La FAF de Raouraoua a manifest� toute sa gratitude envers Bouteflika, le pr�sident de la R�publique, Ouyahia, chef du gouvernement, tout le gouvernement, Benbouzid, l�actuel ministre de l�Education et l�ex-ministre de la Jeunesse et des Sports, l�Arm�e nationale populaire, la police, la Gendarmerie nationale et la Protection civile. Chacun pour les efforts qu�il a d�ploy�s pour le football, entre autres, est vivement, voire chaleureusement gratifi� de cette reconnaissance. Tout le monde a eu droit � des remerciements grands� comme �a. Sauf un, celui que l�on accuse de tous les maux, despotiques particuli�rement. D�clar� personna non grata dans le monde �Fafien� et dans la galaxie f�d�rale (les f�d�rations), Guidoum est ministre de la R�publique alg�rienne d�mocratique et populaire. Sa nomination est la r�sultante d�un d�cret pr�sidentiel que Bouteflika, le pr�sident �remerci� lui a sign�. Il si�ge, en tant que ministre de la Jeunesse et des Sports, dans le gouvernement dirig� par Ouyahia, ce m�me Ouyahia qui, au RND, est secr�taire g�n�ral. La gratification �Fafienne� est adress�e � ce m�me Ouyahia dont la signature est appos�e au bas du d�cret, celui-l� qui a f�ch� plus d�un. Benbouzid �tait pr�sent, tout comme d�ailleurs Rahmani, Sellal, Ha�chour, Ziari, Guidoum et tous les autres ministres de l�ex�cutif Ouyahia, Zerhouni et Guena�zia y compris. La logique d�velopp�e par les r�dacteurs du communiqu� est une insinuation quant � la non-implication, Ouyahia, Benbouzid ainsi que tous les membres du gouvernement quant � l�issue qu�a connue le d�cret 05-405 du 19 novembre 2005 r�gissant les f�d�rations et d�coulant de �l�assainissement� ordonn�, souhait�, voire exig� par Bouteflika � la face de Issa Hayatou. Soit. La FAF et ses clubs engag�s dans les joutes arabes et continentales ne sont �menac�s� nullement. Champagne, pas celui savour� dans les belles occasions, l�adjoint du secr�taire g�n�ral de la FIFA, et au micro de la Cha�ne III a fait quelques r�v�lations pas du tout honorables pour certains� Il a donn� le nom de celui qui nous a �mouchard�s� : �Berraf�, cit�, mais s�en d�fend� Connu pour ses positions pass�istes, son implication, dans ce maudit feuilleton, semble inimaginable, voire... impensable. La conf�rence, d�aujourd�hui, � laquelle la presse est convi�e remettra les points� sur les i, une fois pour toutes� Une pr�cision de taille ! Une affirmation � point nomm� Comme �a, les �volleyeurs� et autres d�lateurs, avec int�r�ts, bien entendu, seront identifi�s. Parce que, dans cette tournure, on a failli nous �casser le nez� !