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Que devient l'âme?
SI ON ARRIVE À GREFFER UN CERVEAU
Publié dans L'Expression le 18 - 07 - 2013

La médecine régénératrice est un domaine en pleine expansion
«Contentons-nous de faire réfléchir. N'essayons pas de convaincre.» Georges Braque
Dans cette deuxième contribution dédiée en ce mois de Ramadhan à l'introspection - après la première qui a concerné, la détermination scientifique du premier jour de jeûne face à la religion,(1) nous allons parler aussi de science et d'éthique Décidément, la science bouscule d'une façon de plus en plus conquérante un certain nombre avec lesquelles l'homme a vécues depuis l'avènement de l'humanité et sa perception du monde. On remarque que les sciences ne produisent plus seulement des visions du monde. Elles interviennent dans sa transformation. Ce faisant, elles sont tout autant cible qu'outil de formation de nos valeurs. Alors, vers quelle direction aller? Chacun se souvient que dans les années soixante-dix du siècle dernier le chirurgien sud-africain Chris Barnard avait ouvert «les hostilités» en greffant un coeur d'un homme dans le corps d'un autre! Cette prouesse révolutionnaire fut saluée dans le monde entier. C'était en effet l'ouverture d'un vaste champ de la chirurgie réparatrice amenant à «l'homme réparé» comme une voiture où on arrive graduellement à remplacer les pièces défectueuses reculant graduellement les limites de la mort. (2)
Cependant, du point de vue éthique, depuis toujours on pensait que le coeur était le siège du sentiment de l'émotion et pourtant du jour au lendemain, la science nous a dit de chercher ailleurs pour placer ce qui dans l'imaginaire, la philosophie, l'éthique et les religions ce «supplément d'âme» qui accompagne le corps. Implicitement l'homme s'est replié sur le dernier bastion qui fait la différence entre le profane et le sacré à savoir le siège de la mémoire de l'esprit et/ou de l'âme. Nous allons dans cette contribution traiter justement de ces nouveaux chantiers qu'une science conquérante est en train de lancer.
La tête d'un ver décapité repousse
Dans un article paru sur Le Monde Pierre Barthélémy rapporte une expérience troublante sur la mémoire: «Visant à fabriquer de nouveaux organes pour remplacer ceux qui se révèlent défectueux, la médecine régénératrice est un domaine en pleine expansion. Un domaine qui pose aussi des questions inattendues lorsqu'il touche au cerveau: pour les personnes souffrant d'une maladie neurodégénérative comme la maladie d'Alzheimer, qu'arrivera-t-il aux souvenirs stockés depuis l'enfance lorsqu'on repeuplera le cerveau avec des neurones tout neufs issus de cellules souches? Les informations seront-elles perdues comme des archives brûlées ou bien parviendront-elles à être conservées grâce à une sorte de mémoire dynamique en constant remodelage?» (3)
«La réponse à ces questions fascinantes pourrait bien venir de... vers. Les planaires sont dotées d'un cerveau centralisé, avec une transmission synaptique et une gamme de neurotransmetteurs que l'on retrouve chez les vertébrés. (...) Dans une étude publiée le 2 juillet par le Journal of Experimental Biology(JEB), une équipe de l'Université Tufts (Massachusetts) a voulu tester de manière radicale la dynamique du souvenir: une fois que sa tête a repoussé, la planaire décapitée se rappelle-t-elle quelque chose de sa vie d'avant? (...)Toute la difficulté tient dans le fait que l'on doit prouver que la planaire se souvient de ce qu'elle savait avant qu'on lui coupe la tête. La meilleure