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TIZI-OUZOU
Instabilit� du sol et glissements de terrain � Iboudrar�ne
Publié dans Le Soir d'Algérie le 18 - 12 - 2008

A l�instar des communes de A�n-El- Hammam et Akbil, relevant de la m�me circonscription administrative, la commune d�Iboudrar�ne, dans la da�ra de B�ni-Yenni, vit sous le risque de dangereux glissements de terrain mena�ant tous les villages dans leurs constructions, �quipements et ouvrages publics.
Cette menace est d�autant plus accentu�e en p�riode hivernale, o� la r�gion, montagneuse et au relief instable et accident�, conna�t un froid glacial, une pluviom�trie torrentielle et d�importantes chutes de neige entre 750 et 1000 m d�altitude au fur et � mesure qu�on avance vers les villages de Bouadnane, Thala n�Tazart, Darna et A�t Allaoua, au pied de la montagne. Depuis notamment les ann�es 2000, la commune d�Iboudrar�ne a connu plusieurs cas d��boulement et de glissement de terrain qui, fort heureusement, n�ont caus� que des d�g�ts aux infrastructures routi�res, quelques �quipements publics et constructions de particuliers. Ainsi, au village de Thala n�Tazart, une chute de pierres a caus� la destruction de la station de refoulement de l�eau potable desservant le village. C�est un miracle que le ch�teau d�eau, se trouvant juste � c�t�, ait �t� �pargn�. Un projet de r�alisation d�une dalle de protection en b�ton arm� a �t� inscrit sur le budget de wilaya et attend toujours d��tre finalis�, faute d�entreprises, nous dit-on � l�APC. Ce m�me village a aussi connu un glissement de terrain qui a caus� la destruction de la salle de soins qui, deux ann�es apr�s ce sinistre, n�est toujours pas remise en service. Toujours dans le m�me village, un autre glissement de terrain, suite aux travaux de terrassement d�un stade, a provoqu� la fermeture de quatre routes (une principale et trois menant vers les quartiers et hameaux du village), emport�es par des tonnes de tuf et de pierres charri�es par les crues d�eau. Les routes ont �t� rouvertes � la circulation, mais le danger demeure pr�sent tant que des gabions et des ouvrages n�auront pas �t� r�alis�s pour stabiliser le terrain et canaliser les eaux pluviales. Un peu plus bas, au village de Bouadnane, l�habitation d�un citoyen menace de s�effondrer � cause d�un glissement en aval de la RN 30. Au village Ighil n�Tsedda, le sinistre ayant touch� la maison de M. A�t Bouabdellah Arezki, en raison d�un autre glissement de terrain, toujours sur la RN30, fait craindre le pire. Si un mur de sout�nement n�est pas r�alis� en urgence, la construction, fissur�e � plusieurs endroits, risque de s�effondrer � tout moment. Son propri�taire ne sait plus � quel saint se vouer pour sauver �le toit et la vie� de ses enfants, ne cesse-t-il de crier depuis une ann�e � qui voudrait bien l�entendre. Au village Tassaft, l��cole Ali-Mohamed- Mohand-Ouidir est pass�e � un doigt de l�effondrement en 2007, apr�s un glissement de terrain sous ses fondations, donnant sur la RN30. Si l��cole a r�sist�, le mur d�une construction appartenant � un particulier a �t� compl�tement d�truit avec ses poteaux. Fort heureusement, l��cole a pu �tre sauv�e gr�ce � l�intervention des services de l�APC et de la Slep de Beni-Yenni qui ont vite fait d�engager les travaux de r�alisation d�un voile en b�ton arm�, en cours d�ach�vement. Au quartier Ath Ouamara, toujours au village de Tassaft, c�est une partie de la route qui s�est affaiss�e, suite � un autre glissement de terrain qui a emport� la cl�ture d�une propri�t� priv�e et les fondations d�un poteau �lectrique, basse tension, mena�ant de tomber sur la maison du m�me propri�taire. Dans ce m�me village, les constructions au quartier A�t Slimane, situ�es sur les hauteurs de la RN30, sont menac�es �galement d�effondrement si le mur de sout�nement, dont une partie est d�j� r�alis�e, n�est pas prolong� jusqu�� la limite de son trac� initial. Ce cas avec celui du chemin menant au quartier A�t Eurbah, ferm� aussi