de Aïn Defla, et ce, au milieu de la journée du 6 octobre vers 12 h.
La dépouille du jeune N. A., avait été retirée du puits et déposée à la morgue de l'hôpital Sidi Bouabida d'El Attaf après que les éléments de la brigade locale de la gendarmerie et ceux de la police scientifique aient prélevé tous les éléments et autres indices susceptibles de faire toute la lumière sur la mort du jeune innocent.
Les gendarmes en charge de l'enquête se sont immédiatement mis à l'œuvre pour élucider les causes qui ont prévalu à cette mort et les circonstances précises dans lesquelles elle a eu lieu.
Les gendarmes ont d'abord découvert tout près du puits une savate attribuée à une personne de sexe féminin de par la forme, le type, la couleur et la pointure.
Un second élément qui a permis aux gendarmes de retenir la thèse d'un crime est la trace sur 150 m d'une traînée de corps menant d'un endroit broussailleux jusqu'au puits. Un autre indice relevé cette fois sur l'arrière du pantalon de la victime a été le nombre important d'épines provenant du lieu broussailleux qui marque le début de la trace de traîne du corps, épines incrustées dans le tissu au niveau des fesses de la victime.
Poursuivant leurs investigations par une enquête de voisinage, les gendarmes apprennent que dans la matinée, une femme portant djelbab noir a bel et bien été aperçue dans les parages du puits au courant de la matinée.
L'enquête du voisinage allait orienter les enquêteurs à cibler leur soupçon sur une jeune femme du douar, et ce, partir d'une confidence faite par un proche qui a déclaré que le frère de la victime était en liaison avec une jeune femme, une certaine K. B., âgé de 23 ans qui correspondait à la femme qui avait été aperçue la veille de la disparition de la victime non loin du puits.
Le nombre d'indices conduisant à cette jeune femme a poussé les enquêteurs à opérer une perquisition, autorisée par le procureur de la République, au domicile de la personne sur qui ont pesé les soupçons. La jeune fille a commencé par reconnaître que la savate découverte près du puits lui appartenait et qu'en plus, la seconde savate a été mise au jour dans le domicile de la jeune femme. Le reste s'est enchaîné. Forte de la multiplicité des indices accusant la jeune fille et qui la confondent, elle est placée en garde à vue et interrogée. Elle ne tarde pas alors à passer aux aveux.
Le matin de la disparition de la victime, au moment où il se rendait à l'école en compagnie de ses camarades, sur le chemin, il a été interpellé par la jeune femme qui lui demande des nouvelles de son frère qu'elle n'arrivait pas à contacter. L'enfant innocemment apprend à la jeune fille que son frère venait de célébrer ses fiançailles avec une autre jeune femme. La jeune femme entraîne alors l'enfant dans un endroit en retrait du douar, et l'attache à un arbre proche d'un puits. Elle lui promet de ne le relâcher que si son frère et «ex-prétendant» venait le chercher. L'enfant qui ne soupçonnait pas ce qui allait lui arriver devient alors insolent et montre qu'elle ne lui faisait pas peur et qu'elle ne pouvait rien lui faire. La discussion s'envenime alors et prise dans un accès de colère, la jeune femme entoure le cou de l'enfant avec la sangle du cartable qu'il avait sur le dos et serre très fort. Il meurt étranglé. Prise de panique, prenant conscience de l'énormité de l'acte qu'elle venait de commettre, elle tente de masquer son forfait en faisant disparaître le corps qu'elle soulève pour le jeter du haut de la margelle au fond du puits croyant qu'il n'allait jamais être retrouvé.
Comme le crime parfait n'existe pas, en moins de 24 h, elle est retrouvée et confondue. Après avoir été déférée au parquet d'El Attaf et entendue par le magistrat en charge du dossier, mardi dernier, elle est placée sous mandat de dépôt et incarcérée au centre pénitencier de Chlef en attendant d'être jugée.
Karim O.
67 individus frappés de décisions de justice arrêtés
67 personnes viennent d'être arrêtées, reconnues coupables de divers délits dont atteinte aux personnes, atteinte aux biens d'autrui et atteinte aux bonnes mœurs. Ces individus refusaient de se présenter devant les divers magistrats en choisissant délibérément de ne pas obtempérer aux différents mandats émis à leur encontre. Après de multiples opérations de police, ils ont fini par être arrêtés et conduits devant les juges. Ainsi, 31 individus condamnés à des peines d'emprisonnement ont été arrêtés et incarcérés, 16 frappés de mandat d'arrêts ont été appréhendés, 17 faisant l'objet de mandat d'amener ont été interpellés et conduits devant les juges, et 3 autres contre qui des mandats de dépôt ont été émis ont eux aussi été arrêtés et placés derrière les barreaux, avons-nous appris de sources sécuritaires autorisées.
K. O.
Béjaïa
Onze personnes arrêtées pour détournement de 70 tonnes de soja
La police judiciaire de la Sûreté de wilaya a procédé, au courant de la semaine écoulée, à l'arrestation de pas moins de onze individus présumés impliqués dans une affaire de détournement de près de 70 tonnes de soja, une marchandise importée de l'étranger par un opérateur économique de Béjaïa et entreposée au lieudit Iryahene à la sortie est du chef-lieu de wilaya de Béjaïa.
Le groupe d'individus, âgés de 25 à 45 ans, a réussi à détourner cette importante marchandise de soja avec la complicité du gardien de l'entrepôt et quelques conducteurs travaillant pour le compte de l'entreprise, a rapporté la cellule de communication de la Sûreté de wilaya de la sortie est du chef-lieu de wilaya de Béjaïa.
Les auteurs du vol chargeaient la marchandise sans délivrer de bons de sortie ni de factures pour la revendre ensuite à des volailleurs et autres éleveurs de bétail à des prix inférieurs à sa valeur réelle. Le pot aux roses a été découvert par les agents de la PJ de la sortie est du chef-lieu de wilaya de Béjaïa consécutivement à une plainte déposée par le conseiller juridique de la société victime de ce détournement, avant de mettre la main sur le «cerveau» de la bande.
Après l'audition de ce dernier et des investigations poussées, les agents de la PJ ont pu, en un temps record, identifier et arrêter les autres membres du groupe.
Présentés devant le procureur près la cour de la sortie est du chef-lieu de wilaya de Béjaïa lundi dernier, cinq d'entre eux ont été placés en détention provisoire et leurs acolytes mis sous contrôle judiciaire pour «constitution d'un groupe de malfaiteurs, vol qualifié et recel d'objets volés».
A. K.
BORDJ-MENAIEL
Deux dealers arrêtés
«Rouget» et son comparse de Bordj-Menaïel (Boumerdès) sont en prison où ils feront certainement un long séjour. Les deux délinquants se livraient au trafic de stupéfiants dans les milieux de la jeunesse de Bordj-Menaïel.
A la suite d'informations qui leur sont parvenues, les policiers de la Brigade de lutte contre le trafic de drogue dépendant de la Direction de la Sûreté de la wilaya de Boumerdès ont fait une descente dans un quartier de la ville pour surprendre les deux délinquants, qui étaient sous l'effet de psychotropes et en détention de 526 grammes de drogue sous forme de plaquettes et d'une somme de 87 100 dinars constituant la recette du jour de leur commerce criminel.


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