manière de s'en assurer consisterait à lui apprendre quelque chose. (...) Ses auteurs ont mis au point des plateformes expérimentales pour entraîner les planaires et tester leur mémoire. (...) L'idée consistait à leur faire reconnaître cet environnement particulier et à leur apprendre à y trouver de la nourriture, sous forme de minuscules morceaux de foie de boeuf (les planaires sont carnivores). Alors que ces vers préfèrent d'ordinaire rester sur les parois des récipients et évitent la lumière, ils devaient apprendre à vaincre ces réticences pour manger car la nourriture était placée au milieu de la boîte et éclairée de manière assez vive par une diode électroluminescente. Avec un tel protocole, les chercheurs s'assuraient que le comportement de ces animaux résultait bien d'une décision prise par le cerveau et qu'il ne s'agissait pas d'un quelconque réflexe. Au bout d'une dizaine de jours d'entraînement, les planaires habituées aux «arènes» trouvaient beaucoup plus vite leur pitance que celles qui ne connaissaient pas cet environnement».(3)
«Ensuite les chercheurs ont laissé leurs bestioles tranquilles pendant deux semaines, puis les ont testées de nouveau, avec succès. Pourquoi deux semaines? Parce que c'est le temps qu'il faut à la tête d'une planaire pour repousser. Si l'on veut tester sa mémoire après une décapitation, il faut en effet déjà être certain que l'animal est capable de garder un souvenir! Les têtes ont été coupées de manière à ce que plus un milligramme de cerveau ne subsiste. Une fois que la repousse a été complète, les vers sont retournés dans l'»arène». Lors de la première séance, les résultats ont été «décevants» Mais dès le test suivant, le niveau de leurs performances est remonté à celui qu'il était avant la décapitation. Une fois rafraîchie, la mémoire leur était revenue! Le résultat est extraordinaire en ce sens qu'il défie le sens commun. Comment les souvenirs ont-ils pu être sauvegardés lors de la décapitation? Ainsi que le résume Michael Levin, un des auteurs de cette étude, «nous n'avons pas la réponse à cette question. Ce dont nous apportons la preuve, c'est que, de manière remarquable, la mémoire semble être conservée en dehors du cerveau.» L'article évoque l'idée que le savoir né de l'entraînement a réussi à «s'imprimer» dans les néoblastes, ces cellules souches à partir desquelles l'animal va recréer la partie amputée... et notamment les neurones du cerveau. Un peu comme si le cerveau tout neuf démarrait à partir d'un disque de sauvegarde. (...)»(3)
«Quelle est l'espérance de vie conclut Pierre Barthélémy des planaires après repousse? En fait, je voudrais savoir si le processus de repousse correspond à une nouvelle naissance ou à la continuation de l'existence déjà entamée. Dans ce dernier cas, les diverses applications médicales envisageables ralentiraient le processus de vieillissement sans vraiment lutter contre lui. Sinon, aurait-on là de nouvelles perspectives pour la théorie de l'évolution? En effet, si la planaire qui se divise transmet à ses deux moitiés des comportements non innés, on se retrouve en quelque sorte avec une hérédité des caractères acquis chez les espèces se reproduisant par scissiparité».(3)
Ce qui paraît étrange le croyons-nous dans cette expérience, est-ce que la mort n'a pas envahi le ver décapité? Comment la vie du ver a-t-elle survécu dans la tête décapitée et transmise à l'autre corps? A moins que d'admettre il existe «le souffle divin» véhiculé par des cellules souches aussi bien dans la «queue» du vers que dans la «tête».
