Bon nombre de locataires ayant acquis leur logement par le biais de l'OPGI ont cédé leur bien d'une manière illégale réalisant une sous-location ou vente rebelles se contentant d'établir à leurs successeurs de simples désistements. Devant l'anarchie des appartements qui sont devenus monnayables, les pouvoirs publics ont mis en garde les contrevenants, surtout les seconds acquéreurs qui commencent à demander une régularisation. Malgré ces exemples litigieux, d'autres bénéficiaires de logement exploitent cette aubaine pour larguer leur toit en encaissant de fortes sommes. L'OPGI vient d'enquêter en débusquant 64 cas d'occupation illégale qui encourent de graves mesures allant de l'expulsion des indus occupants à l'annulation de la décision d'attribution initiale. La justice a été saisie pour ces dépassements.