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Gaza la martyre!
INDIFFERENCE ET HYPOCRISIE DES UNS ET LÂCHETE DES AUTRES
Publié dans L'Expression le 12 - 07 - 2014

Les Gazaouis vivent la guerre avec fatalisme et détermination
«Gaza se meurt Un missile israélien toutes les trois minutes sur Gaza C'est terrible! Devant le silence complice de cette communauté internationale officielle impuissante. Et devant l'absence des médias qui se disent objectifs Gaza résiste, persiste et existe! Notre population est déterminée! Gaza la vie, défie les avions de l'occupation! Nous, nous lâchons rien! Nous ne désespérons pas! Nous tenons bon! Gaza la blessée, Mais Gaza la dignité, Gaza la résistante, Gaza la vie et Gaza l'espoir!». Ziad Medoukh (poète ghazaoui)
Tout a commencé en juin avec la mort de six Palestiniens. L'escalade a vu ensuite le meurtre de trois jeunes Israéliens, mais dans le même temps le déploiement de la terreur pour trouver les Palestiniens responsables en vain. Au passage, des centaines de maisons furent fouillés, des dizaines de Palestiniens furent arrêtés et huit morts. Il y eut ensuite le meurtre par des colons terroristes d'un jeune Palestinien de la façon la plus abjecte. Faire boire de l'essence au jeune et y mettre le feu. Protestation des jeunes Palestiniens avec des pierres, mais aussi dans l'opinion israélienne ce qui a amené le gouvernement israélien à arrêter les criminels. On pensait que c'était fini. Il n'en fut rien. Israël veut punir le Hamas Nous sommes au quatrième jour de l'offensive aérienne d'Israël contre le Hamas dans la bande de Gaza, et rien ne semble indiquer qu'un camp ou l'autre soit prêt au moindre compromis. La plupart de ces tirs sont été interceptés par le dispositif anti-missiles «Dôme de fer», 800 cibles près de 100 morts, 500 blessés et des centaines de personnes traumatisées à vie, Du côté israélien, les sirènes dues aux missiles et trois blessés. Israël dit-on envisage d'envahir Gaza. C'est la troisième punition des Palestiniens de Gaza depuis décembre 2009 et novembre 2012. Pour l'Histoire, il n'y a jamais eu volonté de résoudre ce problème de décolonisation depuis 47 ans. Une quarantaine de résolutions des Nations unies pour rien. Même le rapport Goldstone - pour l'opération Plomb Durci qui a volé la vie de 1400 Palestiniens dont 400 enfants- que l'on pensait être un tournant dans le fait qu'il fallait faire entendre raison à Israêl a eu - Mahamoud Abbas aidant- un enterrement de première. Rappelons l'échec d'Oslo sur l'autonomie palestinienne à partir de 1994. L'échec du processus d'Annapolis en 2008. L'échec de la mission Kerry, il y a deux mois. Les unes après les autres, les médiations américaines ont été incapables de rassembler Israéliens et Palestiniens autour de la création d'un Etat «viable» de Palestine, aux côtés d'un Etat hébreu vivant dans des frontières «sûres et reconnues». Et pendant ce temps, la nature ayant horreur du vide, le nombre de colons israéliens installés en Cisjordanie et à Jérusalem-Est a été multiplié par cinq (près de 600.000 colons). Que font les pays arabes tétanisés plus que jamais et incapables de prendre une initiative? Pour eux et comme décidé par l'Occident, Hamas est une organisation terroriste ce que l'on disait des Algériens pendant la révolution et qui se battaient pour la dignité. C'est un silence assourdissant de l'Océan au Golfe. Amine Maâlouf raconte dans l'un de ses ouvrages, une scène qui s'est passée durant les croisades. Un imam connu vint en ville et d'une façon ostentatoire, il rompt le jeûne en plein midi. Menacé d'être lynché par une foule bigote, il les admonesta en leur expliquant que la vraie piété est d'aller aider les Musulmans taillés en pièces par les Roums dans les villes voisines. Mutatis mutandis les Palestiniens se font tailler en pièces et Mahmoud Abbas pontifie, et les Arabes s'empiffrent à qui mieux mieux.