Si on arrive à greffer une tête humaine: des conséquences extraordinaires
Justement à propos de tête, une tentative de greffe de tête humaine est envisagée!! «Dans une étude publiée il y a quelques jours par la revue Surgical Neurology International, le neurologue italien Sergio Canavero annonce qu'il est désormais possible de... greffer des têtes humaines. Pour être plus précis, si l'on considère que le cerveau, contenu dans le crâne, est le siège de la personnalité, de la conscience, et renferme ce qui rend chaque être humain unique, il vaudrait mieux parler de greffe de corps plutôt que de greffe de tête. (...) Sergio Canavero s'inspire directement des travaux du chirurgien américain Robert White qui, en 1970, parvint à transplanter la tête d'un singe A sur le corps décapité d'un singe B (...) Dans son étude, Sergio Canavero assure que ce temps est déjà venu en expliquant qu'une moelle épinière tranchée net par un instrument chirurgical peut se réparer assez aisément pourvu qu'on remette les deux sections en contact dans un mélange de deux polymères, le polyéthylène glycol (PEG) et le chitosane. Ces produits sont en effet capables d'activer une sorte de fusion-réparation des cellules nerveuses endommagées, comme l'ont montré des expériences réalisées sur des cochons d'Inde et des chiens». (4)(5)
«Une fois ce problème écarté, Sergio Canavero passe aux choses sérieuses, c'est-à-dire à la description d'une greffe de tête. Il faut un receveur, par exemple un tétraplégique ou une personne souffrant d'un cancer sans métastatase au cerveau. Et il faut un donneur de la même corpulence et du même sexe (car ce détail a, dans ce genre de greffe, son importance...), en état de mort cérébrale. Dans la partie initiale de l'opération, deux équipes chirurgicales travaillent en parallèle. La première refroidit la tête du receveur, une profonde hypothermie devant ralentir énormément le métabolisme du cerveau de façon à ce que celui-ci ne subisse pas de dégâts pendant le laps de temps où il ne sera plus irrigué. Sur le cou, on dégage les muscles et les vaisseaux sanguins, la trachée et l'oesophage. On conserve la thyroïde. La seconde équipe prépare le cou du donneur, mais de l'autre côté de l'incision. Dernière étape: les deux groupes de chirurgiens sectionnent simultanément les moelles épinières.»(4)(5)
Il faut ensuite aller très vite. La tête du receveur est dans ce que les spécialistes de l'hypothermie qualifient joliment d'»état de mort contrôlé». Elle est transférée sur le corps du donneur et l'on s'occupe aussitôt de la reconnexion de la moelle épinière grâce au mélange PEG-chitosane. Puis on rebranche toute la tuyauterie. Et le traitement immunosuppresseur commence, pour éviter le rejet du greffon. Une fois que le patient se réveille, il lui faut un accompagnement psychologique pour apprivoiser son nouveau corps. Si le receveur était auparavant tétraplégique, ce dernier doit aussi se réhabituer aux mouvements. L'auteur de l'étude écrit que les chirurgiens devront d'abord s'entraîner en réalisant des expérimentations sur des primates, voire sur des humains en état de mort cérébrale. Si tout avance comme sur des roulettes, la première greffe de tête humaine pourra avoir lieu dans deux ans assure Sergio Canavero».(4)(5)
«L'article de Surgical Neurology International passe volontairement très vite sur les nombreuses questions éthiques qu'il soulève Aucune loi de bioéthique n'ayant prévu une telle greffe, Sergio Canavero presse donc la société de s'emparer du sujet. Dans son interview au Matin, il s'interroge: «Imaginons un nouvel Albert Einstein. On pourrait décider de greffer sa tête sur un corps pour l'empêcher de mourir. Des règles éthiques doivent être établies avant que le procédé ne tombe entre les mains de médecins peu scrupuleux.»(4) (5)
Les conséquences de ces avancées un danger pour la condition humaine
. Là encore nous sommes en face d'une énigme, quand on décapite la tête, que devient ce que l'on appelle l'âme ce que les religions juives et musulmanes appellent «rouh» que donc beaucoup de tetra/paraplégiques retrouveront l'usage de l'intégrité de leurs corps? Cette expérience permettrait de déterminer plus précisément l'origine biologique de la conscience. La tentation de prolonger la vie, voire de rajeunir, va être bien grande, pour ceux qui en auront les moyens. Ceci combiné à l'allongement de la durée de la vie, la mécanisation du corps, et autres possibilités ne sera-ce pas considéré comme un premier pas vers «l'éternité»?
