Le président de la FOREM a affirmé qu' «en raison des carences de ceux qui en étaient chargés, l'Ecole algérienne n'a pas été à la hauteur de sa mission». De l'Ecole, un maillon important dans l'épanouissement et l'éducation de l'enfant, il est attendu qu'elle contribue à former le futur citoyen algérien, «ce qui n'est pas le cas aujourd'hui», indique Khiati.