Les appels hypocrites et l'alignement sans état d'âme
Personne n'ose rappeler à Israël les conventions internationales. Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a «dénoncé» les tirs de roquettes et a appelé les deux camps à la «retenue». Nous remarquons l'hypocrisie de Ban Ki-moon incapable de dire le Droit, et de nomme l'agresseur depuis 47 ans et l'agressé, en les mettant sur le même pied. La Maison-Blanche a condamné «fermement» les tirs de roquettes de Gaza tout en se disant inquiète pour les civils israéliens comme palestiniens. De son côté, la Ligue arabe a appelé à une réunion urgente du Conseil de sécurité de l'ONU. On voit que la position est claire. Côté américain, on a exprimé son «soutien au droit d'Israël à se défendre contre ces violentes attaques». «Aucun pays ne peut accepter que des roquettes soient tirées contre des civils», a dit Josh Earnest, porte-parole de la présidence des Etats-Unis. Angela Merkel dont on connaît l'affection pour les Arabes, a condamné «fermement» et «sans réserve» les attaques de roquettes contre Israël.
La position alignée sans état d'âme de la France
François Hollande a eu un entretien téléphonique avec le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. Selon un communiqué de l'Elysée, «il lui a exprimé la solidarité de la France face aux tirs de roquettes en provenance de Gaza» et «rappelé que la France condamne fermement ces agressions». «Il appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces». Un communiqué de l'Elysée provoque des critiques à gauche jusqu'au sein du PS, la diplomatie française de défend de toute inflexion sur les positions de la France. Cette position ne nous étonne pas, il n'est que de se souvenir du chemin de Damas subi par Hollande lors de sa visite en novembre en Israël. «Faut-il voir dans le communiqué de mercredi de l'Elysée une inflexion de la diplomatie française en faveur d'Israël? Dans un communiqué, Europe-Ecologie-Les-Verts (Eelv) estime que François Hollande apporte «son soutien à la politique de représailles menée par Israël, laquelle frappe aveuglément les populations civiles palestiniennes».(...) (...) A la fois vice-président du groupe d'amitié parlementaire France-Israël et du Gevi France-Palestine, le député (FDG) François Asensi estime quant à lui qu'il «est scandaleux que l'Elysée suive unilatéralement la position d'Israël». «Netanyahu est un faucon, comment peut-il le suivre?» Selon lui, il s'agit bel et bien d'une «rupture totale» avec la position française traditionnelle. (1)
D'où viennent les armes qui peuvent frapper le coeur d'Israël?
Avec une fausse objectivité, Marie Le Douaran journaliste à L'Express s'interroge. Nous l'écoutons: «En trois jours d'escalade entre Israël et Gaza, le Hamas et le djihad islamique ont surpris en lançant des roquettes en profondeur sur le territoire. Haïfa, une ville à 160 kilomètres au nord de l'enclave, était ciblée. (....) Les services de renseignements israéliens évaluent à 10.000 le nombre de roquettes et d'obus disponibles dans la bande de Gaza. La technologie a évolué, si bien que certains missiles dernier cri, les M-302 (iraniens mais fabriqués en Syrie), peuvent frapper à 150 voire 200 kilomètres. Le djihad islamique est aussi en possession de roquettes iraniennes Fajr 3 et 5 (45-70 km), de roquettes de fabrication chinoise WS-1 E (40 km) ou encore de missiles R-160 (160 km). Le Hamas possède des missiles Grad (20 km) et fabrique ses propres roquettes, les M-75 (75-100 km). L'arsenal considérable des mouvements palestiniens est cependant loin d'égaler la force de frappe de son adversaire. L'Etat hébreu est doté d'une armée soutenue et financée en partie par les Etats-Unis: troupes au sol -augmentées de 40.000 réservistes-, véhicules de combat, sous-marins, avions... En outre, depuis 2011 Israël défend son territoire avec le «dôme de fer».(2)
On le voit, les arbalètes du Hamas sont capables de rivaliser avec les drones prédator et reaper avec les chasseurs, et les hélicoptères Apache avec les chars de dernière génération et avec le Dôme de fer. Ce qui explique le droit d'Israël à massacrer surtout des enfants.