Une singularité sur le plan éthique, serait d'un vieillard espérant revivre avec un corps jeune. La question est de savoir si la quête de l'immortalité à n'importe quel prix entre dans la mission du médecin. En fait, dans la quête de l'éternité, la solution finale serait la «copie» de cerveau, soit en recréant la matière grise in-vitro, soit en simulant parfaitement sont fonctionnement par un système logiciel et en copiant le «contenu» du cerveau dans ce système Le Human Brain Project, a pour objectif précisément de modéliser le cerveau. Laurent Alexandre cité par Jean-Luc Pujo s'interroge si on arrivait à reculer les limites de la mort, on ne se crée pas un problème éthique et social. Il écrit: «La génomique et les thérapies géniques, les cellules souches, la médecine des protéines-chaperons et des nanotechnologies réparatrices, l'hybridation humain-machine permettent d'envisager une croissance de l'espérance de vie en bonne santé beaucoup plus rapide que ce que la société envisage généralement. Il est probable que l'espérance de vie doublera déjà au cours du XXIe siècle, et l'obtention d'une quasi-immortalité ne serait plus qu'une question de temps. (...) Dans un monde sans mort, l'humanité se cherchera de nouvelles valeurs. Le conflit avec les religions prônant de croître et de se multiplier pourrait devenir aigu.»(6)
Rien n'arrête le mouvement de la science. On ne peut pas parler d'âme puisque cela n'est que un autre mot pour l'esprit qui est une caractéristique du cerveau (et qui meurt avec lui). On peut penser que l'esprit est «généré» par le cerveau, mais en fait on n'en sait rien.
Que deviennent l'âme et l'esprit après la mort?
Pour le père Souchon jésuite: «Ce que nous devenons après la mort est un bien grand mystère. Le mot même après, qui suggère l'idée d'une continuité temporelle, est mal adapté pour parler de l'éternité (...) Pour l'homme occidental, le dualisme grec apparaît comme évident pour parler de l'être humain: il est évidemment composé d'un corps et d'une âme. «Après la mort», le corps va en terre et l'âme est accueillie par Dieu. Le mot rouah (vent, souffle, esprit) est un mot hébreu très riche et complexe. C'est d'abord le vent, un des éléments de la nature, vent de tempête ou brise légère, «dont on ne sait ni d'où il vient ni où il va» (Jean 3,8). Quand il est question de l'être humain, c'est la respiration, le souffle, la force et l'énergie vitale. Présent à la création, le souffle de Dieu (son Esprit) est, en quelque sorte, le lien vital entre Dieu et l'homme.(...)» (7)
Comme le relevait C.G. Jung: «Toute conception du monde a une singulière tendance à se considérer comme la vérité dernière sur l'univers, alors qu'elle n'est qu'un nom que nous donnons aux choses». Pour la biologie le vivant n'est qu'un simple agrégat complexe d'éléments de construction. Un peu d'humilité pourrait lui faire admettre que la réalité première est autre chose. Pour leur part, les religions, devraient - de mon point de vue - montrer que la transcendance n'interdit pas d'aller vers la science notamment,pour réparer le corps, mais que l'existence de l'homme est un miracle non seulement en termes d'insufflation de la vie mais même au vu des millions de contraintes physico-chimiques surmontées pour qu'il naisse. Il n'ya pas lieu pour les croyants, de tenter de se substituer au divin..
1.http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur_chitour/177330-la-nuit-du-doute-de-la-tradition-contre-les-calculs-de-la-modernite.html
2.http://www.legrandsoir.info/transhumanisme-l-homme-repare-et-augmente-a-t-il-encore-besoin-du-divin.html
3.P.Barthélémy La tête d'un ver décapité repousse avec sa mémoire Le Monde 11 07 2013
4. http://www.surgicalneurologyint.com/ article.asp?issn=2152-7806;year=2013; volume=4;issue=2;spage=335;epage=342;aulast=Canavero
5.http://passeurdesciences.blog.lemonde. fr/2013/06/26/un-medecin-italien-veut-greffer-des-tetes-humaines/
6. Jean-Luc Pujo «Biopouvoir: Menaces pour l'Humanité?» La Tribune.fr - 18/12/2008
7.http://www.croire.com/Definitions/Mots-de-la-foi/Mort/Que-deviennent-l-ame-et-l-esprit-apres-la-mort


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