apr�s un glissement de terrain, qui met aujourd�hui en danger une partie du cimeti�re du village et quelques habitations, est pris en charge par la direction de l�urbanisme et de la construction de la wilaya qui a allou�, dans le cadre des intemp�ries, une enveloppe de plus de cinq millions de dinars. Mais les travaux tardent � d�marrer, avons-nous appris de source autoris�e, ce qui n�est pas pour rassurer les populations concern�es. Le village Ighil Bouamas n�a pas �t� non plus �pargn�, puisque nous y enregistrons l�effondrement de deux murs de maisons appartenant � des particuliers, ainsi que la destruction d�un poteau d��clairage public, tous emport�s par des glissements de terrain. Devant ce risque qui menace la vie des citoyens et les infrastructures publiques, les �lus locaux se disent �tr�s inquiets et pr�occup�s par une situation des plus critiques �, mais avouent leur impuissance � engager des solutions urgentes qui n�cessitent des financements de l�administration. �Nous avons �tabli l�an dernier des fiches techniques de plus de 4 milliards de centimes, uniquement pour les murs de sout�nement. Nous n�avons re�u qu�un peu plus de la moiti� de ce montant, pour tous les PCD et pour tout un exercice budg�taire. Les op�rations les plus importantes sont prises en charge par l�administration, dans le cadre des programmes sectoriels qui, souvent et malheureusement, tardent � �tre lanc�s. Aussi, il ne nous reste qu�� alerter et attendre d��tre entendus en esp�rant que l�irr�parable ne se produira pas�, nous confiera un �lu de l�APC, qui a formul� au passage le souhait que les assembl�es communales b�n�ficient de dotations en PCD � la mesure des besoins des populations qu�elles repr�sentent.
Sadek A�t Salem
60 foyers sans �lectricit� ni gaz naturel depuis 7 ans
Qu�a-t-on fait et que faut-il faire pour que nous soyons branch�s aux r�seaux d��lectricit� et de gaz naturel de Tadma�t, � 20 km � l�ouest de Tizi-Ouzou ? La question ne cesse de tarauder l�esprit des 60 locataires d�un b�timent situ� au centre de la localit� de Tadma�t, � quelques dizaines de m�tres du commissariat de police, non loin de la mairie, o� habitent des enseignants de l�Universit� Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. A l�origine de ce probl�me inexplicable, se trouverait, selon les locataires l�gaux, une affectation de logements au profit d�universitaires ne r�sidant pas dans la commune, alors que le b�timent �tait convoit� par des citoyens de la localit�, avec les encouragements des �lus locaux de l��poque, oppos�s au fait que l�op�ration d�attribution de logements sociaux soit assur�e par la da�ra. Profitant de ce conflit de comp�tence, des citoyens de Tadma�t ont squatt�, d�s que l�information a �t� rendue publique, les appartements encore inoccup�s par leurs attributaires l�gaux, fournissant ainsi un argument suppl�mentaire aux services concern�s de l�Etat pour priver le b�timent d��nergie �lectrique et de gaz naturel, p�nalisant, par ailleurs, sans distinction, les locataires l�gaux et ill�gaux du b�timent. Cela dure depuis plus de 7 ans : 7 hivers de souffrance impos�e notamment aux personnes �g�es et aux enfants expos�s au froid rigoureux et � un taux d�humidit� �lev�. Une for�t de c�bles �lectriques, r�sultat de branchements provisoires r�alis�s avec le voisinage, d�un b�timent � l�autre, m�l�s � ceux du r�seau officiel pour l��clairage pr�caire des occupants. Il s�agit, pour les locataires concern�s, ni plus ni moins que d�une discrimination d�lib�r�e, puisque, affirment -ils, les poteaux �lectriques sont install�s devant le b�timent et les immeubles voisins sont aliment�s. Ils se demandent �galement ce qu�attendent les pouvoirs publics pour mettre les jugements rendus par la justice contre les squatteurs en ex�cution, � defaut de les r�gulariser, pour assainir la situation de ce b�timent de 60 appartements dont les occupants sont expos�s la nuit � l�ins�curit�.


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