La résignation et la détermination
Hélène Prudhon explique comment les Gazaouis vivent la guerre avec fatalisme et détermination: «(...) Assise sur les ruines de sa maison éventrée de Khan Younès,, Rihab se repasse péniblement le fil des événements. Mardi 8 juillet, en début d'après-midi, sa belle-fille Sawsan reçoit un appel sec, lapidaire, de l'armée israélienne: «Vous avez cinq minutes pour fuir. Prenez les enfants.» Avec fracas, une fusée éclairante s'abat d'abord sur le toit, tirée depuis un drone israélien, en guise de sommation. Le missile d'un F16 achève l'édifice. La maison des Al-Kaware est éventrée. Cette frappe de représailles est la plus meurtrière depuis le début de l'opération israélienne. Durant la journée de mardi et dans la nuit qui a suivi, le ciel a grondé plus de 160 fois, mais la panique n'a pas envahi les rues de Gaza, où les hommes occupent le temps du jeûne, assis sur des chaises posées sur les trottoirs, indifférents aux échos des bombardements: «Les gens ne sursautent même plus lorsqu'il y a des frappes. Tout cela est si familier», soupire Moussa Assanah, artisan dans le centre de Gaza-ville». «Devant sa boutique, rue El-Wehda, il nettoie les dégâts de l'attaque qui s'est déroulée, sous ses yeux, une demi-heure plus tôt. (...) Des restes de chairs carbonisées mêlés à des morceaux de carrosserie ont été catapultés dans le magasin, faisant exploser la vitrine. A l'intérieur, Ramis, 27 ans, semble presque faire abstraction de la scène qu'il vient de vivre: «Des morceaux de cadavre, nous avons l'habitude d'en voir ici. Ce n'est pas notre première guerre. J'aurais aimé être dans cette voiture, car je serai fier de mourir en martyr.» (3)
Un climat de haine raciale
Chemi Shalev, journaliste au journal H'aAretz nous décrit le climat de haine raciale contre les Arabes. Nous l'écoutons: «(...) Des appels au meurtre, voire au génocide, sur les réseaux sociaux sont alimentés par des déclarations incendiaires d'hommes politiques citant la Bible. (...) Aussi, lorsque j'ai vu les vidéos et les photos de divers gangs de juifs d'extrême droite parcourant les rues de Jérusalem, hurlant «Mort aux Arabes!» et pourchassant au hasard et en plein jour des passants ayant le malheur de ne pas avoir la bonne tête ou le bon accent, les poursuivant la bave aux lèvres comme des bêtes sauvages pour les tabasser avant l'arrivée de la police, l'association d'idées a été automatique. (...) Mais qu'on ne s'y trompe pas: le spectacle de ces bandes criminelles pourchassant des Arabes n'a rien d'exceptionnel. Il ne s'agissait pas d'un simple accès de rage incontrôlable à la suite de la découverte des corps des trois jeunes Israéliens enlevés. Cette explosion de haine n'est pas un phénomène isolé: elle est présente en permanence, elle grandit de jour en jour et elle se diffuse dans la société(...) Au cours des dernières vingt-quatre heures, une page Facebook appelant à «venger» les trois jeunes adolescents kidnappés a suscité des dizaines de milliers de mentions «J'aime», ainsi que des centaines d'appel explicites à tuer des Arabes où qu'ils se trouvent.» (4)
Qui, pour aider les Palestiniens?
