Comme l�ann�e derni�re, le Chabab de Batna a v�cu l�enfer � Mohammadia. La d�l�gation des Aur�s a �t� escort�e au stade par les services de s�curit� de la wilaya de Relizane et non pas par ceux de Mascara, territorialement comp�tents. L��lectricit� au niveau des vestiaires �tait coup�e et sur le sol des eaux naus�abondes. Il �tait difficile pour les joueurs de se changer, et pis encore ils ont �t� emp�ch�s d�effectuer les �chauffements. L�intimidation ne s�est pas arr�t�e l� puisque il y a eu plusieurs tentatives d�envahissement du terrain avant le d�but de la partie et des jets de projectiles avant, pendant et � la fin du match. A la fin de la partie, les huit ballons du CAB ont �t� offerts au public, ses dirigeants et joueurs agress�s et la licence du joueur Chebana vol�e. Les dirigeants du CAB savent pourquoi des dirigeants du SAM ont interdit l�acc�s du stade aux journalistes et cam�ramans de la t�l�vision. Le pr�sident du club aurassien ne comprend pas cette hostilit� et cette m�chancet� gratuite et exige de la f�d�ration l�application des r�glements g�n�raux de la FAF. L�article 180 des RG stipule que �l�emp�chement ou le refus de retransmission t�l�visuelle, enfreignant ainsi les dispositions des contrats de la FAF et de la LNF relatifs aux droits de retransmission t�l�visuelle, constitue une infraction sanctionn�e par l�article 121 du code disciplinaire�. Cette mesure �nonce, par ailleurs, qu�en cas de non-respect de la disposition pr�vue aux bulletins d�engagement aux comp�titions relative aux droits de retransmission t�l�visuelle, le club qui aura emp�ch� ou refus� la couverture d�une rencontre pour la retransmission en direct ou la couverture d��missions sp�cialis�es (c�est bien le cas) aura match perdu par p�nalit� et une amende de cinq cent mille dinars. Pour les Batn�ens du CAB, la LNF et la FAF sont dans l�obligation d�appliquer la r�glementation afin que cessent ces traquenards qui faussent le championnat. Affaire � suivre.