Un ph�nom�ne qui ne peut passer inaper�u celui des fuites d�eau jalonnant un tron�on du r�seau d�alimentation en eau potable de la commune � partir de la SR2 (station de refoulement sise au village de Taourirt-Lhedjadj). Parce que le longeant sur pr�s de trois kilom�tres, le chemin communal desservant les villages de la commune � partir du croisement avec la RN30, rev�tu en b�ton bitumineux il y a � peine une dizaine d�ann�es, se retrouve d�t�rior� et consid�rablement dans diff�rents endroits. La raison de cet �tat de fait navrant est � imputer aux agents de l�ADE qui, pour les besoins de r�paration de ces innombrables fuites rep�r�es presque chaque jour que Dieu fait, creusent presque � m�me la chauss�e qui, de par son �troitesse, chevauche � bien des endroits avec ledit r�seau d�eau potable. D�o� donc ces nombreuses crevasses et trous parsemant la route et engendrant des dangers r�els � ses usagers surtout � hauteur des nombreux virages �troits. Selon le premier adjoint de l�APC de la localit�, c�est la d�fectuosit� du r�seau qui serait � l�origine de cette situation face � laquelle notre interlocuteur d�clare que l�ex�cutif municipal a pris ses responsabilit�s en alertant qui de droit d�y rem�dier. Un premier pas a �t� franchi avec le projet de r�fection du r�seau incrimin� en partie arrach�. Une premi�re tranche de 800 m�tres lin�aires est, en effet, en cours de r�alisation avec l�espoir que la r�habilitation touche la totalit� du r�seau long de pr�s de 3,6 km, soit de la SR2 jusqu�au r�servoir des Ath-Larba alimentant en gravitaire les villages de la commune. Car, avance-t-on de m�me source, un projet d�am�nagement urbain prend forme avec l��tude d�j� confi�e � un bureau d��tudes. Il serait vraiment dommageable que cet am�nagement intervienne avant la r�fection totale de ce r�seau d�eau qui traverse sur toute sa longueur le chef-lieu de commune, dira en r�plique le vice-pr�sident. Tafat K. NOUVELLES MOEURS POLITIQUES A OUACIFS Un parlementaire sur le terrain Une premi�re pour les citoyens de la da�ra de Ouacifs en termes de nouvelles m�urs politiques, Hakim Saheb, �lu d�put� sur la liste du RCD lors du scrutin l�gislatif du 17 mai dernier, a entam� vendredi dernier, une tourn�e � travers les villages de la r�gion. C�est Ath- Aggad, village martyr bl�ti aux cimes de l�imposant Djurdjura, � la fronti�re de la wilaya de Tizi- Ouzou d�avec sa voisine de Bouira, qui fut la premi�re halte du jeune d�put�, qui, lors d�une discussion � b�tons rompus avec les villageois dont le pr�sident du comit� du village, a tenu en tout premier lieu � remercier tous ceux qui ont port� leurs voix sur la liste du parti, mais aussi ceux qui ont, soit boycott� le scrutin ou port� leurs suffrages sur d�autres listes car, apr�s tout, dira-t-il, je suis le d�put� de tous les citoyens de la wilaya. Il a, par la suite, fait un bilan succinct de la premi�re session du nouveau Parlement avec les positions tranch�es du parti � l��gard des dossiers �tudi�s, entre autres, le tant controvers� code �lectoral. Le vice-pr�sident de la commission juridique de la Chambre basse du Parlement n�a pas manqu� de nouer un dialogue franc et sinc�re avec ses nombreux interlocuteurs avec promesses r�it�r�es de porter haut et fort leurs pr�occupations, loin du tout esprit politicien, insistera- t-il par dire. Nous ne sommes pas de ceux qui font de fausses promesses, ou donnent d��ph�m�res espoirs, tout comme nous ne sommes pas un bureau de main-d��uvre, dira-t-il encore, allusion faite � ces marchands de r�ves excellant dans l�art de flouer notamment nos jeunes en mal de perspectives. D�autres villages de la da�ra sont au calepin du d�put� prochainement, qui, par ailleurs, pr�sentera en compagnie de sa coll�gue d�put�e Lila Hadj- Arab, ce mercredi en matin�e au niveau de la Maison des jeunes du chef-lieu de da�ra, lors d�une conf�rence publique, le bilan de l�action de leur groupe parlementaire au courant de la premi�re session de l�Assembl�e nationale.