Qui pour aider les Palestiniens s'interroge Akram Belkaïd du Quotidien d'Oran en analysant les positions des différents acteurs de ce drame?: «Il y a quelques temps, écrit-il, circulait l'hypothèse selon laquelle Barack Obama prenait ses distances avec Tel-Aviv et que cela inaugurait d'un nouveau rapport de forces au Proche-Orient. Non, l'Amérique ne bougera pas. Par faiblesse, par calcul politique aussi. On sait ce que pèse le lobby pro-israélien dans les campagnes électorales. A la télévision, à la radio, dans la presse écrite, les congressmen et tous ceux qui composent le monde politico-médiatique de Washington s'empressent de clamer leur soutien à l'Etat hébreu. Aux Etats-Unis, les Palestiniens ont aussi un ennemi puissant. Il s'agit de Hollywood et de son industrie cinématographique. Qui peut citer un film produit au cours des vingt dernières années où les Arabes auraient le beau rôle. Où un personnage palestinien serait simplement décrit dans son humanité» (5) «Quant aux Américains d'origine arabe, il faut juste rappeler que les attentats du 11 septembre 2001 et les événements qui ont suivi les ont tétanisés. Ce sont des communautés désormais sur la défensive, obligées de démontrer qu'elles sont intégrées et, même si elles n'en pensent pas moins, la question palestinienne n'est pas le genre de sujet pour lequel elles peuvent se mobiliser notamment sur le plan électoral. L'Europe n'est même plus dans la situation où, pour se donner bonne conscience, elle se contentait d'allonger les euros pour financer ce que l'aviation israélienne allait détruire. (...) Mais, dans les faits, Israël avance jour après jour ses pions au sein des instances et institutions communautaires. Qui peut aider les Palestiniens? Certainement pas les pays arabes et leurs dirigeants corrompus, efficaces quand il s'agit de cogner contre leurs propres peuples mais n'ayant aucun poids pour peser sur l'échiquier géopolitique moyen-oriental.» (5) On pourrait aussi ajouter de parler le courage des élites arabes planquées dans les pays européens qui font preuve d'un silence assourdissant. Ce n'est pas demain que l'on verra les intellectuels arabes tels que Abdel Wahab Meddeb, Tahar Benjelloum ou Malek Chebel protester auprès des médias pour le sort funeste réservé aux Palestiniens pour ce recul en barbarie. C'est vrai, ils ne veulent pas prendre le risque de ne plus avoir de visibilité comme étant les musulmans comme on les aime.
Barbarie et silence de «la communauté internationale»
Pour notre part, nous préférons la position courageuse de l'UFJP (l'Union juive française pour la paix). Lisons: «La logique criminelle et illégale de la vengeance israélienne s'étend à toute la Palestine et à Gaza une nouvelle tuerie de masse est en marche. Depuis le début du blocus de Gaza, si l'on enlève les 1400 morts de «Plomb Durci» (2008-2009) et les 160 morts de «Piliers de la défense» (novembre 2012), près de 700 civils palestiniens ont été exécutés par des tirs aériens à Gaza. Les principaux dirigeants français, européens ou américains ont manifesté leur émotion à la suite du kidnapping et de l'exécution des trois jeunes colons. Pas de condoléances pour le massacre d'un jeune Palestinien de 16 ans, Mohammad Abou Khdeir. L'occupant a longtemps fait croire qu'il s'agissait d'un règlement de comptes inter-palestinien avant que les coupables, des colons pogromistes, ne soient découverts. Que signifie cette offensive générale, cette «punition collective» formellement interdite par le droit international? Pourquoi ces bombardements massifs, ces arrestations de plusieurs centaines de personnes, dont des élus et des prisonniers récemment libérés, ce bouclage de toute la Palestine? Il n'y a aucune symétrie possible entre l'occupant et l'occupé, entre un régime colonial et un peuple qui a le droit de résister. Avec la mobilisation des réservistes en Israël, un nouveau crime de grande ampleur est en marche. (...) Nous devons empêcher le massacre annoncé. Nous devons forcer nos dirigeants complices à exiger d'Israël l'arrêt immédiat de l'agression, des bombardements, des arrestations et des exécutions sommaires(...).(6) Pendant ce temps, les pays occidentaux s'occupent cette semaine, de l'Iran à Genève, une autre façon de consolider Israël en «neutralisant» le programme nucléaire iranien...
1. http://www.lexpress.fr/actualite/monde/ proche-moyen-orient/raids-sur-gaza-hollande-soutient-il-trop-netanyahu_1558628.html #ovWsPdW6ZMDSxzQ8.99
2. Marie Le Douaran: D'où viennent les armes? L'Express 11/07/2014
3. H. Prudhon A Gaza, «les gens ne sursautent même plus...» Le Monde 09.07.2014
4. Chemi Shalev Ha'Aretz http://www.courrierinternational.com/article/2014/07/04/un-climat-de-haine-raciale
5. Akram Belkaïd:http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5200456
6. http://www.oulala.info/2014/07/barbarie-ils-tuent-en-palestine-grace-au-silence-de-la-communaute-internationale/


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