Hachemi Belatoui, qui nous a quitt�s il y a quelques semaines, n�a pas �t� oubli� par ses anciens co�quipiers et ses nombreux amis du WAT et de l�ASMO. Jeudi, ils �taient pr�s de 100 anciens joueurs des deux clubs o� il a fait l�essentiel de sa carri�re (WAT et ASMO) � lui rendre un vibrant hommage. �Ils sont venus, ils sont tous l�, disait l�autre, et le regrett� Hachemi serait fier de voir qu�il �tait aim� et estim� en raison de sa gentillesse, sa sympathie et son �ternel sourire. Ses �ma�tres� ont tenu � �tre pr�sents et Bekhloufi, celui qui l�a d�couvert, form� et lanc� �tait bel et bien pr�sent. Son second mentor, Bahmane Abdelkader, malgr� sa maladie, est rest� jusqu�au dernier moment de cette f�te pour rendre hommage, lui aussi, � �son� avant-centre, cet attaquant pur et rac� qui �tait Hachemi. Quant � ses co�quipiers, outre Benyahia (WAT) et son �ternel �complice� Djema� (ex-ASMO et ex- WAT), chevilles ouvri�res de ce m�morial, ils sont venus de partout pour prouver leur attachement � Hachemi et l�amiti� profonde, sinc�re et �ternelle qui les liaient. Pour exemple, Ouaddah est venu de Tiaret (il a gard� intact son talent), Merzoug, lui, est venu de Sa�da (toujours la m�me classe), Atba n�a pas h�sit� � venir de M�cheria (� son �ge il peut encore op�rer � haut niveau...), Bentis est venu en �courant� d�Oran de m�me que les petits �lutins� de la bande � Abdelkader Bahmane, � savoir Abdat, Itim, Benma�mar et Belhachemi... Quelle belle reconnaissance. En face, il y avait la grande �quipe de l�ASMO avec Emtir, Hamlili, Djema�, Kechamli, Boukar, Belatoui Omar, Ghomari, et Guemri, qui a dispos� des Tl�mc�niens qui ont b�n�fici� de l�apport de Dahleb et de Bouali Fouad qui ont tous deux de beaux restes (6-3). En lever de rideau, les anciens des ann�es 1970 se sont donn� la r�plique, et les Bouali Tayeb, Benyamina, Bouchenak et autres Berrehine ont facilement pris la mesure des Tasfaout Hamida, Noureddine et Larbi. Quelle belle f�te et quelle reconnaissance pour Belatoui Hachemi qui n�avait que des amis et que personne n�a oubli�.
